Nom : Archibald

Prénom : Jenny

Date de naissance : 23 mars

Âge : 17 ans

Nationalité : Jenny est née au Japon, d’un père Anglais d’origine Japonaise, et d’une mère Cubaine.

Club de : Athlétisme

Caractère : Jenny est une jeune fille au caractère bien trempé, ce qui ne manque pas de lui jouer des tours parfois. Elle dit toujours ce qu’elle pense haut et fort, quitte à ce que cela blesse la personne concernée. Elle déteste les cachotteries, et elle ne fait jamais ce qu’elle n’aimerait pas qu’on lui fasse…De fait, dès qu’on lui cache des choses, elle peut facilement s’énerver et même devenir rancunière : Si elle s’estime trahie par quelqu’un, la dite personne pourra toujours essayer de s’excuser, elle ne voudra jamais rien entendre. Têtue, impulsive, elle possède une grande force en elle qui l’aide jusque dans les pires moments, et lui permet de se sortir de n’importe quelle situation la tête haute. Par contre, du fait qu’elle ait un physique peu commun, elle souffre beaucoup des moqueries racistes dont elle est la victime, et, bien qu’elle ne pleure jamais, cela ne l’empêche pas de se renfermer profondément sur elle-même dès que cela arrive. Par ailleurs, elle a une fâcheuse tendance à penser que les gens sont tous nés bons et gentils, et que de par ce fait elle peut aller vers n’importe qui en toute confiance : Cela lui a souvent joué des tours par le passé, et bien qu’elle soit très souvent déçue par les attitudes puériles de certaines personnes, qu’elles soient de son âge ou même plus âgées, elle ne peut pas s’empêcher de vouloir intimement faire confiance à tout le monde. Jenny n’est pas quelqu’un qui aime les barrières ni les distances entre les êtres humains vivant ensemble sur cette bonne planète, alors elle se livre très facilement, pensant que l’on va faire pareil avec elle…Jusqu’à ce qu’elle se rende compte qu’elle a été dupée, que les gens se moquent facilement d’elle dans son dos et qu’elle devient la risée de tous. Par ailleurs, son franc parler ne passant pas inaperçu, elle a beaucoup de mal à se faire des réels amis sur qui elle peut compter : Elle ne parvient pas à être mesurée dans ses paroles ou dans ses gestes, si bien que tous la prennent plus ou moins pour une folle et refusent de voir plus loin que le bout de leurs nez. Mais, au-delà de toute cette façade toujours enjouée et prête à rendre service se cache une jeune fille qui craint beaucoup ce monde et qui n’ose pas vraiment se confronter à lui. Jenny imagine souvent son futur, et c’est pourquoi elle rêve un peu trop de ce qu’elle ne sera jamais. Autrement dit, elle rêve sa vie plutôt que de la vivre vraiment, pensant qu’en imaginant des choses elle pourra changer son destin. Plutôt bonne élève, elle se donne toujours les moyens de réussir dans toutes les matières, n’en négligeant aucune, passant des heures à travailler lorsqu’elle l’estime nécessaire. Mais la discipline dans laquelle elle se jette toujours à corps perdu, c’est le sport. Que ce soit le saut en hauteur ou la course, elle se donne à fond et peut passer des heures à pratiquer ses sports favoris, pas forcément pour s’entretenir, mais juste pour se faire plaisir et évacuer les tensions. Elle n’a à ce jour jamais trouvé quelqu’un d’aussi passionné qu’elle dans le saut en hauteur, et pour tout dire elle désespère de trouver tout bonnement quelqu’un qui ne la prendra pas pour une folle ou qui ne décidera pas d’être raciste envers elle…Par ailleurs, Jenny est fière de son physique, et elle n’hésite pas à le mettre en valeur, ne se préoccupant pas le moins du monde de ce que les autres pensent d’elle. Pas hautaine pour deux sous, elle est toujours nature et sans masque : Elle déteste le mensonge plus que n’importe quoi d’autre en ce monde et ne supporterait sûrement pas de devenir quelqu’un qui ment tout le temps. Même si la nécessité peut parfois inclure le fait qu’elle mente, elle aurait toujours du mal à le faire, même si c’est pour rendre service…Elle a un sens des valeurs très développé, surtout à cause du fait qu’elle est métisse et qu’on ne lui pardonne pas cela. Enfin, elle parle trois langues : l’Anglais, l’Espagnol et le Japonais. Il n’est vraiment pas rare de l’entendre prononcer des jurons dans ces trois langues, mais surtout en Anglais, afin qu’elle soit sûre que personne ne la comprend…



Physique : Jenny est d’une exceptionnelle beauté, à cause de son métissage notamment : Elle les yeux bleus très clairs de son père et les cheveux très longs, noirs et ondulés de sa mère. Sa peau est plus mate que celle des Japonais, si bien qu’elle ne passe jamais très longtemps inaperçu. Elle est remarquablement grande pour son jeune âge : A 17 ans, elle frôle les un mètre quatre vingt, et cela sans jamais mettre de chaussures à haut talons. Au contraire, elle ne porte que des chaussures plates et avant tout des baskets afin de ne jamais être considérée comme une ‘grande perche’ pas les autres élèves de sa classe. Elle est très fine, voire même presque maigre, à cause du fait qu’elle mange très très peu et qu’elle fait énormément de sport, en dehors des heures imposées par l’école, rien que pour son plaisir. Elle s’habille différemment selon l’activité qu’elle prévoit de pratiquer pendant la journée : Elle met son uniforme féminin lorsqu’elle se rend en cours, comme tous les autres élèves, un vêtement de sport classique accompagné d’un short extensible et confortable lorsqu’elle prévoit de faire un effort physique intense, et le plus souvent un corset avec une jupe courte lorsqu’elle sort en ville, seule la plupart du temps, mettant en valeur ses formes, dont elle est très fière. Sa démarche est tantôt nonchalante, tantôt sûre d’elle. Son attitude varie selon la manière dont elle est habillée, mais surtout en fonction de la personne qui se trouve en face d’elle : Elle aura plus tendance à faire des grands gestes et à s’esclaffer sans peine si elle est avec une personne de confiance, et à rester sage et maîtresse d’elle-même si la personne en face est encore inconnue pour elle. Ses yeux d’un bleu presque trop clair sont en amande et décrivent toutes ses émotions avec une rare intensité : Même lorsqu’elle ne dit rien et ne se permet pas d’émettre un avis alors que l’envie est très forte, ses yeux parlent pour elle, se mettant le plus souvent à briller d’une rare intensité selon l’émotion ressentie. Ses longs cheveux sont très légèrement ondulés, sans jamais être frisés, ce qui ne lui donne pas une tête de mouton mais bien une chevelure normale et facile à coiffer. Elle n’attache ses cheveux que lorsqu’elle fait du sport, sinon, la plupart du temps, elle se contente de glisser un ruban blanc pour contraster avec la couleur de ses cheveux, ruban utilisé seulement pour rassembler ses cheveux plus que pour les attacher. Les traits de son visage sont souvent marqués par un sourire, alors que ses yeux ne laissent jamais échapper une larme, même lorsqu’elle est très triste : Tout en elle ne respire que joie de vivre et impulsivité.


Histoire : Je précise que je parle à la première personne parce que mon histoire est contée sous le format ‘journal intime’ mais dans le RP, j’écrirais à la troisième personne, normal quoi >___< Si ça vous choque vraiment je recommencerai, aucun souci ^_^


Cher journal,

Je démarre une nouvelle page, étant donné que ma vie a pris un tournant inattendu : Je viens d’être enfin admise à cette école si réputée, Shokuboo Inochi. A la base, je ne pensais même pas poursuivre mes études au Japon, pensant que ma mère voudrait que je la rejoigne à la Havane…Au lieu de ça, je suis un peu coincée ici, avec un père toujours en voyage d’affaire principalement vers l’Angleterre, son pays natal, et ma mère mannequin un peu partout dans le monde. Tu l’auras deviné, je ne suis pas exactement comme tous les Japonais, je ne l’ai jamais été et je ne le serais jamais : Sans vouloir me vanter, je suis l’une des rares à avoir les cheveux noirs, la peau mate et les yeux bleus. Mais ne te méprends pas, mon physique n’a pas fait que des heureux, beaucoup sont racistes avec moi, comme s’ils ne supportaient pas que quelqu’un soit un tant soit peu différent d’eux…Bref, je m’en fiche, s’ils ne sont pas capable de venir me parler sans m’aboyer dessus, c’est leur problème ! Revenons à un sujet plus intéressant…J’ai croisé la route d’un garçon aujourd’hui. Tu vas me dire que ce n’est pas la nouvelle du siècle et que tu te serais bien passé de garder ce genre de secret futile, mais ce garçon n’est pas sans importance pour moi : Je ne connais pas son nom, mais ce que je peux te dire, c’est qu’il est vraiment odieux avec moi. Disons qu’il ne me connaît pas, que je ne le connais presque pas et qu’il n’a même pas une attitude raciste avec moi…C’est comme si quelque chose le rebutait chez moi sans que je sache ce que c’est. Laisse moi d’abord te raconter comment nous nous sommes rencontrés, car oui, hélas je le connais depuis un bon bout de temps :
Je vivais à la Havane avec ma mère pour quelques semaines, parce que c’était les vacances d’été et que mon père avait brusquement annulé nos vacances à Tahiti. D’habitude, il me prend toujours avec lui et me fais visiter un pays différent chaque année, mais cette fois, une affaire de la plus haute importance avait retenu son attention et j’étais obligée de rester enfermée chez ma mère, à broyer du noir comme jamais. Ma mère, nommée Mylena, ne s’était jamais très bien entendue avec moi. Il faut dire que je suis le fruit d’une union lors d’une soirée très arrosée, et que ma mère n’a jamais vraiment voulu de moi semble-t-il. Elle ne m’a gardée que parce que mon père a beaucoup insisté, parce qu’il voulait un enfant…Ils ne se sont même pas mariés, et ils ont eu tôt fais de se séparer dès ma naissance. C’est mon père qui s’est occupé de moi pendant de nombreuses années, enfin…Occupé de moi est un peu excessif comme formule je trouve, puisqu’il enchaînait voyage sur voyage et que je ne voyais pratiquement jamais. C’est donc ma grand-mère paternelle qui a pris soin de moi jusqu’à ce que je sois en âge de comprendre un peu plus le monde qui m’entourait. Elle a toujours voulu le meilleur pour moi, et je vivais très heureuse ainsi, du moins jusqu’à ce que ma mère débarque un soir, visiblement furieuse, hurlant dans toute la maison qu’elle avait entamé une procédure judiciaire afin d’obtenir ma garde. J’avais à peine dix ans à l’époque, et je ne comprenais pas vraiment bien tous ces discours de grandes personnes, mais ce que je sais, c’est que je fus obligée de partir vivre à la Havane avec ma génitrice, parce que le juge avait décidé qu’elle aurait ma garde. Il fallait dire que les nombreuses absences de mon père n’avaient pas joué en sa faveur, surtout qu’il était absent le jour de la confrontation avec le juge…Bref, je me suis retrouvée chez ma mère avant même d’avoir eu le temps de faire ouf, et ma vie prit un tournant plus cauchemardesque encore que je ne me l’étais imaginée : A peine arrivée, ma mère m’ordonna de m’habiller en garçon parce qu’elle refusait d’avoir pour enfant une fille. A l’époque, je n’ai vraiment pas comprit pourquoi elle agissait aussi bizarrement, mais aujourd’hui, je le sais. Elle était mannequin à la renommée internationale, elle gagnait très bien sa vie, et elle ne voulait surtout pas que je puisse un jour lui prendre la première place du podium. Alors, elle m’enlaidissait avec des vêtements trop grands pour moi, elle cachait ma féminité du mieux qu’elle pouvait, surtout lorsque je grandis et que je commençât à prendre des formes de plus en plus marquées. En raison de ma grande taille, je n’avais aucun mal à passer pour un garçon, mais cette situation m’énervait. Je voulais dire à ma mère qu’elle pouvait aller se faire voir en enfer, et que j’allais cesser sa supercherie, mais dès que l’occasion de lui parler de ça se présentait, elle prenait toujours un prétexte débile pour éviter de me parler. La mascarade dura jusqu’à ce que je décide de prendre ma vie en main, le jour de mes treize ans, et que je fasse une fugue afin de faire comprendre la vie à ma mère. Ne prenant même pas la peine de m’habiller de façon féminine, je me mis à marcher des heures durant, jusqu’à ce que je croise la route d’un jeune garçon endormi sous un arbre, ayant visiblement le sommeil agité. Il était séduisant, c’était indéniable, mais j’avoue avoir rapidement chassé ce genre d’idée saugrenue de mon esprit en sachant qu’aux yeux de tous j’étais moi-même un garçon, et non plus une fille. Pourtant, inconsciemment, je passa ma main dans ses cheveux, n’ayant cure du fait qu’il pouvait se réveiller et mal le prendre, ce qu’il fit, puisqu’il me saisit avec force la main, me lançant tout bonnement un regard haineux, me traitant d’idiot homosexuel au passage. J’avoue que la gifle que je lui ai donnée est partie toute seule…Je n’ai jamais supporté qu’on me parle mal, alors un blanc bec dans son genre n’allait certainement pas faire la loi bien longtemps !

« Tu verrais bien mieux te tourner ta langue sept fois dans ta bouche avant de parler, espèce de renard court sur pattes ! »

Je lui avais balancé ça en pleine figure, avant de me relever plus fièrement que jamais. Evidemment, j’avais parlé avec ma ‘voix masculine’ celle que j’entraînais depuis des années et qui devenait assez convaincante maintenant. Mais, ô comble de la surprise, cet idiot d’étranger me rattrapa, visiblement amusé par ma réplique. Il m’avoua que j’avais du caractère pour un mec, et qu’il appréciait bien les gens avec du caractère, uniquement lorsqu’ils étaient de sexe masculin. J’avoue que je n’ai pas compris tout de suite qu’il détestait les femmes, mais cette idée a fini par germer plus tard dans mon esprit. Il n’était pas d’ici, et pour cause, il avait la peau plus blanche qu’un cachet d’aspirine, mais je le revoyais tous les jours. Il m’attendait à l’endroit où nous nous étions rencontrés, chaque après midi, jusqu’à ce que je dusse retourner au collège. Il me promit de revenir l’été prochain, partant du principe qu’un pote comme moi, ça ne pouvait pas s’abandonner du jour au lendemain. Pour être franche, il me plaisait bien, il me plaisait même beaucoup. Hélas, je devais bien me résoudre à m’empêcher de tomber amoureuse de lui, et pour cause, il semblait haïr les femmes plus que n’importe qui d’autre en ce monde et il me prenait pour un garçon ! Alors, l’année passa à une lenteur mortelle et bien que je n’avais absolument aucune nouvelle de lui, j’espérais bien qu’il reviendrait comme il l’avait promis. Je lui avais même donné mon adresse à la Havane, enfin celle de ma mère, afin qu’il puisse me retrouver plus facilement. Malheureusement, le jour où il revint et qu’il sonna à la porte d’entrée, je venais de prendre une douche, et donc je vins ouvrir habillée d’une longue serviette de bain. Hélas pour moi, mes formes ayant bien poussées en un an, j’avais l’air d’une femme et non plus d’un homme, surtout avec les cheveux détachés. Je découvris mon erreur en voyant sa tête à ma vue, mais je parvins néanmoins à ne pas me trahir : Je lui demandais qui il était et ce qu’il voulait, mais sa voix se fit plus cinglante que jamais…A mon grand dam !

‘Personne qui peut t’intéresser donzelle que tu es, je cherche quelqu’un te ressemble, sûrement ton frère jumeau, tu lui ressembles comme deux gouttes d’eau. A ceci près qu’il a beaucoup plus de classe que toi et qu’il parle avec une voix moins nasiarde. Tu es vraiment l’archétype de tout ce que je déteste chez une femme : Tu as grande, en formes, et tu parles comme si le monde était à tes pieds…Désolé de te décevoir, entre toi et moi ce s’ra pas possible, vaut mieux aller te cacher pauvre bichette.’

Vraiment, ce type était détestable lorsqu’il s’y mettait ! Pour la peine, je lui claquai la porte au nez sans même lui rétorquer quoi que ce soit. Je n’avais pas envie d’être méchante alors qu’il semblait plus paumé qu’autre chose, et je n’avais pas non plus l’habitude de frapper les gens qui s’aventuraient à frapper à ma porte. Alors, j’attendis patiemment qu’il se risque à revenir chez moi, prenant bien la précaution de n’être plus qu’habillée en homme, partant du principe que de toute manière, vu qu’il détestait les femmes, il valait mieux qu’il ne sache pas que le garçon et la fille n’étaient qu’une seule et même personne et que c’était la fille qui prédominait dans le lot ! Il fallut une bonne semaine à cet inconnu pour qu’il revienne sonner et que je lui ouvre en étant habillée en homme cette fois-ci. Il eut un soupir de soulagement, me disant que j’étais quand même plus agréable à regarder que la fillette détestable qui lui avait ouvert la fois passée. Prenant un air totalement innocent, je me hasardai à lui demander à quoi ressemblait la fille qui lui avait ouvert la porte, et sa réponse fut aussi révoltante que ce à quoi je m’étais préparée : Il m’avait trouvée rustre, sans envergure, vulgaire habillée en serviette, et surtout, désagréable à regarder et mal polie. N’étant pas amusée pour deux sous par cette description peu flatteuse de ma personne, je répondis avec un rire forcée qu’il s’agissait là de ma jumelle et qu’elle était repartie pour le Japon. Il parut soulagé de ne plus voir ma ‘face féminine’ et je fus presque blessée par cela. Comment pouvait-il me détester autant alors que mon caractère lui plaisait pourtant lorsque j’étais déguisée ? A vrai dire, je ne su jamais la réponse, puisqu’il ne resta guère au Japon, m’expliquant avant de partir que son père avait été muté au Japon et qu’il ne risquait pas de revenir de si tôt à la Havane, pas même pour les vacances d’été. Il me serra ensuite contre lui un bref instant, comme s’il était horriblement triste et qu’il n’aimait pas le montrer, avant de me dire que je restais un bon pote quoi qu’il en soit. Il était parti sans autre forme de procès, et j’en eu le cœur serré…
Aaah ! Pourquoi je ressasse comme ça le passé ? De toute manière, je le trouvais sympathique avant de le recroiser aujourd’hui, au hasard, dans un couloir. Maintenant, je ne suis plus obligée de me déguiser en homme, alors tu penses bien qu’il n’a pas été particulièrement courtois en se souvenant de qui j’étais ! D’ailleurs, je ne sais même pas ce qui m’a pris de lui rétorquer si brutalement que mon frère était mort, enfin le faux frère que je m’étais inventé pour expliquer le fait que je ressemble autant à son ‘ami’. Il s’est enfuit, visiblement accablé par cette nouvelle. Je voudrais lui dire la vérité, pour qu’il évite de souffrir, mais il va me tuer s’il l’apprend ! En plus, il m’a prise au dépourvu, je sortais d’une séance d’entraînement intense de saut en hauteur, et donc j’étais plus épuisée que jamais…Je sais, j’en fais depuis très longtemps maintenant, et ce n’est souvent qu’une promenade de santé que d’en faire, mais je ne suis jamais totalement maîtresse de moi-même lorsque je sors d’un entraînement, je suis trop excitée pour réfléchir ! Et puis, repenser à tout ce qui s’est passé…ca me fait mal, quelque part. Oui, ça me fais mal, parce que figures-toi, après son départ, ma mère m’a annoncé que mon père avait récupéré ma garde, et que j’allais vivre chez lui au Japon, pays où je suis née à la base. J’étais à la fois heureuse et furieuse d’être trimbalée comme ça d’un foyer à un autre comme un vulgaire objet. Je suis donc allée au collège au Japon, à Tokyo pour être précise, juste avant d’être admise à cette école il y a quelques jours. Le futur, bah…On verra bien ! Ne t’inquiètes pas, je vais continuer à te conter mes aventures qui risquent fort de se transformer en mésaventures avec mon ami des vacances d’été ! Dont je ne connais toujours pas le nom, soit dit en passant…

Jenny

Avez-vous lu le règlement ? {OK} Tsu'

Bienvenue :32:

Bienvenue et amuse toi bien!

Bienvenue :)

Validée! ^^
Welcome.

Bienvenue !! J'aime bien ta fiche =)

Bienvenue^^.

Bienvenue!! Oufff... c'est qu'elle est longue ta fiche!