Nom : Naruda Lio

Prénom : Ema

Date de naissance : 21 Mai 1993

Âge : 15 ans

Nationalité : japonnaise

Caractère : Tétue, curieuse et entétée, Ema fait tout pour réussir ce qu'elle entreprend. Elle ne laisse pas marcher sur les pieds et n'hésite pas à exprimer clairement le fond de sa pensée lorsqu'elle en ressent la nécessité. Même si elle a tendance à abuser de ces charmes et use quelques rares fois du chantage, elle garde bien en tête qu'il ne faut pas jouer avec le feu au risque de ce bruler. Quelque peu mauvaise joueuse, elle respecte les règles : mieu vaut perdre que tricher ! Elle est plutot rancunière et il est préférable de la compter parmis ces amis que parmis ces ennemis. Mais Ema est aussi une personne de confiance. Une fois briser la glace, elle est très sociale et très solidaire. Elle aime le contacte avec les autre sans que cela ne l'empêche d'aimer les moments de solitudes lorsqu'ils sont rares et dédié a prendre du recule sur sa vie. Elle a le sens des responsabilités et est une de ces personne sur qui ont peu se reposer sans craindre qu'elle s'effondre.

Physique : Grande, mince et jolie, elle ressemble beaucoup à sa mère qu'elle n'a jamais connue. Plutôt élancée, on peut dire que la nature l'a doté de belles formes qui ont pour avantage et inconvénient d'attirer sur elles le regard de la gente masculine. Elle a les traits fins et le tait légèrement halé. Ses cheveux surprennent souvent de par leur couleur rousse vif et ses yeux sont d'un bleu profond, éco parfait à la douleur de son passé. Elle aime prendre une expression qui au premier regard lui donne un coté indifférent, comme si la vie lui importait peu. Mais lorsqu'elle sourie, elle illumine le monde qui l'entoure. Elle n'est pas magnifique, elle est tous simplement élégante et charismatique.

Histoire :

- Elles n'ont pas survécu. Toutes mes condoléances.

Le visage de l'homme devint livide. Il savait que ce serait dangereux de poursuivre le grossese mais il avait espérer qu'au moins une survivrait. Mais il avait eu tort d'éspérer. Maintenant il se retrouvait tout seul, dans cette clinique qui sentait la javel. Mieu aurai fallu tout interrompre lorsqu'il en été encor temps. Il sentit une larme rouler sur sa joue, une seule, éco parfait a sa solitude. Il ne lui restait personne, et personne ne pouvait comprendre sa tristesse.

- Je peux les voir?

L'infirmière le laissa entrer. Un lit occupait la majorité de l'espace. Le personnel s'était occupé de nettoyer la pièce après l'incident. Prudamment, il s'appracha de sa femme. Elle était étendu sur le lit, ces deux progenitures dans les bras. On aurait pu croire qu'elles dormaient ; il aurait voulu croire qu'elles dormaient. Mais la vérité était tout autre. Pendant quelques secondes il les comptempla, quelques secondes qui lui parurent être une éternité. Il repensait a tout ses bon moments passer avec sa femme, leur rencontre, leur première fois, l'intensité de leurs sentiments, leur bonheur lorsqu'il apprirent qu'elle était enceinte... Et le moment ou le médecin leur avait annoncer que c'était deux jumelles mais que cette grossesse était très risqué, qu'il valait mieu abandonné maintenant et etre sur qu'au moins sa femme resterait vivante. A l'époque la question ne s'était meme pas posé, il leur était inconcevable de perdre ces deux petits bouts. mais maintenant, plus il y pensait plus il se disait qu'il aurait mieu fallu.
Un cri le tira de ses pensées. Le temps qu'il revienne a la réalité, l'infirmière s'était déjà activé et d'autres membres du personnel était arrivé en trombe dans la chambre. Il avait beau regarder autour de lui, il ne comprennait pas ce qui se passait. on lui demanda de sortir et il obtempera sans trop savoir pourquoi. Il s'asseya dans la salle d'attente et il attedit un bon moment. Il était dans un état de trans, comme si son cerveau s'était déconnecter. Au bout d'une demi heure, l'infirmière qui lui avait annoncé le déces de sa femme vint le chercher :

- J'ai une bonne nouvelle : une de vos fille a survécue mais....

Il n'écoutait déjà plus la suite. Il n'était plus seule, il avait une fille, sa fille! Et il l'aimerais toujours et ferait de son mieu pour combler le manque de sa femme.

*****

- On est arrivé ma puce.
- J'ai pas envie de les voir!
- Mais enfin ma chérie, ce sont tes grands-parents ! Cela leur fait plaisir de voir leur petite fille.
- Non ! Et puis d'abord ils m'aiment pas !
- Arrête de dire des bêtises et descend de la voiture leur dire bonjour, vite !

La jeune fille descendit a contre coeur de la voiture. Elle avait maintenant 5 ans et s'épanouissait comme toutes les jeunes fille de son âge. Elle devenait de plus en plus belle d'année en année et ressemblait beaucoup a sa défunte mère, aussi bien en caractère qu'en apparence. Son père l'élevait du mieu qu'il pouvait et elle semblait heureuse. Il n'avait jamais évoquer avec elle l'incident de la maternité mais ne lui avit pas mentit, il évitait simplement ce sujet sans jamais répondre a ses rares questions repoussant sans cesse le moment ou il devrait lui expliquer l'abscence de sa mère, ce moment qu'il savait inévitable.

Aujourd'hui, il rendait visite a ses beau-parents. Il apprenandait ce moment et le faisait plus par obligation que par réelle envie d'aller voir ces vielles personnes qui se contentaient de lui faire des reproches sur la façon dont il avait élevé sa fille. D'ailleur, elle n'ont plus ne les aimaient pas beaucoup. Ils se dirigeait tous les deux vers leur maison de campagne. Mme Lio les attendait sur le pas de la porte. Il était à peine 20 heures mais elle leur reprocha d'arriver a cet heures si qui selon elle était beaucoup trop tard. Elle les fit entrer et à peine avaient-ils franchient la pas de la porte qu'elle déclara qu'il fallait aller coucher la petite.

- Désolé Madame mais, en temps que tuteur légal, j'ai encore le droit de décider à quel heure elle se couche.

Il l'entendit murmurait "père indigne" entre ses dents mais fit comme si il n'avait rien entendu. Il monta a l'étage pour aller poser leur bagage et laissa sa fille avec sa belle-mère. Il ne la laissait jamais seule avec des personnes qu'il n'aimait pas mais il se dit que rien ne pouvait lui arriver. Il défit leur bagage et commença a les rangers dans les armoirs. Il ne restait ici que quelques jours mais il avait emporter beaucoup de chose. Tout à coup il entendit un cri provenir du rez de chaussé. Il se précipita dans l'escalier manquant de se fouler la cheville en les dévalant quatre à quatre et déboucha dans le salon. Le spectacle qu'il vit l'effraya. Mme Lio secouait sa petite fille qui pleurait et criait. La marque sur la joue de la pauvre enfant témoignait d'un geste de violence. La vielle femme craiait :

- C'est ta faute, tu l'a tué! Ta mère et morte et c'est toi qui l'as tué ! Si tu n'étais pas là, elle serait toujours vivante! Tu n'est qu'une assasin, qu'une meurtrière!

Une deuxième gifle vient frapper la joue de la jeune enfant. Elle tremblait de peur, de douleur et criait de desespoire. Son père intervint. Il se jeta sur sa belle-mère et la frappa au visage. Elle voulu se protégée et lacha la fille. Son père la pris dans ces bras et s'enfuit en courant avant même que la vielle folle allongée par terre ait eu le temps de se relevée.

*****

- Je m'inquiète pour elle ! Elle ne parle jamais, même lrsque je l'interroge et reste seule dans son cion. Elle ne révise plus ses contrôles et ses notes sont désespérantes.

Il soupira. Voilà maitenant 2 ans qu'il n'avait pas revu ses beau-parents mais il ne se passait pas un jour sans qu'il repense à se jour décisif. Traumatisé, sa fille avait perdu gout a la vie. Elle ne parlait que très rarement et ne souriait jamais. Elle s'était refermée sur elle même. Elle était constament dans son monde et ne prêtait plus attention aux autres. Et pourtant dieu sait combien il aurait aimé l'aidé, lui parlé, la réconforté, lui expliqué que ce n'était pas de sa faute et lui dire la vérité. Toute la vérité. Mais il avait peur, bien trop peur. Peur qu'elle ne lui ne lui fasse plus confiance. Peur qu'elle ne le croit pas. Cela faisait bientot deux ans qu'il n'avait pas eu de discussion sérieuse avec sa fille.

Et aujourd'hui il était dans le bureau de son professeur, à l'écouter lui dire ce qu'il savait déjà. Il regarda sa fille. elle qui aimait les couleurs ne s'habillait plus que de couleur sombre. Ses long cheuveux rouges lui cachait le visage. A quoi pensait-elle? Il aurait bien aimé le savoir, lui demandait si elle allait bien, si elle avait besoin d'aide pour traverser ce moment difficile... Mais il restait là, inactif, impuissant, lâche. Il ne disait rien. Il attendait que cet entretient soit fini pour se retrouver seul. Seul.

*****

- Dit papa, comment-elle était maman ?

Il se retourna de surprise. Elle se tenait dans l'entcadrement de la porte, lui était assi devant la télé comme tous les soirs. Il était minuit passé mais il ne lui demanda pas d'aller se recoucher. Elle lui avait parlé. Cela allait faire cinq ans que sa fille s'était éteinte, et lorsqu'il commencait a desespérer, une lueur d'espoir apparaissait.
Il éteignit la télé et lui fit signe de venir s'asseoir à coté de lui. Elle avanca et se blottit contre son père. Il l'entreignit délicatement, comme si elle avait encore quatres ans. Il commença a raconter...

- Ta mère avait toutes les qualités possibles et immaginable. Elle était très belle. C'était la plus belle des femme. Tu lui ressemble beaucoup!...

Emporter par le temps, il passa plus d'une heure a lui parler de sa mère, lui vanté ses qualités mais également ses quelqes défauts. il était heureux d'enfin pouvoir lui dire tous ce qu'il voulait.
Puis il lui raconta le tragique incident de la maternité. Ema pleurait doucement, blottie tout contre son père. Il lui dit combien il s'était senti seul quand on lui avait annoncé que sa femme et se deux filles étaient mortes. Il n'omis aucun détaile de l'histoire.
Lorsqu'il eut fini, toute la nuit était passée. Il serrait fort sa fille contre sa poitrine. En une nuit, ils avait réussi a chasser toutes les questions qui les torturaient. Ils pleuraient, en silence, l'un contre l'autre. Ils étaient heureux. Ils s'endormirent.

*****

- C'est ça la pension Shokuboo Inochi. C'est moche et pas attirant.

Son père se sentit rougir. Il ne su plus quoi dire. Il bafouilla quelque chose d'incompréhensible et rougit encore plus. Ema ne pouvant plus se retenir éclata d'en rire joyeux. Il se détendit. Aujourd'hui était un jour important : Ema rentrait en pension. Et il était très nerveux.
Depuis l'épisode des révelations, tout s'étai arrangé. Les notes de sa fille avait augmentées, il s'était trouvé une copine qui semblait lui plaire autant qu'elle plaisait a Ema, et il avait été muté par son travail a un meilleur poste. Ce dernier evènement était la cause de la rentrée d'Ema dans la pension Shokuboo Inochi. Elle ne semblait pourtant pas tendue et affichait un grand sourire porteur de vie. Un sourire communicatif et joyeux. Le sourire qui faisait fondre son père comme s'il avit été de glace dans le désert du Sahara.

- Bon bah il va falloir que tu y aille ma chérie.
- Tu sais papa, je pars pas pour toujours ! Je suis sure que tout vas bien ce passer alors ne t'inquiète pas. Et surtout prend bie soin de Mitchiko parce que c'est un eperle dans son genre. Je t'aime papa.

Elle sera fort son père contre elle et il lui rendit son étreinte. Elle pris ses bagages, inspira un grand coup et passa de l'autre coté de la grille. Elle ne savait pas encore ou elle avait mis les pieds !


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