Alors Yama-san !, :)


Nom : Daisuki (mère) Ishtar (père)
Prénom : Namu
Date de naissance : Un mardi 2 février 1993
Âge : 15 ans
Nationalité : japonaise et égyptienne( Vive les couples mixtes !)
Club de : musique

Caractère :
Namu a en effet un caractère lui étant bien propre... D'une part, il possède une grande ténacité qui peut tourner à l'entêtement. Il ne se laisse jamais abattre même lorsqu'elle n'arrive pas à atteindre un objectif et utilise tous les moyens pour y parvenir, sans aller trop loin dans son ambition. Il est têtu, dès qu'il a une idée qui lui trotte dans la tête, il est très difficile de la lui faire enlever, sous peine de recevoir des répliques cinglantes... De-plus, comme il est du même sang que le célèbre archéologue Marik Ishtar, il a reçu une éducation très sérieuse, avec des moyens aisés... C'est d'ailleurs grâce à cette éducation qu'il se fera très vite remarqué durant son parcours scolaire pour avoir été curieux, actif et sympathique...

Côté défaut : On ne peut nier le fait que le blondinet est vraiment très susceptible, il ne faut pas le contrarier sous peine de recevoir plusieurs séries de coups de poings. Cela rejoint aussi le fait que l'on dit qu'il peut-être violent... Très violente... D'autre part, Daisuki, le deuxième du nom, est un très fin manipulateur ; tout l'opposé d'une personne franche et directe ; elle aime manipuler et jouer avec ses ennemis, comme il le fait si bien avec son instrument préféré, son Ukulélé... Et pour ne pas s'arrêter dans notre lancée, l'on peut bien souligner le fait, qu'en présence de personne en qui il possède une certaine affinité, il parle d'une façon très familière, voir argotique et même très vulgaire... A l'opposé, en présence de personnes lui étant supérieur sois par l'âge, l'éloquence et/ou l'expérience, l'égyptien parle de façon assez peu courant, presque soutenu...


Physique :
Namu Daisuki mesure les 1mètre 80 et des poussières et pèse 55 kilos de graisses, de muscles d'os et de cheveux... Comme sa mère, il possède des cheveux assez long... Les siens sont d'une couleur éclatante et pleine clâreté comparable à l'astre lunaire... Leur longueur lui permettrait de les attacher ou d'en faire une à plusieurs tresses, mais il préfère rester dans la simplicité et les laisser voler à la force du vent... Son regard. Le même que celui de sa mère, est attirant et hypnotique. Quant à sa peau, l'on ne peut nier le fait qu'elle est d'une grande fermeté. Son épiderme a un teint halé rappelant les terres australes... Côté vestimentaire, le musicien a un style vestimentaire bien à lui. Il a l'habitude de porter une veste sans manche de couleur parfois mauve, parfois blanche ; faisant office de tee-shirt qui laisse apparaître une partie de ses abdominaux et son nombril. Plus bas, des pantalons de couleur beige, attaché par une ceinture noire. Côté accessoire, il aime l'or et le doré. Ce métal lui rappelle beaucoup son enfance avec l'Egypte... De ce fait, deux pics d'or lui font office de boucles d'oreilles. Il porte aussi des bracelets qu'il attache autour des bras : un pour chaque biceps et quatre pour les avant-bras...

Histoire :
Une histoire... C'est le croisement d'autres histoires... Et ce croisement, comment s'appelle-t-il ? Seraitce l'amour... L'amour entre deux êtres... C'est deux êtres seraient des parents... L'un était un éminent archéologue d'origine égyptienne, travaillant pour des musées anglo-saxons... Le père de notre protagoniste, nommé « Marik Ishtar », était quelqu'un de sage, réfléchit et assez coincé... Il était du type de personne qui passait plus de temps à travailler qu'à s'amuser ou à prendre soin de sa personne, hors-mis les rares occasions où il arrivait en smoking dans des galas où il était invité afin de parler des récentes découvertes sur des civilisations antiques, en l'occurrence l'Egypte et ses vestiges de sa civilisation connue et tous et toutes... C'est galas, il les détestait, de tout son coeur et de toutes son âme pour la seule et unique raison qu'il lui faisait perdre son temps. Son temps qu'il croyait tant précieux...

Et pourtant, le début de l'Histoire de la procréation de notre blondinet pris sa situation initiale dès lorsque Monsieur Ishtar croisa son regard avec elle... Elle... Une jeune femme âgé de la trentaine, comme lui, qui n'avait pas l'air de s'amuser, comme lui, qui avait du aussi prendre parole devant une assemblée de gourd-asses, de pseudo gentlemans, d'avide hommes-d'affaires, de directeur de musée de renommée mondial, tel que le "Metropolitain Museum" de l'île de Manhattan, dans la ville de New-York... Et devant lui, qui était resté pétrifié, telle une statue de pierre... Le regard avait comme une sorte de psychisme qui l'envoûtait... Un regard hypnotique qui le rendait presque stupéfait... Et il n'y avait pas le regard qui l'avait subjugué... Sa chevelure blonde, ses yeux pers rappelant la pierre de topaze... Sa peau, d'un teint hâle semblable au sien... Dès l'instant ou l'un posa le regard sur l'autre, il n'arriva point à décrocher son regard devant son nouvel objet de curiosité... L'homme était tombé amoureux et cela avait bien l'air d'être réciproque...

« Christy Daisuki », une jeune femme d'origine japonaise et anglo-saxons, quant à elle, était complètement séduite de part le charisme l'éloquence, l'élégance de son nouvel amour... Il était lui aussi métis, il était lui aussi blond, il était lui aussi passionné d'art, de littérature et d'histoire, peut-être à cause de son métier, d'écrivain et de journaliste pour elle, d'archéologue pour lui. Ses traits lui donnait ce côté emplit de sagesse et de témérité qu'elle aimait et qu'elle recherchait depuis sa plus jeune enfance... Un contact très étroit, aussi étroit et fin qu'un bruit aigu... Les semaines, les mois, les années passèrent et leur pseudo amitié se transforma très vite en amour platonique qui donna naissance à notre protagoniste, Namu, Daisuki Namu. Ils décidèrent de s'installer jusqu'aux six ans de Namu, en Egypte ; pays natal de notre pater.

Notre héros naquit dans un foyer entouré d'amour, de compréhension, de justesse, mais aussi de sévérité, de littérature et d'histoire... Sa mère l'avait initié à l'art de la lecture et de la narration... Elle l'avait aussi inscrit à des cours de musiques où il apprenait à faire du piano... Elle lui faisait aussi lire dès qu'il atteint l'âge de la raison, c'est-à-dire les dix ans... Malgré leur déménagement, le jeune garçon réussit à créer des liens avec d'autres enfants de son âge... Il avait hérité de la passion de sa mère pour la lecture et de son éloquence... Il avait été très vite remarqué à son école où il fut scolarisé qu'il avait un profil très littéraire... Malgré le fait, qu'il soit parti de l'Egypte où il était scolarisé dans une école anglaise, il arriva à rattraper son retard en japonais. Et oui, la famille anglophone (les deux parents parlent l'anglais couramment, sans compter leur propre langue maternelle ainsi que la langue de leur conjoint qu'il commençait à connaitre).

Donc, écrivain dans l'âme, poète en herbe, pianiste amateur, Namu su resté assez simple malgré son manque d'humour, dont ces camarades firent l'expérience de part ses remarques ou ses gestes excessifs... On le surnomma même à une époque "La Bombe à retardement" à cause de fait qu'il s'échauffait très vite... Puis ce fut l"Egyptien" pour sa manie d'écrire et ses traits physique rappelant les phararonsde l'Egypte Antique... Mais cela resta un problème mineur dans la relation qu'il avait avec ses ami(e)s et les gens qu'ils côtoyaient... Avec le temps, ses traits devinrent plus mature, ses goûts plus précis et sa plume plus fine... Il jouait toujours du piano mais avait arrêté les cours... Il savait jouer suffisamment pour épater certaines connaissances ou faire parler d'émotion sa mère devant la mélancolie qu'il arrivait à faire sortir des cordes frapper du piano-forte... Cela l'enchantait de voir son père faire un sourire en forme de banane, tellement il en était fier de son fiston...

Seulement voilà, comme dit le vieux dicton, toutes bonnes choses à un début, un milieu et une fin... Son père qui était parti en expédition pour l'Egypte, fut tué par des terroristes... Cette nouvelle bouleversa profondément le quotidien qu'avait pris la famille, désormais nommé Daisuki... Sa mère qui avait pleuré comme une Marie Madelein... Sa mater qui criait, hurlait aux morts devant la cercueil puis la tombe de son vénérable et connu, mari... Comme elle était orpheline et lui aussi, il n'y avait eu que des amis à la famille qui se présenta... Ne retrouvant plus le goût de vivre, elle sombra dans la dépression d'avoir perdu l'être qui comptait le plus à ses yeux, avec son fils... Tiens son fils, on n'entendait pas beaucoup parlé de lui... Celui-ci n'arrivait plus à s'exprimer... D'ailleurs, dès qu'il entendait le nom de son père, qui avait la gorge nouée et la respiration saccadée...

Le Deuil fut long et dur à être fait... Mais heureusement, c'est dans les douleurs que l'on se rend à quel point l'on aime la seule chose qui est encore là et qui nous précieuse... La romancière réussit néanmoins à revivre en écrivant toutes ses peines dans un livre où elle lâcha toutes ses émotions noirs qui lui dévorait l'esprit et son âme toute entière... Son fils quant à lui réussit à remonter la pente en faisant du piano à longueur de journée... Le matin avant d'aller au collège, le soir en rentrant du collège et les week-end...

Enfin il restait un problème concret dans l'histoire. C'était le fait que la maison ou étaient logés la romancière et le pianiste était celle qu'avait acheté la famille ensemble à eux trois... Voulant tourner définitivement la page, la famille décida de sang-froid de déménager vers le sud...Là-bas il trouverait un endroit ou faire un nouveau départ... Cela ne dérangeait en rien le fils unique pour la seule et unique raison qu'il avait éprouvé lui aussi beaucoup de mal à complètement effacer les souvenirs de la famille entière... Donc après avoir mûrement réfléchît à cette idée, ils partirent vers une ville dont le nom ne me revient pas ou s'y trouvait le siège principale de l'éditrice de beaucoup de livres de Miss Daisuki et ou s'y trouvait à proximité un collège/lycée réputé pour ses règles et ses réformes révolutionnaires. Ce collège se nommait "Shokuboo Inochi".


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