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Le lycée sous le signe de l'arbre aux 1000 écus
 
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 Kantaro Fugiwara

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AuteurMessage
Kantaro Fugiwara
Président des élèves
Délégué de la 3-A

Kantaro Fugiwara


Personnage
Âge : 18 ans
Chambre / Appart : 102

A savoir
:

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MessageSujet: Kantaro Fugiwara   Kantaro Fugiwara EmptyLun 31 Jan - 19:50

Kantaro Fugiwara

Nom : FUGIWARA
Prénom : Kantaro - 漢太郎

Âge et date de naissance : 18 ans ~ 20 avril
Nationalité : japonaise

Classe : 3è année
Précisions : délégué de la 3-A & Président du Conseil des élèves
Club : tennis, mais ne participe pas aux compétitions
En savoir plus ...

Pseudonyme : Dorian
Age : plus que majeur

Comment avez-vous connu le forum ?
Par favoritisme : j'suis pote avec un admin ^^

D'où vient l'avatar de votre personnage ?
- personnage : Tezuka Kunimitsu
- manga : Prince of Tennis
- auteur : Takeshi Konomi

Caractère

Kantaro est un jeune homme à l'intelligence vive, généralement posé et réfléchi. La distance qu'il met entre lui et les autres le rend difficile d'accès et il a très peu d'amis. De toute façon, il préfère être seul et sa confiance est quelque chose d'extrêmement difficile à obtenir. Franc et direct, il n'hésite pas à dire ce qu'il pense, même si cela dérange. Bien que d'un naturel calme, il devient agressif et violent lorsqu'il se sent menacé (à tord ou à raison d'ailleurs) et les contacts physiques le stressent, ce qui lui donne un côté lunatique.
Son regard sur l'humanité a le cynisme de ceux qui ont vécu soit trop de choses, soit trop tôt. Parce qu'elles sont capables de dissimuler les pires atrocités derrière un sourire séducteur ou un regard innocent, il craint et se méfie des femmes comme de la peste. Quant aux hommes, lâches et aveugles, ils ne méritent que son mépris. Autant dire que peu de personne trouve grâce à ses yeux.
Peu enclin aux sentiments, Kantaro s'est hermétiquement fermé à l'amour. Il a beaucoup de mal avec l'amitié et se contente de relations aimables avec ceux qui l'entourent. Il hait viscéralement sa "mère", pour tout ce qu'elle lui a fait subir, et déteste son père de ne pas l'avoir protégé.
Même s'il n'aime pas montrer sa cicatrise, il n'en éprouve aucune honte, bien au contraire. Elle est le souvenir que lui, à 10 ans, a fait ce que son père n'a jamais réussit : protéger quelqu'un.

Physique

Bien qu’il vienne tout juste d’avoir 18 ans, Kantaro n’a déjà plus l’allure d’un adolescent, comme s’il était directement passé de la phase d’enfant à celle d’adulte. Ni grand, ni petit, ses 66 kg pour son 1m74 sont dus à une musculature fine mais bien présente, entretenue par une pratique régulière du tennis. Les cheveux châtains et mi-long sont généralement coiffés à la va-vite, lui donnant un petit air rebelle qu’il ne cherche pourtant pas à avoir. Plutôt bien fait de corps et de visage, Kantaro est un joli garçon. Mais ses lèvres qui ne sourient presque jamais, associées à son regard gris, lui confèrent un aspect froid et distant, voir sévère.
Il est rare de croiser Kantaro sans sa paire de lunettes à monture fine sur le nez. Il n’en a pourtant besoin que pour lire, mais ceci étant sa principale activité, il en oublie de les enlever le reste du temps. Sur le plan vestimentaire, l’adolescent est un adepte des chemises. Il a les tee-shirts en horreur et n’en porte que lorsqu’il risque de se salir ou pour le sport. Il est moins difficile en ce qui concerne le bas et porte aussi bien le jean que le pantalon ou le bermuda. Sans pour autant être coquet, il n’aime pas être mal habillé.
Kantaro ne porte aucun bijou, même pas de montre - il se fie à son portable pour savoir l'heure. Il n'est ni percé, ni tatoué : aucun signe de rébellion adolescente chez lui. En revanche, une longue cicatrice lui barre l'omoplate gauche et redescend sur le côté, sur une trentaine de centimètres. Elle le tiraille lorsqu'il se sent angoissé.

Biographie

Dans une famille traditionnelle japonaise, monsieur travaille dur pour ramener l’argent du foyer, tandis que madame s'occupe de la maison et élève les enfants, tout en travaillant parfois à mi-temps. Lorsque les choses se passent mal, il y a des disputes, des cris et de la vaisselle brisée, parfois un divorce. Lorsque ça se passe vraiment très mal, madame est souvent dévalorisée et monsieur violent. Les Fugiwara avaient tout de la famille pour laquelle les choses se passaient vraiment très mal, à un détail près : il n'y avait rien de "traditionnel" dans son fonctionnement.

Tout commença avec la rencontre improbable de Mr Fugiwara Ryo, employé à l'avenir prometteur d'une entreprise florissante d'Osaka, et de Mlle Sakamoto, jeune cadre ambitieuse d'une société prestigieuse de Tokyo. Comment ces deux là en vinrent-ils à ce plaire ? Cela reste une question sans réponse. Toujours est-il que la rencontre à l'origine professionnelle aboutit, deux ans plus tard, à un mariage. Comme il était hors de question que la toute nouvelle Mme Fugiwara quitte son emploi, c'est Mr qui démissionna et partit d'Osaka pour que le couple puisse s'installer à Tokyo. Il lui fallut recommencer au bas de l'échelle au sein d'une nouvelle entreprise. Mais il n'était pas de ces hommes rétrogrades, qui ne pouvaient tolérer que leur femme ait un poste plus élevé que le leur, et supportait donc cette nouvelle vie le mieux du monde.
La situation se dégrada deux ans plus tard, lorsque Mme accepta finalement qu'ils aient un enfant. Elle tomba enceinte quatre mois après avoir pris cette décision. Le début de grossesse se déroula à merveille, mettant Ryo au comble du bonheur. Cependant, au cours du 5è mois, un cadre supérieur de la société de Mme vint à décéder, laissant vacant un poste qu'elle convoitait depuis longtemps et qui n'aurait pas dû se libérer avant au moins trois ans. Alors qu'elle aurait dû l'obtenir en temps normal, sa grossesse et future maternité lui en empêchèrent l'accès. Elle qui avait toujours privilégié sa carrière venait de perdre la meilleure des opportunités parce qu'elle avait cédé au caprice de son mari.
Le premier à subir le retour de flamme fut bien sûr cet époux responsable de tous ses maux. Les derniers mois de la grossesse s'écoulèrent entre sarcasmes, remarques dévalorisantes, piques vexatoires, cris et colères au sujet de tout et de rien. Ryo encaissait patiemment, s'auto persuadant que les choses iraient mieux après la naissance du bébé. L'instinct maternel comblerait forcément une partie de la déception carriériste. Mais il n'en fut rien, bien au contraire.

Kantaro vit le jour un matin de printemps, tandis que les pétales de fleurs de cerisier commençaient à couvrir le sol des jardins. Mme lui jeta un regard dégoûté et laissa Ryo s'occuper de lui. Elle ne participa même pas au choix du prénom. De retour au domicile, le jeune père comprit rapidement que ce serait à lui d'élever l'enfant et de sacrifier son travail. Mais après tout, si cela pouvait faire revenir sa femme à de meilleurs sentiments, pourquoi pas. Et puis lui, il l'aimait suffisamment pour deux son petit Kan-chan. Mme reprit rapidement son travail, créant une rupture supplémentaire en reprenant son nom de jeune fille au sein de sa société.
Le petit Kantaro fut un enfant calme et silencieux, comme s'il avait compris qu'il n'était pas dans son intérêt de se faire trop remarquer. Ou plus probablement, les éclats de la voix maternelle de plus en plus sonores étaient-ils trop effrayants pour qu'il ne manifeste sa présence d'une quelconque manière. La violence verbale commença à ne plus être suffisante pour satisfaire l'ire de Mme qui se mit alors à frapper son mari, dans une escalade de violence. De bonne constitution, Ryo encaissait sans mot dire, prétextant qu'il s'était mis à la boxe pour justifier les marques de coups auprès des autres. Après tout, un homme battu, ça n'existait pas ... normalement ...

C'est vers ses 18 mois que Kantaro reçut son premier coup, pour une histoire de vase cassé accidentellement. Il n'en garde aucun souvenir, comme de la plupart de ceux qui suivirent dans sa petite enfance. Son père redoubla d'attentions à son égard, comme pour combler son incapacité à le protéger, tout en l'exhortant de tout faire pour ne pas s'attirer les foudres maternelles. Ce à quoi Kantaro s'appliqua avec acharnement malgré l'inutilité de la chose : sa simple existence était une raison suffisante pour faire pleuvoir les coups.
A la maison, Kantaro était un enfant doux, calme, discret, serviable et obéissant sans discuter. A l'école, c'était un élève studieux à l'intelligence vive, avide de tout savoir, invariablement 1er de sa classe, pour lequel les professeurs ne tarissaient pas d'éloges, et ce malgré des absences répétées dues à sa santé fragile. Sauf que sa santé n'avait rien de fragile - bien qu'il ait vu plus de docteurs à lui seul que l'ensemble de ses camarades de classe réunis. Tokyo présentait l'immense avantage de pouvoir changer de médecin dès que celui-ci commençait à s'intéresser d'un peu trop près aux "accidents" à répétition de l'enfant.
Petit à petit, Kantaro commença à ressentir une révulsion grandissante pour cette femme qui était soi-disant sa mère. D'autant que ceux qui avaient des doutes sur ce que subissait l'enfant, semblaient systématiquement lui accorder des regards compatissants tandis qu'il foudroyaient littéralement son père. Et d'abord, s'ils savaient ce qu'il se passait, pourquoi ne faisaient-ils rien pour le sortir de là ? La lâcheté des adultes lui devint rapidement écoeurante.

Ce fut le jour de ses 10 ans que les choses basculèrent définitivement. Alors que Ryo préparait le gâteau d'anniversaire de son fils, Mme rentra de son travail de mauvaise humeur. Comme toujours dans ces moments là, elle abattit sa colère sur son mari. La suite des évènements reste assez floue dans la mémoire de Kantaro. Il se souvient d'un couteau dégoulinant encore du jus des fruits qu'il avait servi à découper, du reflet de la lame agitée par la femme sous le nez de Ryo, des éclats de voix menaçants, de lui s'interposant entre les deux adultes, d'une douleur atroce dans le dos, puis ... plus rien ...
Lorsqu'il reprit connaissance, Kantaro était dans une chambre d'hôpital, entouré de visages inconnus. Quelques jours plus tard, un homme des services sociaux vint le voir, lui demandant de lui raconter ce qu'il s'était passé. Devant le mutisme de l'enfant, il lui assura que son père ne pourrait plus jamais lui faire de mal. A ces paroles, Kantaro écarquilla les yeux de surprise et d'incompréhension, avant d'entrer dans une froide colère pour cet adulte qui prétendait savoir et ignorait tout. Il déballa alors toute la vérité sur un ton glacial, sous le regard ahuri de l'homme et de l'infirmière présente à ses côtés. C'était dit : plus jamais il ne laisserait cette femme lever la main sur lui, et tant pis si cette vérité dérangeait !
A sa sortie de l'hôpital, le divorce était prononcé. Le juge avait confié la garde exclusive de Kantaro à son père, n'accordant qu'un droit de visite sous surveillance des services sociaux à sa mère. Droit de visite qu'elle n'utilisa qu'une seule fois et auquel Kantaro refusa de se rendre. A compter de ce jour, il ne parla plus d'elle qu'en utilisant le nom de Mlle Sakamoto. Quant à son père, il se mit à l'appeler par son prénom. Si Ryo en fut peiné, il n'en dit rien et laissa son fils faire à sa guise.

Les 6 années suivantes furent calmes, offrant une tranquillité que le garçon n'avait jamais connue avant. Kantaro se soumit sans grande motivation au suivi psychologique imposé par le juge, mais trouva finalement son salut en se noyant dans les études, le tennis et la peinture.
Quand son père lui annonça qu'il fréquentait une femme, l'adolescent se contenta d'hausser les épaules. Grand bien en fasse à Ryo, mais lui n'était pas concerné. Il dût pourtant s'y intéresser un minimum lorsque la femme en question vint s'installer à leur domicile. C'était une fois de plus une femme au caractère fort et Kantaro supporta très mal sa présence. Deux mois plus tard, il annonça à son père qu'il souhaitait poursuivre ses études dans un cadre plus propice - traduction : loin de Tokyo, de Mlle Sakamoto, de son père et de sa nouvelle compagne.
C'est ainsi qu'il jeta son dévolu sur Hamura High School, à la fois suffisamment proche pour rassurer Ryo, et suffisamment loin de tout ce que Kantaro voulait tenir à distance. Bien qu'il soit en cours d'année, ses résultats scolaires appuyés par les lettres de recommandation de ses professeurs furent suffisants pour qu'il soit accepté au lycée.
__________
Lorsque Hamura High School ferma au début de l'année scolaire suivante, Kantaro indiqua comme seul choix, d'être transféré dans le même établissement que Hugh Brown, son petit ami, ainsi qu'Eiji Kimihiro, si cela était possible. Il fut soulagé quand il reçut la lettre de son inscription à Ginkgo Gakuen. Le délégué de sa nouvelle classe venant de déménager, et étant également président du conseil des élèves, Kantaro se présenta malgré son arrivée récente. Il fut élu dans les deux cas.
__________
Shizuka, le chiot shiba inu dont il partage l'éducation avec Eiji, a pu intégrer le chenil de l'établissement.
Kantaro est un petit dormeur, doublé d'un insomniaque. Il ne dort donc pas plus de deux heures par nuit, et passe le reste du temps à lire - généralement en dehors de sa chambre - ou à se promener.

Compétences particulières
Niveau scolaire
  • niveau général : 96 pour 100
  • matières litéraires : 97 pour 100
  • matières scientifiques : 95 pour 100

Langues
  • japonais : langue natale
  • anglais : niveau courant
  • espagnol : très bon niveau scolaire
  • russe : apprentissage par correspondance

Sport
  • Tennis : amateur, mais de bon niveau

Autres
  • dessin & peinture

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Le Staff
Administration
Compte commun




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MessageSujet: Re: Kantaro Fugiwara   Kantaro Fugiwara EmptyLun 31 Jan - 19:56

Re (ça vaut pas le coup de dire "bonsoir" là XD),

La fiche est bonne, je valide donc. Tu seras en chambre 102 (étage des mecs).

Bon jeu o/
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