Nom : O'Neil
Prénom : Wendy, Sarah
Date de naissance : le 7 mai
Âge : 11 ans
Nationalité : Anglaise

Caractère : Wendy est quelqu'un de plutôt impulsive. Elle dit toujours ce qu'elle pense, en quelque mot seulement. C'est une fille très calme pour son âge, peut-être à cause de son renfermement, parce que s'est une personne reserver, mais pas seulement, lorsqu'on l'avise de plus près, on se rend compte que c'est une personne froide, qui n'est pas facile à vivre. Ca n'est pas une mauvaise fille, elle est juste machiavelique par moment, sournoise et très detestable. Ca ne serait pas le genre de fille qui vous mentirez pour que vous vous sentiez mieux, bien au contraire. Elle dit toujours le fond de sa pensée.. et elle va juqu'au bout, quitte à faire souffrir les plus proches personnes qu'elle a. Il se peut que ca soit une maniere pour elle de voir les limites des gens qui l'entoure, c'est une sorte d'experience philosophique, et c'est certainement de la que vient son imagination debordante et son intelligence bien aiguisée.
C'est une petite fille très renfermait sur elle même, elle ne va jamais vers les autres, et elle ne les laisse jamais approcher d'ailleurs, à moins que cette/ces personne(s) soit(ent) très couraguse(x). Elle peut egalement paraître pour une folle par moment, d'autant plus, elle n'a pas les idée toujours bien placées... Allez savoir pourquoi. D'autant plus, elle est très mysterieuse, et cache merveilleusement bien son jeu et on arrive rarement, voir jamais, à percevoir ce qu'elle pense, ou ce qu'elle voit. Elle ferait n'importe quoi pour en arriver à ses fin...pour le peu de chose qui lui importe. Lorsque vous aurez le plaisir de discutailler avec elle, vous vous rendrez compte de se qu'elle est en réalitée...elle sera capable de tenir nue dicution d'un bout à l'autre, parce que malgrés ses air de petite fille folle et froide, enfait, c'est une bavarde... Mais reste à savoir qui elle choisira pour ses bavardages, parce que, au fond, l'intelligence...c'est de savoir communiquer non? Derniere chose, tout cela, toute cette descirption, vous n'en aurait pas besoin en rpg... Car plus on grandit, plus on rencontre, et plus ces rencontres nous changeront. C'est de même pour Wendy... Une petite fille à la recherche d'une perle rare.


Physique : Wendy est une petite fille d'une blondeur de paille, cheveux très longs, et plus où moins frisés, voir quelque peu bouclés parfois, elle les laves environ 3 ou 4 fois par semaine. Sn visage est plutîot fin, ses traits sont finement dessiner egalement, elle n'est pas jolie comme fille ni très mignonne, loin de la, elle a juste un charme physique, son charme, qui est assez difficile à decrire. Ses yeux sont bleu, un bleu très profond, à croire que l'on se noit dans une mer sans fin lorsqu'on la fixe dans les yeux. Ses sourcils sont finement taillés, et elle a des cils plutôt epais,qui entoure parfaitement ses yeux en forme d'amande bien taillés. A l'apparence très fragile, Wendy a un corp qui ne pese que 32 kg, pour 150 cm, alors je vous laisse imaginer sa minceur. Pourtant elle mange, mais peut-être pas assez, car elle paraît être anorexique, car ca finesse est partout, elle paraît fragile et toute frêle, si mince, que l'on pourrait la broyer d'une seule main, ca peau est tellement blanche qu'on croirait voir à travers elle, presque transparente. Elle n'a pas enormement de formes, juste une poussait aux seins, qui apparaissent comme deux piqûre de moustique bien placées. Ses jambes, autant que son corp complet, son très fines, et surtout, très lisse. Elle chausse du 32, très petit pieds comparé à ses mains qui ont de long doigts, avec des ongles parfaitement entretenu au bout, souvent gantées, ce qui nous amene à son look, plus où moins decallé de son temps. Elle porte souvent des robes, rarement des pantalons, mais pas n'importe quelles robes, bien evidement! Avez-vous entendu parler du look « Gothic Lolita » ? Si non, c'est que vous êtes vraiment inculte, mais cela ne fait rien. Les Gothic Lolita sont ses jeunes femmes qui aiment les habits à froufrou, et les temps Rococo. Wendy s'habille comme elles, pas qu'elle aime se style, juste qu'elle trouve cela « mignon » même si l'on ne sait pas ce que mignon veut dire selon elle. Elle porte souvent des robes ronde de couleur blanche, parfois noir, arrivant aux genoux, avec de longue chaussettes (parfois de couleurs differentes, selon son humeur) et sans oublier les chaussures, ces chaussures qui parraisse si lourde et qui sont parfois si bien decorés. Je ne sais quel nom on leur donne, mais tout ce qui compte, c'est que Wendy « aime » beaucoup en porter, et qu'elle en tient tout une collection. (Il faudrait que je pense à vous mettre sa collection un jour...)D'autre part, elle aime porté la dentelle egalement, surtout en sous-vêtement. Il y a, néanmoins, une chose qui ne la quitte jamais, un panda noir et blanc, un peu vieu peut-être, elle est toujours avec lui, où plutôt, il est toujours avec elle.
Remarque : Wendy à deux grains de beatée, l'un sous son oeil gauche, et l'autre au dessu de sa levre du côter gauche egalement. Elle parle d'une voix souvent lente, un peu melodique.

Histoire : Je suis née un soir de mai, le 7 mai. Ma maman s'appel Yoko, Yoko O'Neil. Moi je m'appelle Wendy, Wendy Sarah O'neil. Je ne connais pas mon papa... Maman dit toujours que ca n'est qu'un « salaup » : mais je prefere ne pas l'ecouter dire cela... C'est mechant, et mesquin de sa part, d'autant plus que je ne le connais pas, et il ne sait même pas que j'existe, c'est pour cela que je n'ai pas de prejugé sur lui... Et que je n'aime pas en donner. J'essais de ne pas l'ecouter lorsqu'elle dit du mal de lui, mais c'est dur...Passons.
C'est dur de s'expliquer, sans me vanter, j'ai beaucoup de vocabulaire...Mais il y a des situations que même Einstein ne saurait expliquer...Mon histoire n'est que trop pathetique.
Ma mère a fait une bêtise en me metant au monde...Je suis le melange de deux êtres eprouvant du desire l'un pour l'autre, je suis le fruit d'un desire corrompu, je suis l'erreur des actes de la jeunesse anglaise...Ma mère, lorsqu'elle m'eu, devait avoir dans les 25 ans, plus toute jeune d'ailleurs. Elle etait déjà mariée à un homme, et avait eut un enfant de celui-ci, un garçon, mon grand frêre. Mais il la quitta lorsqu'il apprit que la fille qu'il attendait tant n'etait pas sa fille biologique...Forcement, il prit la grosse tête et s'en alla, preferant ne plus penser à cette miserable petite famille, et à cette femme qu'il n'a jamais pû tenir à l'ordre.
Ma maman aime critiquer, comme toute les femmes ayant beaucoup d'argent...J'ai remarquée cela, toute les femme ayant beaucoup d'argent critiquent. Et cela en vaut autant pour leurs enfants. Si nous sommes riches et que nous vivons dans une belle demeure, ce n'est que grâce à ma maman, elle eut la chance, dans sa jeunesse, d'être adopter par un riche homme d'affaire, mon grand-père. A l'origine, Yoko est japonaise, mais elle n'a jamais connue ses vrai parents. Mes grand-parent, Edward et Alice O'neil, prirent soint d'elle comme une vrai princesse, ils n'eurent pas d'autres enfants, ce qui fait que je n'ai, à ce jour, aucun parent ormis Yoko et mon demi-frêre. Les problèmes commencerent un jour, alors que Yoko recevait des richissimes dames accompagners par leurs morveuses de fille, je les detestais, elles etaient comme du poison affectant tout leur entourgae. Et moi en premier. En compagnie des enfants des amies de ma mère, je m'obligeais à rester calme, preferant le silence à l'engueulade avec ces megeres. Cet après-midi la, elles etaient deux, l'une très mince qui faisait une tête de plus que moi, agée de 12 ans, habillier comme un clown avec son tailleur version enfant rose fuschia, aucun goût apparement! L'autre, de ma taille, elle avait un regard defiant et elle avait l'air de se moquer de quelque chose qui lui titillait le cerveau. J'etais curieuse de savoir, et je me fis pas prier, comme si ele avait lu dans mes pensers, elle se planta devant moi, tel un poteau electrique et dit, d'une voix moqueuse : "J'ai entendu une nouvelle à votre sujet...Il paraîtrait que ta mére est une pute qui court les trotoires...Pour payer tes etudes..."
Il est vrai que mes etudes coûtes pas mal, j'etais dans une prestigieuse ecole dans le nord de l'Angleterre, et bien sur, les frais de scolariter, je m'etais plusieurs fois demander comme ma maman faisait pour les payer. Mais sans aller plus loin. Quelque part, je pense que j'avais peur de decouvrir...mais helas, c'etait fatidique. Et comme la petite fille rousse en face de moi ne voyait aucune reaction, elle continua sur sa route : "...Et nous avons entendu egalement dire, par certains enseignant, qu'elle aurait fait des avances au proviseur, ne manquant de le seduire...J'imagine qu'il a fini par ceder...Vue l'image que se donne ta mére..."
Se sentait-elle obliger de me dire cela sans esperer une reaction de ma part? Au fils du temps, depuis la disparition de mon frere ainé, j'avais reussi à créer un univers entre moi et ma mère, je l'aimais, c'etait mon seul espoir de survie, croyez-moi, en ecrivant ses mots, la doleurs ne peut s'effacer...On dit qu'avec le temps, toute blessure peu cicatriser...La mienne est trop lourde pour une gamine de mon âge...J'etais trop jeune, bien trop jeune pour déjà penser à...
Lorsque je réouvris les yeux se jours la, j'etais à cheval sur la fille rousse, plaquer contre le sôl, mes mains avait lachées Bou, mon panda, et elles enroulaient, tels un serpent venimeu, le coup de la belle rousse...Elle etait toute rouge, je ne realisais pas se qui se passer à se moment la, je vis peu à peu, en balayant mon regard, le sang rouge qui coulait, peu à peu...Je deserais mon etrainte peu à peu, j'entendis les cries de la grande perche, et les femmes qui arrivaient au galop, perdant toute grâce du depart...A leur arriver j'etais debout, je tenais mon panda par le bras, il etait degoulinant de sang. Mes ongles ruisselaient de sang. Je levais doucement les yeux vers les femmes, mes yeux etaient inperceptible, je lisais sur leurs visage, ou leur peau de peinture plutôt, un air horifié...La mére de ma victime s'agnouillia devant le corp inerte de la gamine qui gissait à mes pieds...Ma mére vint me prendre rapidement par la main et m'eloigna de cette horreur commise par moi. Dés qu'on fut sortie de la salle, elle appela le samu et la police.
Chose faite, elle se tourna vers moi. Je ne lisais pas de l'horreur dans ses yeux, juste de la tristesse, de l'inquietude et de la crainte. J'entendis une femme crier que c'etait une horreur, et puis plus rien, j'avais decidée de ne plus ecouter se qui m'entourer, par instinct, je fermais egalement les yeux...Et puis je n'entendis plus rien, je ne vis plus rien. J'avais se don de sombrer dans le noir, dans l'inconscience tout en parressant ouverte au monde, j'avais un don, celui de m'endormir tout en parressent eveillée. J'avais enfermer mon cerveau entre quatre mur, j'avais decidée de ne plus reflechir, c'etait de cette maniere que j'avais "frapée" (le mot est bien faible) cette morveuse, trop insolente à mon goût. On devrait enfermer, voir tuer, tout les gens de ce genre la. Au lieu de poursuivre les criminels, on devrait tuer les victimes qui ont provoquer cette colère chez le criminel et qui a decidé de les tuer. C'etait le fond de ma penser...Et en ces temps la, avant le vrai drame, j'etais persuadée que j'avais raison...Parceque j'etais plus intelligente que tout les enfants du monde, que justemnt, j'etais trop intelligente pour rester normale aux yeux de tout le monde.
Lorsque je decidais de sortire de ma tropeur, j'etais assise sur une chaise en acier, entre quatre mur avec une grand bai vitré noire...Apperement, dans une salle d'interrogation...Ils me soupçonnent de l'avoir tuée...Et ils ont raisons...De croire ca, même si je n'etais pas convincu moi même que je l'ai fait. Ils m'avaient laissés mon Panda, mon Bou, et dieu merçi. Ils devaient certainement se dirent que je n'etais qu'une gamine...Je les comprends.
Après un soupire de ma part, j'entendis la poignet de la porte tourner, et une femme entra...Un air triste. Elle s'assit en face de main, un sourire se dissina sur ses levres minces. Sans attendre qu'elle me parle, je lui dis : "Merci de m'avoir laissée Bou, je lui montris Bou en le relevant legerement avant de continuer. Je ne sais pas se qui s'est exactement passé, mais lorsque je me suis reveillée, j'avais mes mains sur son cou...Tout porte à croire que c'est moi qui l'ai tuée, et je tiens à m'excuser auprès de ses parents."
Les paroles etaient minces, et ils pouvaient apparaitre idiots, la femme parut surprise de mes paroles, et de ma voix si calme et si bien controler. Elle ne s'attendait certainement pas à ce que je le dise si simplement...Elle s'attendais à se que je verse des larmes, que je pete un plomb, que je m'excuse comme une sale morveuse...Mais j'etais loin d'être comme ca. La femme me regarda bizarrement...Une certaine amertume dans le regard, après quelques secondes qui m'apparurent comme des siecle, je finis par demander d'une voie neutre : "Où se trouve ma maman? Elle va bien?
-Oui, ne t'inquiete pas, elle est juste quelque peu boulversée.
Elle me fit une sourire, apprement deconcertée par ma question...Ma mère est la personne la plus importante dans ma vie, envers et contre tout, elle m'a troujours protegée...Mais aujourdh'ui, je pense avoir commis une erreur qui n'est pas à la hauteur de son argent. La femme finit par se lever, apperement, elle n'avait pas de question et elle devait se demander qu'allait-elle bien pouvoir faire de moi. Elle sortît de la salle, me laissant seule. Je mîs Bou sur la table, en position assise, le maintenant avec mes mains, face à moi. Je le fixais du regard, incredule.
"Dis moi Bou, tu crois que maman va me detester après ca?
-A ton avis? Repliqua durement Bou."
Et je comprenais cette reponse...J'espèerais juste qu'il eut tord, histoire de me rassurer, mais j'etais incapable de me mentir...Trop rationel certainement. Après quelque minutes qui me parurent, une fois de plus, comme etaient des siecle, un homme en blouse blanche entra, suivit de la femme, je ne me rappelais plus de son prenom, elle avait certainement dû me le dire lorsque nous nous vîment pour la premiere fois...Sauf que je devais être dans cette etat second. L'homme s'installa derchef à côter de moi, un sourire bordant ses levres minces. Il etait vieux, la cequentaines sans doute...Et le travaille devait le vieillir plus que ce qu'il n'y paraissait.
"Bonjour Wendy, je suis le Dr Waren et je vais te faire passer quelques tests, tu veux bien?" (suite plus bas)


Avez-vous lu le règlement ? -Ok- (Sheik')

Bienvenue et amuse toi bien!!!!

Bienvenue parmi nous !

Je te souhaite de bien t'amuser ;) Finis vite ta fiche que je te valide.

Merci

Je finis mon histoire ici :

Ca voix voulait paraitre douce et tendre, mais je percevais son ennui à faire se boulot. Je hochais la tête pour lui repondre, les testes, je connaissais pas mal. Enfaite, cet homme n'etais qu'un psy.
Il me passa plusieurs testes, aussi stupides les uns que les autres. Il me demandais se que je voyais sur une feuille tachée d'encre etc...Et je suis reponde derechef, parce que c'etait complètement debile, selon mon point de vue, et que ces testes n'allaient rien lui apportait de bien joyeux. Je devina très vite qu'il etait etonné et surpris par mon intelligibilité, ma façon simple et claire de m'exprimer, sans avoir à buter sur les mots comme le faisait souvent les enfants. Il simprit que je n'etais nullement affecter par la mort de ma camarade. Il reprit tout son bazar et sortit, suivit de la femme qui s'etait installé au fond de la salle, dans un coin pour nous observer, plutôt m'observer.
Environ 20 minutes plus tards, elle revint, seule cette fois. Elle me fit un sourire avant de me dire d'une voix joyeuse et maternelle : "Tu vas rentrer chez toi ce soir avec ta maman, nous nous reverons demain."
Je le gratifia d'un sourire et nous sortîme toute les deux. J'avais hate de quitter cette endroit, lorsque je passa devant les hommes en costume, certains me regarderent avec un curieu regard...Le Dc Machin à dû leur dire qui j'etais, et comment ma cruotée depasser les bornes. Seule la femme parraissait septique, et fusilliait du regard tout les hommes qui se mettaient au travers de notre chemin. Je me suis attachée à elle, sans même m'en rendre compte, et j'eu une part de pitier en moi lorsqu'il fallu me detacher d'elle. J'avais hate de la retrouver demain.

Le temps passa, et je fus chez moi en moins de temps que prevus. Ma mère conduisait vite, et bien. Elle n'avait pas l'air ravis de me retrouver...Elle me sembla d'ailleurs très...Sceptique. Je fis mine de l'ignorer, d'eviter de penser à ce qu'elle ressentait...Je compris mon erreur, ma mère n'etais qu'une femme, et elle avais mis au monde une petite fille tueuse! Arrivée à la maison, je ne preferais encore rester seule, je couru vers ma chambre, evitant toute confrontation avec elle.

Ce qui arriva ensuite, je ne sû si c'etait mon silence constant qui l'avait tellement boulversée, où seulement mon acte envers la jeune femme...Cela dit, à l'heure du dîner, j'avais erré pas mal de temps avant de la trouver...Je fus etonnée...Imaginez que vous êtes trnauillement chez vous, et puis, cherchant votre maman, vous tombez sur son cadavre, dans une marre de sang...C'etait une horreur.
Mes mains commencérent à tremblet, lentement...Je deteste ses trenblement, se sentiment qui m'envahissais peu à peu...C'etait d'une tel terreur, je frissonna malgré moi. tenant Bou de la main gauche, je pris le telephone, mon corp réagissez sans que je ne lui demande rien, c'etait automatique, j'avais l'impression d'avoir déjà vecu cette scene, par le passé...Je ne savais où, ni comment, et encore moins pourquoi se sentiment de déjà vu subsistait. Sans même m'en rendre compte, cette fois la, j'etais entrée dans mon etat second, celui qui ne me faisait réagir à rien. Je voyais ma mère avachis par terre, sur le ventre, et cette marre de sang, le sang rouge vif qui continuait de couler de ses veines ouvertes, certainement grace au canif qui giser à sa main, qu'elle tenait fermement. A force de trembler, je m'affaler à terre...J'avais une vie vraiment trop pourrite, y avait pas de quoi en être fiere...J'allais certainement être placé dans une maison de correction, ou un truc du genre. Pour moi, maman etait morte, et ma vie etait finis à ce moment la.
Lorsque les policiers arriverent, ils me firent sortire immediatement, jugeant la scene trop obscene pour une petite fille de mon age...J'avais déjà vu pire dans la journée, alors bon...
On me laissa assise sur le perron, jusqu'à l'arriver de la femme de se matin.
Elle me fit un sourire, et me prit maladroitement dans ses bras...Etrangement, je me sentais en securiter.

Je m'eveillais sous les doux reyons d'un soleil magnifique.
Je me demandais ce qui m'attendais pour cette journée. La veille, c'etait un vrai cauchemar, je reussi à m'endormir, un someil legé sans rêves. Je me souviens avoir été transporter jusqu'ici par la dame officier.
Je ne savais pas vraiment où j'etais, et je ne me posais pas la question non plus, à quoi bon? J'allais certainement aller dans un foyer, un orphelinat, on tentera de retrouver mon père, qui ne voudra pas de moi ,et on finira par m'oublier.
Mon avenir etait tracée. On toqua à la porte et on l'ouvrit ensuite, c'etait la femme officier...Je me rappellais qu'hier, elle m'avait dit queje pouvais l'appeler par son prenom, Linda. C'est Jolie.
J'etais chez elle, nous prîmes un petit dejouner delicieux, le thé qu'elle me prepara etait un pure delice. Elle devait avoir des origines japonaises...Comme moi. Sauf qu'elle etait brune, avec de jolie yeux en amandes. Je me surpris à la lorgné du regard, un air jaloux...Je l'enviais, car je suis blonde, j'aurais aimée être brune.
Une heure après, nous nous retrouvîmes dans son bureau. Et deux heures après, elle m'apprit qu'ils etaient en train de chercher un tuteur et qu'ils l'avaient presque trouvés. Je jubilais en silence, à l'idée de voir quelqu'un de ma famille, mais qu'elle fut ma deception lorsque je sû, deux heures plus tard, que ce tuteur n'etait autre que mon père...Non biologique. Il me prit sous sa tutelle malgré tout, même si je ne lui avais jamais rien demandé.
Je me souviens encore à cette epoque la...J'avais passée exactement une semaine, une semaine et ensuite, il me changea de lieu, d'etablissement...Le premier lieu avait été la France, une ecole mixte pour bourgeois, mais très vite, cla me deonna la nausée, et avant que cela n'empire, je pris mon courage à eux mains pour lui avouer que je m'y plaisais guere...Je savais qu'il faisait tout cela pour mon bien, mais surtout, opur qu'il n'ait plus à s'occuper de moi, de mes problemes. Je compris egalement qu'il cherchait mon père biologique, ainsi que mon frere...Un frere que je n'ai d'ailleurs jamais vu, ni connu!
Après mainte recherche, il finit par m'envoyer dans une ecole japonaise. Je ne sais pas trop pourquoi il a choisi un endroit comme ca, je n'ai rien contre ce payes, je parle courement la langue, je controle parfaitement les kanjis...Enfin bon, c'est de cette maniere, grâce à l'egoïsme de mon pére non biologique, que je me retrouve ici, avec vous.

So good^^ Tu es validée ! Amuse-toi bien ;)

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