[Fête du sport] Commence par écouter ton coeur ! [Avec Seiji]

Invité

Je crois que le plus fatigant dans cette journée, ce n'est même pas les épreuves. Bon, c'est vrai que j'ai galéré à l'épreuve de survie et que j'ai du aller prendre une douche tout de suite après pour ne pas rester sale..Je suis toujours assez pointilleuse la dessus, et je ne voudrai surtout pas donner une bonne raison à mes cousins pour qu'ils puissent me charrier davantage devant mes camarades de classe. C'est d'ailleurs eux qui sont éreintants. Je pense qu'ils cumulent toutes les bêtises et les embêtements qu'ils me feraient, si j'étais encore à la maison. Comme ça doit les frustrer, j'ai le droit au bouquet final du feu d'artifice quand je les vois. Je sais qu'ils ne sont pas méchants, mais quand même.. Être à ce point énervant. Mais je ne craquerai pas. Si je leur réponds, ils seront bien content de constater que j'ai changé, que je suis devenue capricieuse. Ce n'est pas le cas. Non, je n'aime toujours pas me plaindre, même s'ils le méritent amplement. J'ai déjà eu un moment de répit quand je suis allée me changer pour passer l'uniforme de l'école. De toute manière, c'était ma dernière épreuve.

Ça m'a permit de prendre un peu de distance, comme pour le repas du midi. Vraiment. Je sais que je vais devoir aller les saluer et les remercier d'être venus pour m'encourager mais si je peux avoir un peu de temps pour m'allonger dans un coin du parc, c'est pas plus mal. Alors je vais dans un endroit pas trop fréquenté et je l'allonge, toute étendue sur l'herbe, le corps en étoile. Pas très féminin en somme. Je ferme les yeux et je tente de faire abstraction des bruits pour trouver le courage d'aller les affronter une dernière fois.

Et je dois bien rester quelques minutes comme ça, sans rien dire et sans rien faire. Puis, je réouvre les yeux.

« Hiiiiiiiiiiiiii ! » Lâche-je tout en me relevant. Qu'ils sont bêtes ceux là ! Ma première vision en ouvrant mes yeux a été celle de mes cousins, avec leurs visages proche du mien. J'ai eu si peur que mon cœur bat fort et vite. Ma main se pose dessus, pendant qu'ils éclatent de rire. Génial.

« Vous pourriez essayer de me garder en vie au moins, je suis sûr que je peux servir encore. »

Alors là, Mitsuhide se rapproche, et il fait faire des mouvements à mon bras, comme si j'étais une marionnette.

« Ah ouais ! Ce bras pourra nous aider à ranger nos chambres pendant les prochaines vacances. » Ils rigolent encore, puis me fixent tous les deux, comme si j'avais fait quelque chose de grave. « Alors Rena-chan, tu nous le présentes quand ton petit ami ? »

« Mais ! Je n'ai pas de-..
- Arrête ! Je suis quasi certain que tu fais craquer les garçons avec ta petite part de mystère. En plus t'es pas chiante, j'suis sûr que tu fais tout ce qu'il te dit.
- J'dis comme le frangin ! Et on a encore une bonne heure pour te questionner la dessus. Au pire, on peut toujours aller demander à tous les garçons qu'on croise. »

Le pire, c'est qu'ils en sont capable. Je les vois bien rajouter des anecdotes qui ne jouent pas en ma faveur, en plus. Juste pour m'embêter et parce qu'ils sont frustrés de ne pas avoir raison. Alors je soupire, et je me relève parce que j'étais encore sur mes genoux, depuis qu'ils m'ont fait peur. Je préfère ne pas les regarder quand ils manigancent leurs méfaits. Là, je vois un élève que je connais. Un blond, oui parce qu'il assume pas le fait d'être Japonais je suppose. C'est Nakamura, un premier année assez réputé pour plaire aux filles.

« C'est lui mon petit ami. » Je sais pas ce qui me prend, mais je le désigne en le pointant du doigt quelques secondes. Puis, je vais rapidement à ses côtés, pendant que mes cousins sont trop abasourdis par la nouvelle pour réagir. J'espère qu'il est conciliant. « Bonsoir Nakamura. Désolée d'intervenir si vite, je suis Michiki Rena, de la 2-A. J'ai des cousins exécrables et j'aimerai que tu leurs fasses croire que je suis ta petite amie. » Je peux rien dire de plus, ils sont trop rapide. Je m'incline poliment pour appuyer ma demande, j'espère que ça fonctionnera.

Élève de la 1-A

La fête du sport. Ça aurait été génial s'il n'avait pas perdu Tatsuya de vue au moment après la dernière épreuve, celui-ci traînant apparemment avec sa nouvelle petite amie. Ou plutôt cette dernière le traînait de-ci, de-là, ayant compris mieux que les précédents que Seiji passait avant. Son meilleur ami n'était avec elle que depuis trois jours et il le voyait à peine depuis. Fichue garce !

Le blond se retrouva à déambuler dans le parc en quête de Konata ou de Yukimichi, l'un ou l'autre impliquant généralement de trouver le dernier du trio dans les parages. C'était comme ça depuis le repas qu'ils avaient pris tous les trois dans la salle peu après leur arrivée à la Ginkgo Gakuen. Le basketteur avait ses amis, Konata avait son groupe de copines et pourtant ils passaient énormément de temps ensemble, souvent à rigoler et cancaner sur le reste de l'école. Le nombre de rumeurs dont ils avaient ainsi vent était faramineux et il leur arrivait fréquemment de faire le point sur leur évolution. La dernière qui l'intéressait concernait le prof de maths : apparemment, le roux s'était fait larguer. Le débat sur le type de femme apte à le supporter les avait bien occupé un quart d'heures avant d'aboutir à une conclusion imparable : c'était bidon, il était bien trop orgueilleux pour qu'une fille accepte d'avoir une liaison avec.

En se promenant au milieu des autres, Seiji avait néanmoins eu vent de quelques nouveautés croustillantes qu'il avait hâte de partager. Néanmoins en lieu et place de ses amis, ce fut une jeune fille qui l'accosta, jolie mais sans plus et surtout parfaitement inconnue au bataillon. Le flot de paroles qu'elle débita en se penchant vers lui le laissa hébété et l'intervention de deux garçons lui fit reprendre contenance alors qu'il terminait d'assimiler ce qui lui avait été énoncé.

Aiderait ou n'aiderait pas ? Le souvenir de ses propres cousines infernales faisait pencher la balance vers la première idée. La conclusion désagréable qu'on le penserait en couple avec elle vers la seconde. Et le souvenir de sa rencontre avec Kimihiro lorsqu'il avait eu besoin d'aider aurait plutôt contribué à ce qu'il fuit à toute jambe. Malheureusement les deux cousins ne lui en laissèrent pas le temps.

« C'est toi alors son petit ami ?
- Hum... oui. »

Comment s'appelait-elle déjà ? Ah oui, Michiki-chan, deuxième année. Bon, avec ça il trouverait bien quelque chose de crédible – ou la laisserait parler – s'ils voulaient plus de renseignements. Le jeune homme poussa quand même jusqu'à se rapprocher de sa supposée copine. Il ne lui prit pas la main – ça ne se faisait guère et de toute façon le règlement interdisait les démonstrations d'affection, ce qui l'arrangeait bien. En revanche leur proximité laissait supposer qu'ils n'étaient pas de totaux inconnus l'un pour l'autre. Normalement.

(Totaux inconnus, c'est quand même très moche.)

Invité

Je n'aime pas me mettre dans de telles situations. Non, vraiment pas. Je préfère quand les choses sont simples et qu'elles n'ont pas de graves répercutions. Il m'arrive parfois de ne pas faire un devoir, par manque de temps dans mon organisation ou quand l'envie de ne présent pas.. Mais c'est tout. Je pense que c'est la chose la plus folle que je m'autorise à faire. Même encore là, je me fais disputer par le professeur – dans ses droits – et ensuite, l'incident est clos. Je n'ai pas tellement envie de m'enrôler dans une histoire qui serait bien trop ennuyante à gérer par la suite. Je crois que j'ai cédé à la facilité. Leurs donner raison. Je n'avais que quelques heures à tenir encore – voir moins – avant qu'ils ne retournent à Otaru en compagnie de ma tante.

« Voilà, vous devriez nous laisser maintenant. »

J'essaye d'être beaucoup plus convaincante que normalement. Pour une fois, je ne souris pas. Les mains jointes devant moi, je fixe mes cousins chacun leurs tour. Ils savent très bien que je n'aime pas parler de ce genre de chose. Mais Mistuhide ne perd pas son sourire, et généralement ce n'est pas un bon signe.

« Un blond ? Tu veux dire que toi, Rena-chan, tu sortirais avec un décoloré ?
C'est pas très crédible tu sais.»

Et ils n'ont pas tort. Même si je connais plus Nakamura de vu, je ne l'apprécie pas tellement. Trop arrogant, trop exubérant, de ce que j'en sais. Moi qui aime la tranquillité et la discrétion.. Sortir avec un blond ne serait pas bien vu. Surtout que le blond ne va pas du tout aux Japonais. Mes cousins connaissent bien mon avis sur le sujet et ils sont donc les premiers à pouvoir indiquer que je préfère la normalité. Ils savent aussi que je ne préférerai pas me mettre avec un garçon de ce genre. Bon, ils ne le connaissent que de vu pour l'instant et je doute fortement qu'un « oui » puisse les influencer.. Mais même, moi je pense que rien qu'avec son physique, on sait bien qu'il n'est pas le genre de personne fréquentable par une lycéenne digne de ce nom.

« C'est que j'ai changé depuis que je ne vis plus avec vous. Le blond est très à la mode dans les groupes de BoysBand Japonais. Vous savez que je suis fan du groupe News. »

Sauvée. Du moins, je le pense. J'ai de la chance quand même d'aimer réellement ce genre de musique. En réalité, Tegoshi Yoya était le membre que je supportais le moins, mais ça ne se voyait pas sur les posters que j'avais d'eux. Non, ils étaient toujours ensemble.

« Ouais ouais. On te surveille quand même. »

Je soupire profondément, je sais qu'ils sont capable de se cacher pour voir si je ne vais pas simplement partir et demander pardon à Nakamura.

« Je te prie de m'excuser encore une fois, Nakamura. Te serait-il possible de passer un moment avec moi pour qu'ils y croient. Je t'en serai redevable. »

Spoiler:

Élève de la 1-A

(Pardon pour le retard.)

Seiji faisait de la figuration. Inutile de dire qu'il détestait ça. Les deux cousins l'ignoraient purement et simplement, s'adressant à la jeune fille qui l'avait apostrophé comme s'il n'était qu'un fétu de paille ou, au mieux, l'une de ces poupées articulées tellement à la mode : mignon, un peu encombrant, mais là pour la décoration plus qu'autre chose. Les lèvres pincées tant par la tournure de la conversation que par son absence de rôle important dedans, il se demanda un instant à quoi bon continuer ce petit jeu.

Planter sa kidnappeuse là s'avérait tentant.

Heureusement les deux autres eurent l'idée de partir avant qu'il ne mît son idée en application. Bien, deux points négatifs en moins sur son tableau, restait le troisième qui encore une fois s'excusait auprès de lui de l'importuner. Seiji darda sur la jeune fille un regard froid, plus celui qu'il destinait aux gêneurs qu'aux gens pour qui il éprouvait quelque estime. Puis il se souvint que les deux autres rôdaient et ravala la réplique cinglante qu'il s’apprêtait à lancer. Tant qu'à avoir débuté ce jeu, autant l'assumer jusqu'au bout. Son regard s'adoucit légèrement.

« Tu me devras une fière chandelle Michiki-sempai. Je déteste servir de potiche. »

Il s'agissait là d'un accord quoi qu'énoncé du bout des lèvres. Avec un regard aux alentours, le blondinet – qui passa une main dans ses cheveux en se souvenant des remarques à ce sujet – chercha un endroit où aller. Le fait était qu'il n'en avait pas la plus petite idée : si ça n'avait tenu qu'à lui il serait reparti en quête de ses amis.

« Où veux-tu aller ? S'ils nous surveillent, il faut rester dans un endroit public. »

Invité

Je ne l'aime pas. Pourquoi sent-il le besoin de me rappeler que je vais devoir lui rendre la pareille ? Je viens de lui dire que j'allais le faire de toute manière. En général, je n'aime pas les donneurs de leçons de morale. Je suis bien plus droite que lui dans la vie de tous les jours. Je n'ai pas besoin de me teindre les cheveux pour me sentir intéressante ou pour que l'on me remarque, ou bien, je n'ai pas besoin d'avoir la réputation d'un coureur de jupon pour me faire apprécier des autres. S'il avait été un élève strictement sérieux, je n'aurai pas boudé à l'intérieur de moi. Mais de ce que je sais de Nakamura, il ne l'est pas.

« Le stand de rafraichissement semble être calme. Je n'aimerai pas ternir à ta réputation, Nakamura. »

Même s'il avait pu sentit une légère teinte d'agacement dans ma voix, je m'efforçais de sourire. Je n'oubliais pas qu'il était quand même celui qui m'aidait et je ne voulais pas le vexer et risquer de perdre cette aide dont j'avais tant besoin. Mes cousins remarqueraient bien trop facilement la supercherie et en plus de subir leurs moqueries, je devrai subir les remontrances de mon oncle, qui ne supporte pas le mensonge.

Allant donc calmement au stand en compagnie de mon petit ami du jour – blagues mise à part – je regarde autour de moi, cherchant mes amies ou mes camardes de classe. Encore une fois, je ne voulais pas que cette supercherie vienne à s'ébruiter. Les rumeurs étaient particulièrement rapides dans cet établissement. Personne. Enfin, personne pour le moment. Comme c'était la fin de la journée à présent, la plupart des élèves devaient être avec leurs parents, à passer du temps avec eux quand ils en avaient encore l'occasion. Je savais que ma tante, mon oncle et mes deux horribles cousins n'allaient pas partir très tôt. Ils avaient prévus de dormir à l'hôtel cette nuit, pour prendre le temps de faire une escale à Tokyo le lendemain. J'avais donc encore bien le temps de les embrasser et de les remercier de leurs visite.

« Tu aimerais quelque chose en particulier Nakamura ? » Dis-je tout en prenant un verre d'eau fraiche. « Je veux dire, si je peux t'aider pour les cours...pour t'avancer dans le programme, ou autre chose ? »

A vrai dire, je ne voyais pas comment l'aider autrement.

Élève de la 1-A

Dire que la journée touchait à sa fin ! C'était tous les ans la même chose : la Fête du Sport passait beaucoup trop vite... Incapable de tenir en place, Yukimichi avait participé à toutes les épreuves possibles et, malgré tout, avait le sentiment qu'il n'y en avait pas eu assez. Heureusement, les allers-retours entre ses amis, sa famille, et les épreuves, le défoulaient pas mal également - surtout quand il les faisait en courant à moitié.

Le jeune basketteur venait de faire ses adieux à sa famille - qui ne pouvait rester plus longtemps en vu du trajet qu'ils avaient pour rentrer -, et errait au milieu des stands. L'excitation de la journée commençait à retomber doucement, libérant peu à peu son esprit qui en profita aussitôt pour en revenir à son sujet de préoccupation des derniers jours : Seiji.

Depuis l'épreuve de courage, son ami quittait rarement ses pensées. Yukimichi s'était d'abord longuement interrogé sur le comportement du blond à son égard, notant chaque petit détail confirmant un changement d'attitude. Il en était arrivé à deux conclusions totalement contradictoires, et il avait passé plusieurs jours à osciller entre l'une et l'autre avant de se décider à en parler avec sa confidente. C'est qu'à force de s'interroger sur les sentiments de Seiji, il commençait lui-même à ne plus trop savoir où il en était. Le verdict de Konata avait été sans appel, ne simplifiant pas du tout la situation...

Tandis qu'il traînait au milieu des stands, Yukimichi cherchait inconsciemment son ami du regard. En cette journée de fête, quand il n'était pas avec Konata et lui, où et avec qui Seiji passait-il son temps ? La réponse lui apparut au détour du stand de rafraîchissement, le stoppant net. Cette fille... Il fallait à tout prix qu'il sache !

" Seiiiiiijiiiii-kuuuun !!! "

Dans un enthousiasme feint, Yukimichi c'était presque avachi sur l'épaule de son ami, un sourire amusé sur les lèvres.

" Ben alors !!! On t'a cherché partout avec Konata ! C'est pas bien d'abandonner tes amis pour une fille ! "

Bon, ce n'était pas tout à fait exact, mais qui pourrait vérifier ? Certainement pas cette fille...
Yukimichi la dévisagea d'un air curieux avant de la resituer. Ils n'avaient pas été dans la même classe l'année précédente, et elle ne l'avait pas suffisamment marqué pour qu'il se souvienne de son nom. Une élève de deuxième année, bien fade de par le physique et l'attitude. En clair, ce n'était absolument pas une fille pour Seiji... et ses sentiments n'avaient rien à voir dans l'histoire...

{ HRP : Les deux pieds dans le plat ! o/ }

Élève de la 1-A

Un haussement d'épaules accueillit la proposition de la jeune fille. C'était aimable de sa part mais il avait déjà deux élèves de la classe 3-A pour l'aider à avancer sur le programme. Et vraiment pas des moindres : entre le président du conseil des élèves qui avait eu 100% de réussite au dernier examen et Tatsuya, troisième de sa classe... Elle n'aurait guère pu faire mieux.

Néanmoins Seiji n'eut ni le temps d'accepter, ni celui de rejeter son offre. Une voix bien connue le fit sursauter alors qu'elle criait son nom et moins d'une seconde plus tard le corps de Yukimichi s'affalait sur lui. Le blond dut faire un pas en avant pour soutenir la grande carcasse pleine de muscles et d'énergie de celui dont la proximité était affreusement troublante depuis quelques temps.

« Ouais hum... je te présente euh... »

Comment s'appelait-elle déjà ?

« Michiki-sempai. C'est bien ça hein ? C'est ma... copine. »

Troublé, il ne savait plus trop comment formuler les choses correctement. La présence de la jeune fille était aussi bien une plaie qu'une bénédiction : Seiji était presque tenté de maintenir l'illusion pour retrouver une touche de normalité aux yeux du brun. Néanmoins l'idée qu'il le croit réellement avec la deuxième année lui déplaisait au plus haut point, aussi sentit-il obligé de restituer la vérité.

« Ses cousins voulaient savoir avec qui elle était en couple. Tu connais mon charme naturel, elle a immédiatement pensé à moi. »

Piètre tentative d'humour qui fâcherait sans doute la brunette. Ses plaisanteries étaient souvent prises pour de la pédanterie aux yeux de ceux qui voulaient à tout prix le considérer comme un crétin superficiel. Et elle n'avait pas paru l'apprécier outre mesure malgré l'aide qu'il lui offrait.

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