Ginkgo Gakuen
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Le lycée sous le signe de l'arbre aux 1000 écus
 
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 Nathan Scott

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AuteurMessage
Nathan Scott
Élève de la 3-A

Nathan Scott


Personnage
Âge : 18 ans
Chambre / Appart : 101

A savoir
:

Nathan Scott Empty
MessageSujet: Nathan Scott   Nathan Scott EmptyLun 31 Jan - 18:19

{ Nathan Scott }

Nom : Scott
Prénom : Nathan
Âge et date de naissance : 18 ans, 25 Décembre 1992
Nationalité(s) : franco-japonais

Classe : 3ème année
Club(s) : Tennis
En savoir plus...

Votre pseudonyme : Sundae
Votre âge : 18 ans

Comment avez-vous connu le forum ? par les fondateurs :3

D'où vient l'avatar de votre personnage ? trouvé sur zerochan et modifié par Sheikhan ( :

Caractère


Premier jour de ma vie de Lycéen. J’étais tranquillement installé sur la place, Ian à mes côtés. J’avais l’impression que tout le monde se connaissait, ce qui n’était pas mon cas et qui me mettait d’autant plus mal à l’aise. Heureusement que j’avais Ian avec moi dans la classe. Je m’apprêtais à lui parler, m’étant tourné vers lui, lorsque le prof, après s’être brièvement présenté, comme étant le professeur de philosophie que l’on allait avoir pendant deux heures par semaine, nous invita à en faire de même. Mais ce devait être notre voisin qui nous présentait. La chose allait s’avérer compliqué pour ceux qui ne s’étaient jamais parlé. Heureusement, Ian me connaissait sur le bout des doigts. Nous nous lançâmes un regard complice, puis il prit la parole « Mon voisin s’appelle Nathan Scott. Il est franco-américain de son père, Japonais de sa mère. Du coup il n’est pas seulement bilingue … non que dis-je, trilingue ! Mais il a aussi apprit dès sa naissance comme il devait se comporter au Japon. Cette double culture fait de lui quelqu’un de naturellement ouvert au monde. En fait, Nathan est un éternel curieux insatisfait, toujours Friant de nouveautés. Très ouvert d’esprit, il n’a aucun mal à aller vers les autres. Et pourtant. Avec les inconnus il montre beaucoup plus de retenu, n’osant sans doute mettre en œuvre son charme naturel. Surement qu’il peu se montrer timide. » Ian esquissa un sourire amusé en me voyant baisser la tête, les pommettes rouges et souriant nerveusement. Qu’est-ce qu’il avait à parlé comme ça de moi ? Sérieux, le prof ne voulait qu’avoir une simple description, pas une analyse psychologique. Ca y est, l’année était foutue pour moi. J’allais me retrouver sans amis. « En tout cas Nathan est un très bon ami » Et, quoi ? Putain ! Il continu en plus ! Pitié, qu’il arrête ! « Il est certes, très sociable, mais a du mal à accorder sa totale confiance à une personne. Pourtant, dès lors qu’il puisse considérer cette même personne comme étant ‘ami’, Nathan est digne de confiance et mettra tout en œuvre pour l’aider. C’est aussi un psychologue, car on peut tout lui dire. Il ne répétera jamais rien et il est toujours à l’écoute de ses amis. » Ian se tourna vers moi et m’observa puis hocha la tête« je pense que j’ai fais le tour. Aux autres maintenant »

Pendant que nos camarades se présentaient à tour de rôle, je redressai la tête et me tourna vers Ian, le fusillant du regard « T’était obligé de raconter tout ça, pas ? Pff … »
Ian haussa les épaules, affichant un air innocent « ben quoi ? Soit content que je n’ai pas dis que tu étais égoïste, que tu pouvais changer d’humeur d’une minute à l’autre, que tu étais impulsif et que tu étais très jaloux parce que t’es possessif comme pas deux. »

Je grimaçais et grommela quelque chose d’incompréhensible avant de me tourner, préférant ne rien répondre. Ian afficha un sourire de vainqueur et écouta les autres. De toute, il n’avait pas à craindre que je lui fasse la tête, je l’aimais trop pour lui en vouloir.


Physique


Dans un mouvement de rage, je claquai la porte du hall du Lycée derrière moi. Ignorant les nombreux cris, je m’engageai dans la cours. La traversant en grandes enjambés, je sortie de l’enceinte et tourna à droite avant de me figer devant mon reflet dans un miroir, laissé à l’abandon sur le trottoir. Surement appartenait-il aux gens qui venaient d’emménagé dans l’appartement d’en face ? Quoiqu’il en soit, je m’avançais vers ce miroir, m’observant.

J’y voyais le jeune homme que j’étais. Un adolescent passe partout, comme le disais-je souvent. D’un geste saccadé, je passais mes mains dans mes cheveux mi long d’un noir de jais, sans reflets quelconques. Ils étaient le signe distinct que je n’étais pas un européen pure souche. L’abaissa lentement ma main, baissant en même temps mon regard sur mon corps. Mes habits amples et habituels cachaient les muscles développé aux cours de mes nombreuses années passés à jouer du tennis ou passer dans le gymnase avec mon coach de judo. J’eu un petit sourire. Je n’étais pas spécialement gâté par la nature, sans pour autant être rejeté. Je trouvais mon corps plutôt bien proportionné, mais sans doute était-ce seulement parce que je me sentais bien dans ma peau.

Je relevais mon visage jusqu’à ce que mes regards ne se croisent. Ne disait-on pas que nos yeux étaient le reflet de notre âme ? Mes yeux bleus, étaient vifs et, en même temps, reflétaient parfaitement mon calme intérieur. Je portais un regard curieux sur le monde, toujours avec l’envie de découvrir d’autre chose. Mais des fois, ce même regard changeait. Lorsque le temps se faisait orageux, mes yeux s’adaptaient, prenant une teinte grise. Plutôt terne comme couleur. Je tournais légèrement ma tête sur le côté. Un visage ovale était une caractéristique des asiatiques, non ? Je ne saurais le dire réellement. Mes lèvres étaient fines. Mon nez aussi.

Soupirant, je fis un pas en arrière et m’observa dans mon ensemble. Un adolescent au bord de la majorité, ou un adulte resté dans l’adolescence ? Allez savoir.


Biographie


Pourquoi devait-on raconter son passé à de parfaits inconnus ? Certes, ils ne nous connaissent pas et n’auront donc aucune raison pour nous juger. Mais si notre vécu n’avait rien de spécial, à quoi bon vous ennuyer avec ça ? Oh mais je vous entends déjà dire « mais non ! Chaque vie sur terre est importante. Le vécu c’est qui constitue l’être humain … » FOUTAISE tout cela ! Qu’est-ce que ça vous changerais de savoir que je suis né tel jour ? Que j’aime tel sport ? Que je joue tel instrument ? A mon avis, vous ne devriez pas connaître tous les détails de ma vie. Mais … quoi ? Pourquoi insistez-vous ? Je n’ai vraiment aucune envie de … bon ok. Si c’est la seule solution pour partir au plus vite d’ici …

Je suis donc né à Paris en Décembre. Le 25 pour être plus précis. Quelle ironie du sort que celle d’être né dans une famille de Chrétiens tellement à cheval sur les coutumes que ça faisait peur. Evidement, toute ma famille à tout de suite vu un signe dans ma venue au monde et si mon grand-père maternel n’avait pas protesté, je me serrais coltiner le prénom Jésus ou Joseph. Mais soit.

Mon enfance se déroulait relativement bien. A 6 ans j’entrais à l’école primaire. A 8 ans mon chrétien –ou devrais-je dire « crétin » ?- de père me força à faire ma communion. Bon, on peut laisser passer cet évènement qui est assez futile mais qui m’a bien énervé et ennuyé. Personne de ma classe ne la faisait, pourquoi étais-je toujours le seul à faire ce genre de choses complètements futiles ? Je m’en serais bien passé et ma vie n’aurait pas changée. Mais je ne pouvais pas savoir que ce que me réservait l’avenir allait dépasser mon horizon d’attente.

J’avais 11 ans et réussi avec énormément de mal à convaincre mes parents de m’inscrire dans un collège normal, pas un de ces pensionnas chrétien dans un couvant qui vous forme pour devenir moine, prêtre ou bonne sœur.

C’était, donc, à contre cœur, que mes parents m’inscrivirent dans un des collèges de la capital française. Mois, j’étais heureux. Ma classe était très soudée, on s’aidait les uns les autres et on s’entendait vachement bien. A l’âge de 15 ans, nous étions alors en 3ème, les hormones commençaient à bouillir. Beaucoup de mes amis se trouvaient déjà au bras d’une fille ou d’un jeune homme. Moi, je ne me sentais pas du tout attiré par la gente féminine. Ce ne fut qu'un an après, lors d’une fête, où Ian mon meilleur ami et passablement éméché m’embrassa, que je ressenti un sentiment bien plus profond et plus fort que lorsque Nina ou Mia m’avaient déclarées leur flamme.

Suite à cela, je laissais passer quelques temps. Ce furent deux ou trois semaines. Je me retirais et me morfondait seul, mais je ne pu oublier cette sensation bizarre et la douceur des lèvres de Ian. Serait-il possible que je sois … autrement ? Non. Je n’avais pas le droit. Je … mais ce serait peut-être une bonne raison pour me rebeller contre mon père et lui dire en face ce que je pensais de lui ? Hm, non. Cette pensées effleura mon esprit mais fut rapidement mis en arrière plan dans ma tête. Je n’allais que sur mes 17 ans. Je n’étais pas encore près à être indépendant.

Ainsi, durant la prochaine année, je réussi tant bien que mal à m’accepter tel que j’étais et de vivre avec mon orientation. Tentant de paraître le plus normal possible aux yeux de mon père, j’eu quelques relations qui restaient secrètes. Mais, très vite je compris que je n’avais pas été assez vigilant. Plusieurs de mes camarades de lycée me regardaient bizarrement, mes prof se comportaient autrement avec moi. Se doutaient-ils de quelque chose ? Surement. Mes pensées furent confirmé lorsqu’un jour je rentrais à la maison.

Dès que j’eu franchis le seuil de la porte du salon, je pu sentir la tension. Elle était palpable. Quelque chose avait changé, mais je n’aurais su quoi. Sans lever le regard ni même m’adresser la parole, mon père me tendit une enveloppe. Hésitant et déglutissant, je la pris en main et lança un coup d’œil à ma mère. Elle le regard fixé sur le sol, figé et droite comme un piqué. Je reportai mon attention sur l’enveloppe et l’ouvrit. A l’intérieur se trouvait un billet d’avion pour … le japon ?! Je relevais un regard plein d’incompréhension sur mes parents. Ce n’était qu’un allé simple. C’était quoi ce bordel ?

« Tu ne mérites pas de vivre »

Telles furent les paroles tranchantes de mon père, qui eurent l’effet d’une claque sur moi. Mon regard passa vivement de mon père à ma mère. Ses yeux bleues glace me fixait avec une certaine haine que je n’avais jamais remarquée chez elle. On aurait crut un pitbull a l’affût et près à me sauter à la gorge pour me tuer. Les yeux écarquillés, j’eu un mouvement de recul

« Tu pars demain chez ton parrain. »

Déglutissant, j’eu peine à retrouver l’usage de la parole. Quand enfin ce fut à nouveau le cas, ce ne fut que pour demander dans un souffle

-« Pourquoi … le Japon… ? »

Mon père se releva vivement du fauteuil et s’avança vers moi, me fusillant du regard. Je le fixai et me recula pour me mettre en sécurité

« je ne veux plus entendre ne serait-ce que le son de ta voix. Plus loin de moi tu seras, mieux je me porterais. »

J’hallucinais. Ma mère s’avança et se plaça à côté de son mari, me fixant froidement

« Tu n’est plus mon fils. Je ne te connais plus. »

J’ouvris la bouche comme pour parler. J’aurais voulu protesté, leu cracher toute la haine, que je ressentais pour eux, à la gueule. Mais je luttais pour ne pas m’évanouir. Mes jambes étaient molles. J’avais froid. J’avais chaud. Ma respiration était saccadée. Sans trouver le courage de dire un mot, je me détournais et marcha lentement vers ma chambre. En sortant du salon, je su ce qui avait changé : toutes les photos de moi avaient disparues, laissant apparaître les murs blancs et ternes.

Arrivé dans ma chambre, je me laissai tomber sur mon lit, les yeux rivé sur le plafond. Dans ma tête tout était confus. Se faire renier par ses parents à 18 ans, ça jetais un froid. Mais, je n’avais même envie de pleurer. Surement étais-je encore trop choqué pour que la tristesse m’envahisse. Ou alors, se pourrait-il que je ressente du soulagement. Je ne saurais le dire.

Le lendemain, je me trouvais dans l’avion en direction du Japon. Le voyage fut long et fatiguant, mais le frère de ma mère, Takuya Tsujimura m’accueillit les bras ouvert. Il était accompagné de ses deux fils, Keito et Kazuya, et de sa fille Aya. Eux aussi étaient souriants. Je m’étonnais moi-même du fait que je n’eu aucun problème de communication ni de compréhension. C’était sans doute la seule chose pour laquelle je pourrais remercier mes parents : j’étais trilingue franco-anglais-japonais dès le début.

Voilà, maintenant vous savez tous, et même trop. Mais rassurez-moi, vous ne voulez pas encore savoir comment je suis atterri ici ? Si ce n’est grâce à mon parrain qui m’a inscrit dans cette école pour une raison que j’ignore encore maintenant.


Compétences particulières

Nathan a une culture générale assez grande s’intéressant à tout à n’importe quoi. Il touche à pas mal de chose. Ainsi il à jouer du piano, un peu de guitare mais c’est surtout le violon qui, bizarrement, à retenu son attention. Sans doute a-t-il choisit cet instrument afin de se démarquer de tous les autres jeunes qui jouaient de la guitare. Quoiqu’il en soit, Nathan est à sa douzième année de pratique et ne compte pas s’arrêter là.

moyenne générale: 69/100

son niveau de tennis est, dirais-je plutôt bon. Au bout de 10 ans de pratique à raison de 3h par semaine, on est obligé d'avoir acquit une bonne maîtrise des techniques de frappes et ainsi que la force qui va avec.

Langues :

Français : langue de Molière. Bien qu’étant forcé de la parler tous les jours, j’aime énormément cette langue

Anglais : langue de Shakespeare. Les consonances très douces et mélodieuses, font que cette langue est celle que je préfère et que n’eu aucun mal à apprendre.

Allemand : Langue de Goethe. Alors que dans ma classe ainsi que dans mon entourage je fus le seul à avoir choisit d’apprendre cette langue, je ne regrette pas mon choix. Pour moi, les consonances rudes et « barbares », comme dirait de nombreuses personnes, font justement de cette langue ce qu’elle est. Je suis sans doute l’un des seuls à la trouver belle et à l’apprécier à sa juste valeur

Japonais : Langue de Miyamoto Musashi. Dès mon plus jeune âge, j’eu l’honneur d’avoir été élevé de manière bilingue ainsi que biculturel. Ma mère étant Japonaise, elle me parlait en japonais. De ce fait, je n’avais aucun mal avec cette langue et la maitrisais presque aussi bien que le français. Je dis presque car étant donné que j’ai passé la majeure partie de ma vie en France, je n’eu malheureusement jamais l’occasion de montrer de quoi j’étais capable, ni même de savoir si je pouvais me débrouiller au Japon.



Dernière édition par Nathan Scott le Lun 31 Jan - 19:13, édité 1 fois
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Nathan Scott Empty
MessageSujet: Re: Nathan Scott   Nathan Scott EmptyLun 31 Jan - 18:52

Hi !

Bon ben, tout est bon o/ Je te valide donc et te mets en chambre n°101 (premier étage, celui des garçons). Pense à le mettre dans ta fiche de personnage.

Amuse-toi bien ^^
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Nathan Scott

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