Nom : Sanzô
Prénom : Ajira
Date de naissance : 15 janvier 1992
Âge : 16 ans
Nationalité : Japonaise
Caractère : Ajira est ce que l'on appelle un personnage à multiples facettes. Mais celle qui ressort le plus souvent est celle du garçon lunatique constamment dans la lune.
En effet, Ajira est du genre à se détacher de la réalité avec une facilité plus que déconcertante, ce qui explique en partie son peu d'intérêt pour les cours, qui sont bien trop terre à terre pour lui. Non, le jeune homme préfère de loin s'imaginer sur un autre monde peuplé de créatures extraordinaires et peu communes. Car, en plus de ça, il est doté d'une imagination comme on en voit rarement, ce qui est un très bon point en ce qui concerne son don inné pour le dessin et la musique.
À part ça, Ajira a le contact plutôt facile, bien qu'il préfère que ce soient les autres qui viennent à sa rencontre que l'inverse. Il a un goût prononcé pour les jolies filles, et n'est pas du genre à dissimuler son côté cœur d'artichaut, pouvant ainsi "tomber" amoureux toutes les dix secondes, sans même savoir quoi que ce soit sur les demoiselles en question.
D'un naturel extraverti, il sourit facilement et aime les couleurs vives. Il n'est donc pas rare de le voir habillé de vêtements bariolés, d'ailleurs souvent tachés de peinture.
Physique : Pour ce qui est du physique, Ajira est loin d'être déplaisant, et a un petit quelque-chose qui fait que les filles ont parfois plus tendance à aller vers lui que vers un autre. Et ça, il le doit à sa taille. En effet, Ajira est relativement petit, et dépasse avec peine de mètre soixante-cinq. Avec ça, il a tout d'un freluquet, et n'a absolument rien de menaçant à avancer. Ses jambes sont souvent comparées à des allumettes, et bien évidemment associées à ses bras. Ses doigts sont d'une finesse rare chez les hommes, et son cou semble peiner à tenir sa tête, qui pourtant n'a rien d'imposant.
Passons à son visage. Ce dernier est composé d'une multitude de traits fins, sans pour autant être d'une grande complexité. De fines lèvres rosées, un petit nez retroussé et deux grands yeux rieurs de couleur brune tendant vers le rouge. Ses cheveux lisses lui balayent les front, teints d'une couleur verte sombre, contrastant avec son teint pâle.
Côté vestimentaire, Ajira apprécie particulièrement les vêtements amples le laissant libre de ses mouvements, et aux couleurs vives et chatoyantes.
Histoire : 15 janvier 1992, dans un petit village ni riche, ni pauvre, au Japon. Le couple Sanzô se réjouit de voir naître son premier enfant après maintes tentatives infructueuses. Mais, après avoir investi dans l'in vitro, ils parvinrent au résultat souhaité, et fêtèrent ça dignement, et sans retenue. Ils n'étaient pas de ceux qui n'attendaient qu'un héritier pour reprendre la firme familiale, un moyen de se décharger de certaines tâches pénibles, ou encore de ceux qui suivaient simplement le cours de l'existence humaine. Non, eux voulaient simplement un enfant, pour assouvir leur trop plein d'amour parental, et s'étaient juré d'en prendre soin jusqu'à la fin.
Sauf que la fin arriva bien trop tôt pour eux. Alors qu'Ajira n'était âgé que de sept ans, ils périrent sous les débris de leur petite maison qui avait été mal conçue et n'avait pas résisté à l'un des nombreux tremblements de terre qui ont lieu au Japon. Ajira, lui, était à l'école ce jour là, et ce fut une femme à l'air sévère qui lui était totalement inconnue qui vint le chercher à la sortie. Elle lui expliqua que ses parents avaient dû partir brusquement pour l'étranger, mais qu'ils ne l'oubliaient pas. Ils devaient même lui rapporter un cadeau inoubliable.
Finalement, Ajira vécut dans un orphelinat correct. On lui apprit la véritable raison de sa présence ici lorsqu'il fêta ses quinze ans. Étrangement, il n'en devint que davantage plein de vie, d'enthousiasme et d'optimisme, comme soulagé du poids que pesait l'attente du retour de ses parents depuis tout ce temps.
On ne le plaça dans aucune famille d'accueil, les psychologues voyant en lui un enfant fragile et une bombe à retardement, de par son comportement singulier devant la tragédie qu'on lui avait annoncée. Pour eux, il cachait sa tristesse derrière un masque de joie, et était à tout moment prêt à mettre fin à ses jours.
En fin de compte, l'orphelinat le plaça ici, en toute confiance, par manque de place. Ajira, apprenant la nouvelle, bondit de joie, curieux de voir des visages nouveaux.
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