Sport & concentration

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Nous y voilà enfin. Le dojo, havre de paix s'il en est. La peste était derrière lui, occupée à d'autres activités, et même si elle venait, son éducation aurait fait qu'elle aurait gardé le silence. Comme tout autre Japonais digne de ce nom d'ailleurs. Il se rappelait son passé ici, il se rappelait les histoires du vieil ivrogne qui l'avait initié... Comment il utilisait le mot appelait katsujinken quand Himatsu s'obstinait à utiliser délibérément kenjutsu. Il avait toujours été buté, et ce caractère difficile n'avait pas joué en sa faveur; seul un bon caractère forge un bon kenshi et il le savait, bien qu'il tentait de faire taire cette toute petite voix en lui. Enfin pour le moment il ne pensait plus à son sensei, dont il avait l'impression qu'il était si loin. Le souvenir s'évanouissait avec le temps, bien qu'il n'aurait pas dû oublier... Ça aussi il se le reprochait. Il tentait de se discipliner, ne serait-ce que pour le kendo...

Aujourd'hui, il n'avait revêtu que le simple hakama noir; étant seul, il n'allait aujourd'hui pratiquer que des mouvements de base. Il savait qu'il aurait dû porter aussi le keiko-gi, et ne pas être pieds nus. Le président du club l'avait clairement signifié; c'était une marque de respect. Seuls les sumotoris étaient torses nus. Les fiertés du Japon, les rois... Himatsu détestait qu'il doive admettre ça. Il ne respectait que le kendo, et encore... Sa vie avait tellement été pleine d'informalité que n'importe quel sensei l'aurait immédiatement renvoyé devant le manque de respect dont il pouvait faire preuve, et dont il n'avait du reste même pas conscience. Il prit dans son sac de sport les deux bokkens qu'il avait amenés. Eh oui, les... Il avait toujours pratiqué le nito, et il avait des notions de kodachijutsu, avec un daisho classique (composé en plus d'un shoto), mais il avait - comme il en avait l'habitude - décidé de faire les choses à sa manière une fois les bases acquises. Et non, ce qui se trouvait dans sa chambre n'était donc pas un katana et un wakizashi, mais bien deux katanas... Chacun d'entre eux avaient été obtenus à la sueur du jeune homme dans des circonstances aussi incongrues qu'éprouvantes, mais ceci est une autre histoire.

Bien sûr, il n'avait même pas le sixième kyu... il n'y avait jamais rien eu d'officiel dans ce qu'il avait fait jusqu'ici, mais il était sûr que ça pouvait s'arranger. Ses gestes commençaient tout juste à être gracieux, mais, contrairement à la coutume, il savait déjà comment y ajouter la puissance nécessaire, puisqu'il avait dû y recourir par le passé. A cause de ça il n'avait pas le geste "pur et beau", tant recherché, mais il y travaillait. Il manquait de précision cependant, et avait un mal fou avec l'iaidō comme l'iaijutsu. C'était sur ces pratiques qu'il avait décidé de s'entraîner aujourd'hui. Ce sport, c'était sa passion et son art. Certains jouaient du piano, d'autres peignaient... Lui il se battait, dans le respect, la grâce, la puissance, et maintenant une nouvelle valeur, qu'il avait apprise ici: l'honneur.

Enfin pour le moment il s'échauffait, et débarrassait son esprit de toute pensée parasite, se concentrant sur ses mouvements et son propre corps.

Invité

Et un et deux... Allez, on respire... Et oui, le jeune homme n'était pas le seul à faire de l'exercice, Fujumi aussi. Seulement ces exercices n'étaient pas destinés à travailler des sports très compliqués à prononcer, et dont certaines n'ont pas eu la moindre idée de ce que tout ce charabia signifie. Bref, je vous avouerai que je comprends strictement rien à ce qui se passe, mais c'est pour cela que Google existe, donc petit tour dans les images, pour voir un peu à quoi ressemble tous ces mots qui sont vraiment du japonais pour moi et non du chinois. Heureusement, notre chère Fujumi étant née au pays du Soleil-Levant, savait tout à fait de quoi tout cela s'agissait. Mais pour l'instant, notre demoiselle s'entraînait sagement à la gymnastique. Elle utilisait tout simplement une poutre, ses pieds et ses jambes. Tout le monde connaît ce sport, mais sa pratique est très complexe et très dure.

La demoiselle vêtue d'un short plutôt court et très moulant, autant que son haut qui n'était autre qu'une simple débardeur aussi moulant que son short, voir même plus. La demoiselle étala un peu de talc sur ses mains, monta sur la poutre et commença ses acrobaties. Salto avant, roue, etc, la demoiselle enchaîna, jusqu'au moment où elle entendit un bruit qui lui semblait plutôt suspect. La demoiselle recouverte un peu partout de talc, sortit de sa salle et s'arrêta nette lorsqu'elle vut un jeune homme. Un nouveau, et oui, la demoiselle avait une mémoire très visuelle, et ce corps lui était très étranger. Elle sourit, puis s'appuya contre le mur et admira le jeune homme à sa tâche.

* Il a l'air de bien se débrouiller, il s'applique, il est pas très grâcieux, mais il est doué *

Elle ne savait pas trop ce qu'il faisait, mais elle se doutait que c'était un sport purement japonais. Bref, la jeune fille fixait le jeune homme de dos, qui n'allait pas tarder à montrer son petit minois, en tout cas elle l'espérait. Mais est-ce que l'avenir allait - en décider ainsi ? A voir dans le prochain épisode...

( C'est pas terrible désolée, je ferai mieux la prochaine fois promis ;) )

Invité

[T'inquiètes pas, vu la qualité de mes propres posts, je me permettrais pas d'être difficile, et puis ce que tu as posté est très bien. ;)]

Après l'échauffement, le jeune homme s'était emparé des bokkens qu'il avait posé sur le sol en planches (comme le voulait la tradition) du dojo. Il avait commencé des mouvements de base et sa concentration croissait de minute en minute... Son regard était concentré sur les épées qu'il maniait, alors qu'il faisait le vide en lui. Rien d'autre n'existait pour lui en ce moment, il faisait abstraction de ce qui l'entourait, son environnement visuel comme sonore. Enfin, en tout cas il essayait. "Essayait" parce qu'il ne put s'empêcher d'être déstabilisé devant la vision qui s'imposa à lui.

Très certainement l'une des choses les plus incongrues qui lui avaient été données de voir. Une fille qui faisait de la gymnastique. De la gymnastique... dans un dojo! Il venait à peine de terminer la cérémonie d'entrée et l'échauffement que elle, tranquille elle faisait des pirouettes sur... une poutre. Où est-ce qu'elle avait été cherché ça? Il y avait des tatamis, de ceux réservés à la pratique du judo ou du karaté, qu'elle avait disposé sur le sol en cas de chute. Il tombait des nues. Bien qu'Himatsu n'ait pas de très grandes notions d'éthique et d'honneur, au point auquel il respectait sa discipline, il était aisé de mesurer l'étendue dans laquelle il était choqué. Le dojo était exclusivement réservé aux arts martiaux et aux fêtes sportives consacrées à ceux-ci. Pourquoi avoir amené une poutre sur les planches précieuses du dojo? Elle aurait pas pu aller dans le gymnase tout proche? Bien qu'il ne l'utilisait jamais, le jeune homme connaissait son existence, comme tous les élèves, en partie à cause de sa taille imposante en comparaison de celle du plus humble dojo, mais aussi parce qu'il était l'un des atouts que l'école mettait en avant sur sa brochure.

Il cessa immédiatement l'entraînement et s'avança vers elle en silence. Puis, toujours pour respecter les principes, il la salua très brièvement. S'il n'avait pas été en cet endroit précis il se serait sûrement jeté sur elle et lui aurait gueulé dessus comme un sourd, mais d'une part le respect qu'il devait à son art et d'autre part les règles du lieu le forçait à une plus grande politesse. Enfin, ça n'empêchait pas que l'effort qu'il devait faire pour se retenir lui faisait monter la moutarde au nez. Il saisit son poignet fermement pour l'immobiliser, et jeta dans un souffle rauque:

"Maintenant tu vas remettre ça où tu l'as trouvé et filer d'ici... et plus vite que ça, avant que quelqu'un d'autre te voie, baka!"

Il aurait bien pu la dénoncer lui même, mais il n'avait au moins pas ce défaut d'être lâche. Bien qu'il aurait très probablement pu la livrer sans états d'âmes dans d'autres circonstances, il voulait conserver l'image qu'il était en train d'acquérir, et à laquelle, bien qu'elle était restreinte uniquement au dojo par son bon vouloir, il commençait à tenir. Il s'en foutait d'être plus bas que terre dans son comportement, tant que ça n'était pas dans la pratique du kendo. Parce qu'il voulait être un bon combattant, il se devait d'acquérir ici des valeurs morales qu'il n'avait pas par ailleurs.

Invité

( En fait, j'étais dans le gymnase, enfin je crois, j'ai dit que j'étais dans la salle d'à côté, je l'ai pas expliqué clairement désolée, bon en tout cas, je vais essayer de me justifier comme je peux ^^ . On va dire que je suis dans une salle à coté mais ouverte oki ? Si ça te convient et que certes c'est du parquet j'en suis désolée :-S . M'en veux pas s'il te plait )

La demoiselle souriait, rigolait presque. Elle trouvait très impressionnant, mais elle trouvait que les hommes dans ce genre de disciplines se prenaient au sérieux. Enfin elles pensaient de ceux qui faisaient ça juste pour se la péter, ce qui n'avait pas l'air d'être le cas du jeune homme. Elle essayait de rester discrète dans son coin, mais elle s'aperçut rapidement que le jeune homme n'avait strictement rien à faire dû à toute sa concentration qu'il mettait dans la pratique de son art. Elle espérait ne pas trop se faire repérer, ça n'avait pas l'air d'être un rigolo celui-là, et elle ne se voyait pas dans deux minutes avec la tête tranchée et une flaque de sang entourant son corps immobile et froid. A peine sortie de ses pensées légèrement gores, si je puis dire, elle vut le jeune s'approcher d'elle. Gloups, un fusillage de regard était tout de suite perceptible, et la première idée qui venait à la tête de la jeune femme était de fuir, mais malheureusement cette action ne put se mettre en marche.

La demoiselle écouta ce que le jeune homme disait, mais malheureusement celui-ci ne savait pas ce que la demoiselle avait derrière la tête. Elle était ici et elle y resterait, par tous les moyens qu'ils existent sur cette planète. Elle lui souria, n'osant pas trop ouvrir la bouche, le regarda dans les yeux, et lui dit sur un ton quelque peu provocateur :

" De un : c'est un endroit public... De deux : à cette heure-ci tout le monde est en cours, et de trois : je suis autorisée à être ici avec ma poutre par le professeur de sports en personne... "

La demoiselle qui avait toujours eu peur d'être sanctionnée, avait demandé à son professeur en passant par la CPE et le directeur, qui je précise n'étaient jamais là, d'avoir l'autorisation d'utiliser une salle pour s'entraîner. La chance avait tourné ce jour-là, le professeur de très bone humeur, et qui adorait les bosseurs, accepta de faire une lettre poru la demoiselle afin qu'elle puisse pratiquer son sport dans la salle qu'elle voulait, qui était donc soit le dojo, soit le gymnase. Celui-ci occupé par des élèves à cette heure-ci, l'avait donc contraint de s'installer dans cette pièce, avec cet inergumène de plus aimables qui puissent y avoir -_-'. Bref, la demoiselle sortit de son petit short, une lettre ( en quelque sorte ), venant du professeur qui disait :

Je t'autorise, professeur Akai Kyosuke,
à l'élève Fujumi Grace-Osaki
d'utliser les salles disponibles pour travailler ses perfomances sportives et artistiques à la poutre,
une fois par semaine à ses heures de temps libre.

Vous vous doutez qu'à la fin nous avons sa signature, et celle aussi du proviseur qui d'ailleurs est à peine visible. Elle fourra cette lettre juste devant le nez du garçon, qui d'ailleurs n'alait pas tarder à tirer une tête d'enterrement, car il serait contraint et forcé de laisser faire ses pirouettes à la demoiselle. Bien sur, il y avait une condition à cela, le professeur vait lourdement insisté sur le fait que si le matériel est abîmé et pire complètement hors d'usage, elle serait renvoyée du lycée et qu'elle devrait repayer jusqu'au dernier sous la totalité des réparations. un gloups s'était fait sentir ce jour là, et je peux vous assurer que notre chère Fujumi avait compris et tout bien enregistré. Mais pour en revenir à la tête du garçon, la demoiselle baissa le papier de son autre main, et dit d'un air malicieux :

" Alors... Satisfait ? "

Elle savait très bien ce qui l'attendait, mais elle était prête à se battre si c'était pour obtenir le droit de se défouler sur sa poutre. Ce n'était surement pas un petit minable dans son genre qui allait l'empêcher de faire ses cabrioles, il en était hors de question !

( Bon j'espère que c'est convenable, j'ai un peu mis du ca.. Mais bon voilà, si tu veux que je modifie dis le, il y a pas de souci ^^ Bisous ;) )

Invité

Alors qu'il tenait la jeune fille par son poignet, celle-ci se contentat de sourire (niaisement, selon Himatsu). Elle lui sortit une série d'arguments qui le laissèrent tous sans conviction. Il était bien trop tête de mule pour accepter qu'un seul d'entre eux tienne la route. Enfin elle avait apparemment un mot officiel qu'elle lui fit lire. "Je t'autorise [...] à l'élève..." Incapable d'écrire un japonais correct. Il fronça les sourcils, pour le moins contrarié. Il avait pas grand-chose à dire, n'ayant pas d'autorité suffisante, si ce n'était l'autorité de ses poings, mais il allait pas faire un remake "Meutre sanglant au dojo III" maintenant.

"Hm."

C'était tout ce qu'il avait à dire. Comment un prof avait-il pu commettre une énormité pareille?! Encore quelque chose qui échappait au jeune homme. Sûrement un étranger, c'était la seule explication possible. Pour ça qu'il avait encore moins de notions de grammaire que le lycéen. Ne vous méprenez pas, Himatsu respectait les étrangers... Enfin, autant qu'il respectait ses semblables. Simplement il ne comprenait pas qu'on bafoue ainsi des traditions bien plus anciennes. Il pouvait concevoir l'honneur que représentait le fait de s'entraîner dans le dojo pour la jeune fille, mais c'était là un honneur qu'elle ne méritait pas, puisqu'elle n'exerçait pas l'un des arts martiaux ancestraux. Il pouvait comprendre qu'on se dévoue aussi à d'autres sports, mais dans leurs propres lieux privilégiés, pas dans un endroit sacré comme celui-ci. Oui, il avait décidément un problème avec ça. Sans doute était-il un tantinet fermé d'esprit quand ça en venait à ce qu'il affectionnait le plus, et en fait à la seule chose qu'il affectionnait. C'était sa corde sensible, et la jeune fille était en train de jouer avec bien trop impertinement à son goût.

Le dojo était bizarrement construit, avec deux pièces séparées [HJ: je reprends ici ce que tu disais vouloir dire.] Himatsu tira le paravant qui permettait de les séparer totalement, et d'enlever à sa vue cet affront. Conformément à la tradition cependant, l'endroit était orienté de manière à ce que la lumière du soleil illumine le kamiza, montrant ainsi que le Maître possédait la lumière (c'est-à-dire le savoir) et que les élèves n'en voyaient que la réflexion. Comme il était encore tôt dans la journée, la brillance du soleil encore relativement bas dans le ciel éclairait de plein fouet le kamiza et cela évita à Himatsu qu'il n'ait dans son champ de vision une quelconque ombre provenant de la pièce voisine.

Il ressaisit les bokkens, bien décidé cette fois à ne pas se laisser interrompre, et tenta de faire le vide en lui, pour y laisser entre à nouveau la concentration la plus extrême possible.

Invité

La jeune femme voyait très bien qu'elle ne paraissait pas très crédible aux yeux du garçon. Bon, elle avouait que le professeur ne s'était pas très bien exprimé, mais c'étaitun professeur de sports, il ne fallait pas trop lui en demander. Bref, cette lettre était bien une lettre du prof, c'était son écriture. Mais bon, apparemment le jeune homem s'en foutait à moitié donc bon, elle ne chercha pas à justifier encore ses arguments, car de toute façon, elle n'avait plus rien en stock. La demoiselle hésita presque à rire face à la réaction très simplicite du jeune homme qui n'était ni plus ni moins qu'un grognement. Bon elle laissa le jeune homme réfléchir dans sa petite tête. Il avait l'air compliqué celui-là, il doit se tourmenter pour rien, c'est ce que se disait la donzelle. Elle espérait bien trouver des techniques pour mieux cerner le personnage qui miroitait dans ses yeux marrons clairs. Elle ne le quittait pas du regard.

En direction de sa soi disante " salle " , vu qu'elle n'était pas à elle, et elle eut un léger rire, trouvant la situation, dans laquelle elle commençait à se fourrer, très amusante. Mais, ne croyez pas que notre cher Fujumi va s'arrêter là, oh non ! Elle n'est pas du genre à abandonner, une vraie tête de mûle, un peu comme ce redoutable combattant qui allait bientôt lui trancher la gorge. Elle se dirigea donc vers la salle où elle était précédemment, et jeta quelques coups d'oeil sur le jeune homme. Elle souria malicieusement et si disait que la partie n'allait pas se terminer comme ça. Elle observa bien toute la concentration que cet inconnu mettait dans son travail des arts martiaux. Elle continua un peu de son côté à faire de la poutre, d'ailleurs cela résonnait quelque peu dans la pièce, en faisant des petits boum très irréguliers.

Elle avait le don d'agacer les gens quand elle le désirait, et était d'humeur ,en ce jour pourtant très lumineux, d'embêter ces petits camarades. Elle ouvrit d'un seul coup ( pas entièrement, juste une petite ouverture ) le paravent, et dit d'un ton très provocateur presque au bord de la séduction :

" Au fait, si tu es si mécontent de ce que je fais, apprends moi l'art de manier les armes... Et je dis bien toutes les armes.. "

Elle lui fit un clin d'oeil, posa son regard quelques décimètres plus bas, puis le regarda droit dans les yeux, presque en le défiant. Elle ferma doucement le paravent, et doucement bougea ses petits doigts fins de manière à saluer le jeune homme. Et c'était parti pour jouer, elle espérait qu'il viendrait, mais ça n'allait peut être pas le cas. Mais bon, elle avait tout de même fait fort, en osant le regarder à cet endroit et principalement de cette manière. Provocatrice dans l'âme, elle avait tous les cartes en main pour pouvoir le mettre à bout, et savoir qui elle avait réellement à faire de l'autre côté de ce paravent. Elle sourit, se remit à sa tâche et attendit un quelconque signe de la part du jeune homme qui pourrait lui montrer que la moutarde lui montait progressivement au nez...

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