Nom : Ryote / McHalory
Prénom : Naoï
Date de naissance : Le 23 Mars 1992
Âge : 16 ans
Nationalité : Japonais de père et Irlandais de mère
Caractère :Naoï est plutôt calme ,en temps normal, pour quelqu’un de son age, tout le temps posé et réfléchi. Mais il est aussi comme l’eau qui dort, capable de passer du tout au tout en une fraction de seconde quand il s’énerve, chose pourtant assez rare. Donc mieux vaut ne pas chercher sérieusement les ennuis, car c’est aussi un inconditionnel de lames en tous genres, et il apprécie d’avoir toujours un petit quelque chose de tranchant sur lui. Il est aussi très patient de nature, et est capable d’attendre aussi longtemps qu’il le faut pour obtenir ce qu’il veut, ou toute autre chose nécessitant d’avoir un tant soit peu de patience, pire qu’un serpent tapi dans son trou et qui attend le bon moment pour attaquer. Mais il est tout de même très distrait, tout le temps en train d’écouter de la musique, du lever jusqu’au coucher du soleil il a son MP3 vissé sur les oreilles. Il écoute de tout, mais a une préférence prononcée pour le celtique traditionnel, ce qui lui rappelle sa mère, native d’Irlande, les morceaux de shamisen, et le hard rock. Il parait parfois même, dans son propre monde, quand il est totalement absorbé par une chose qu’il fait, écoute ou regarde, dans ce cas il a la tête légèrement penchée sur le coté et a le regard dans le vague, sans pour autant que son visage exprime une quelconque trace d’émotion. Bien peu de choses peuvent le sortir de cet état là. En revanche quand il sort de son « monde » c’est seulement pour afficher un petit sourire ironique, comme si il se moquait de la Terre entière. C’est d’ailleurs ce qu’il pense, que bien peu de choses ont une réelle importance sur Terre, et ça l’amuse de voir a quel point certaines personnes s’attachent à d’autres personnes, animaux ou objets, sans pour autant se rendre compte, qu’il s’attache facilement lui-même.
Il a aussi deux tics nerveux consistant, pour l’un à passer continuellement son pouce sur le fil du couteau qu’il a sur lui, que ce soit a la vue de tous ou dans ses poches, il ne peut pas s’empêcher de le faire, et pour l’autre de remonter ses lunettes sur son nez avec son index, ce qui lui donnait encore plus l’air dédaigneux.
Physique :Naoï n’est pas si grand que ça, seulement un mètre soixante-quinze pour soixante-dix kilos, mais seulement du muscle, il s’applique depuis son plus jeune age a entretenir sa forme physique en pratiquant le Kendo et l’Aïkido intensivement. Ses cheveux sont d’un blond plutôt foncé, tirant a certains endroits vers le roux, signe évident de ses origines irlandaises. Il a toujours un sourcil haussé, comme si il était en perpétuel étonnement, mais en regardant l’expression de ses yeux et de son visage, cela passe plus pour du dédain. Il met des lunettes de soleil a verres teintés bleus, qu'il laisse de côté de temps en temps, qui sont en fait des lunettes de correction d’un léger trouble de la vue de près, il trouvait que les lunettes trop classiques le rendaient ringard. Ses tenues préférées sont, le jean large et le T-shirt court pour la vie de tous les jours, il n’aimait pas trop changer de style, et les habits traditionnels pour ses activités sportives, ce qui consiste en un kimono simple pour l’Aïkido, et pour le Kendo le kimono avec pardessus un hakama et les pièces d’armures d’entraînement. Il appréciait vraiment ces dernières car il se sentait libre de ses mouvements, mais ce n’est pas pour autant qu’il se serait baladé avec dans l’école. Pour un jeune homme de son age il avait les épaules plutôt larges et des mains rudes, fruit de son entraînement. Il portait aussi un anneau a charnières large au poignet droit, pour cacher une cicatrice disgracieuse qu’il s’était fait dès son plus jeune age, par manque d’attention en jouant avec une des nombreuses lames si tranchantes qu’il affectionnait tant. Et enfin, aussi incroyable que cela puisse paraître il se chaussait toujours avec des rangers noires, dont il avait lui-même amélioré les semelles, en collant une couche de caoutchouc spécial pour ne plus faire de bruit, car les chaussures qui couinent l’énervent plus qu’autre chose, et c’était aussi bien pratique pour se déplacer dans les couloirs sans faire aucun bruit.
Histoire : Commençons par sa mère, elle descend d’une très ancienne famille gaélique, les McHalory. Áine (a prononcer onya, signifie éclat ou splendeur) de son prénom, et elle le portait bien, est née dans l’extrême ouest de l’Irlande, en 1970. Elle a vécu toute son enfance dans les profondeurs reculées des tourbières, des marais, et des plaines aux couleurs sombres si caractéristiques du pays, dans un minuscule village ne comptant pas plus d’une trentaine d’habitants. Et ce jusqu'à ses 17 ans, c’est à cet age qu’elle a réalisé qu’elle ne ferait pas sa vie au fin fond d’un endroit paumé. Elle prit la décision d’abandonner ses parents, et de partir pour la capitale. En arrivant sur les lieux elle réussit a se faire recruter comme serveuse dans un fast-food miteux pour gagner l’argent nécessaire a l’achat d’un billet d’avion en aller simple pour un pays si lointain a ses yeux si verts : Le Japon. Car c’est en passant devant une agence de voyage qu’elle se prit a admirer une affiche où le soleil était omniprésent et mystérieusement attirant, pour elle en tous cas.
Le père de Naoï, Akizumi Ryote, est un conservateur d’armes anciennes dans un musée. Il est né en 1971, à Tokyo, et y a vécu toue sa vie. C’est sa passion pour les armes anciennes qui l’a mené a faire ce métier, mais heureusement pour lui son propre père, le grand père de Naoï donc, exerçait ce métier lui aussi, ce qui à donc permis a Akizumi de reprendre cet emploi le moment venu sans avoir a faire de longues études, ceci lui convenait parfaitement car il n’aimait pas particulièrement travailler, caractère dont a, en partie hérité son fils. Mais une collection de musée doit être approvisionnée de temps à autres, et il devait recevoir, pour aider son père, un colis d’armes médiévales venu d’Europe occidentale par avion, mais en pleine saison des typhons. Il était arrivé tôt à l’aéroport, et c’est sans étonnement, qu’il vit sur le tableau des arrivées que le vol avait été finalement annulé pour des raisons de sécurité. Complètement démotivé, il entreprit de se diriger le pas traînant vers les sièges au centre du hall pour s’y avachir, quand quelque chose d’inhabituel vint perturber son champ vision, une épaisse chevelure rousse emmêlée par la nuit de sommeil passée sur un fauteuil qui n’était pas prévu a cet effet.
Akizumi, tout intimidé et à la fois fasciné par cette étrangère ne savait pas comment l’aborder, car il était comme hypnotisé par ses yeux si verts. Et finalement ce n’est pas lui qui engagea la conversation mais "elle", oui elle, Áine. La jeune irlandaise d’a peine 17 ans, venue tout droit de son pays, et qui avait passé une nuit peu réparatrice dans un fauteuil inconfortable, et c’est d’une voix ensommeillée qu’elle lui posa une question, en anglais avec un fort accent irlandais car elle ne parlait pas encore le japonais.
- Bonjour, je peux savoir pourquoi vous me dévisagez depuis cinq minutes ?
Il ne s’était pas rendu compte qu’il fixait les yeux de la jeune fille depuis un temps indéterminé, pour lui en tous cas c’était comme si il avait été transporté un instant dans un monde parallèle au notre, aspiré par ces yeux d’un vert si intense, un monde où tout était parfait. Il secoua la tête comme si il venait de se réveiller, cligna des yeux plusieurs fois, puis bredouilla une phrase inintelligible et sans aucun rapport, dans un anglais approximatif car il était littéralement privé des ses facultés d’expression.
- Euh… j… je suis très très, enchanté… de faire ta… euh !! Votre connaissance, euh oui… vraiment.
Son cœur battait a une vitesse folle, il transpirait a grosses goûtes et avait du mal a contrôler sa respiration, ses yeux étaient accaparés par ceux de la jeune fille, tous les symptômes du coup foudre étaient réunis. Il na savait plus quoi dire, heureusement pour lui Áine avait la conversation facile, et comme elle venait d’arriver et n’avait passé qu’une nuit à Tokyo elle n’avait pas eu le temps d’explorer les environs.
- Ecoutez, je viens d’arriver ici et je ne connais pas encore cette ville, j’aurais besoin de manger, vous pourriez m’accompagner jusqu'à un restaurant plutôt que de bredouiller n'importe quoi…
Elle avait prononcé cette phrase avec un grand sourire et en vissant son regard dans celui de son interlocuteur, ce qui finit de mettre Akizumi dans tous ses états.
Et c’est ainsi que commença une histoire, qui donnera suite à la naissance d’un seul enfant, Naoï.
Il est né le 23 mars 1992, à l’hôpital de Tokyo, après de longues complications et une césarienne plutôt risquée pour la mère, Naoï poussa son premier cri. Áine, après avoir emménagé dans la demeure d’Akizumi, n’avait pas cherché a trouver un emploi, ce qui lui avait permis d’être présente pour son fils, qui réclamait une attention de tous les instants car a un an il savait déjà se tenir sur ses jambes et gambader a toute vitesse a travers les couloirs de la maison. C’est d’ailleurs sa précocité et l’inattention de son père qui lui avait valu sa passion pour les lames. Car c’est quelques mois après son douzième anniversaire qu’il lui vint l’idée de demander a ses parents comment il s’était fait cette cicatrice au poignet droit. Il ne s’était jamais posé la question puisqu’il avait toujours vécu avec, mais il apprit que c’était à un an, peu après avoir appris à marcher qu’il avait réussi a entrer dans le bureau de son père, et quelque chose dépassant de son bureau l’avait intrigué, il avait alors saisi sur la pointe des pieds, le manche de la dague que son père avait rapporté du musée pour un entretient, donc de fabrication unique et prestigieuse, posée sur la table de travail et que c’était cette même dague qui en tombant lui avait sectionné les tendons du pouce, de l’index et du majeur. Avant il ne s’était jamais vraiment intéressé au métier de son père, mais après cette histoire il avait vite pris goût, à l’histoire des lames célèbres et surtout à leur maniement. Ses parents avaient donc proposé de l’inscrire au cours de Kendo et d’Aïkido le plus proche, ce qu’il avait accepté avec joie tout en leur posant une question.
- Pourquoi L’Aïkido ?
Et ses parents lui répondirent que le Kendo symbolisait l’attaque et l’Aïkido la défense, car en Aïkido on apprend pas a attaquer, aussi qu’il n’aurait pas toujours une lame sur lui, et surtout que pratiquer ces deux arts martiaux constituait une forme d’équilibre. Et c’est finalement pour ses seize ans que ses parents, pour lui faire continuer ses études dans un autre cadre, l’envoyèrent à l’école de Shokuboo Inoshi.
Avez-vous lu le règlement ? : -OK- (Sheik')
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Je bois à ta santé...bienvenue 
(trop trippant les smiles Sheik xD)
