Nom : Mc Dougall
Prénom : Gwenaëlle
Date de naissance : 17 Septembre 1990
Âge : 17 ans
Nationalité : Japonaise ( et Irlandaise, ça t'en bouche un coin hein ?)

Club de : Arts

Caractère : Connaissez-vous ces balades irlandaises à la flûte, celles qui, lorsque vous les écoutez, vous emportent tellement loin que vous avez l’impression que vous ne reverrez jamais votre pays d’origine, mais que ça n’a plus réellement d’importance ? Celles qui, encore, vous font fermer les yeux et chantonner, où même chanter du yaourt avec l’impression d’être un virtuose parce qu’elle vous envahit tellement que c’est avec plaisir que vous quittez tous vos ennuis ? Irlandaises ou pas, tout le monde connaît ce genre de courtes chansons qui font rêver et Gwen aussi. Dans son comportement, sa façon de se mouvoir, tout, c’est comme si elle était en permanence inspirée par cela. Sas mouvements, par exemple, sont toujours lents, doux, mais ne donnent jamais l’impression qu’elle est fatiguée, shootée. C’est plus de la grâce qui émane de cette jeune fille. Malgré cela elle reste active, et faire du sport ne sera pas un problème pour elle, bien au contraire, mais sa préférence va aux sports que l’on qualifierait de féminins et artistiques, tels que la GRS, toutes sortes de danses bien qu’elle ne soit pas très hip-hop, et autres activités dans le genre. Malgré ses prédispositions dans le domaine du sport, la rousse préfère de loin s’enfermer dans une salle et passer des heures à peindre, plutôt que courir derrière un ballon rond ou ovale, selon l’envie du jour. Elle voit dans le moindre détail qui croise sa route quelque chose d’artistique et ainsi, un simple stylo mordillé aura un sens pour elle et l’inspirera un jour de bonne humeur. Pour certains, une façon de voir les choses aussi étrange peut être amusant ou intéressant, mais pour la plupart des personnes qui avaient croisé la route de l’irlandaise c’était surtout la marque la plus visible de la folie qui la gagnait, avec sans doute son look. Son regard est vide, comme perdu ailleurs, et les seules lueurs qui peuvent être visibles dans ces globes oculaires sont celle de l’intérêt. Pour peu qu’on s’intéresse à la rousse, un intérêt grandit en elle. Gwen a pour habitude de détailler les gens, tout le temps. Elle tente de les sonder, tenter de les imaginer dans d’autres circonstances, et même parfois d’essayer de les mettre en colère ou dans une situation embarrassante, car généralement, c’est d’après elle le moment où on voir la véritable personnalité des gens. Un homme pourra essayer de jouer les gros durs tant qu’il veut, si on fait quelque chose de gênant pour lui, le naturel reviendra au galop sans lui demander son avis. Gwen pense depuis toujours qu’on ne peut pas changer sa nature, quelqu’un de timide le restera, au mieux, il deviendra maladroit et extraverti, à quelques exceptions près. Pour la rousse, par exemple, on ne la verra jamais en train de draguer quelqu’un en boite, même si elle prend des résolutions et qu’elle veut se sentir moins seule. Au mieux, elle parlera un peu et se lassera bien vite. Tout ce qui n’a pas d’intérêt aux yeux de la rousse ne fait pas long feu et ainsi, elle retournera dans son coin, à réfléchir à ce qu’elle pourrait faire un peu plus tard. Voici, à peu de choses près, ce qu’il en est pour sa façon de penser et de voir les gens. Maintenant, passons au reste. Pour ce qui est des cours, elle a des facilités pour tout ce qui tourne autour du littéraire, langues, arts. Mais pour ce qui est du scientifique, la rousse se demande souvent si elle est réellement finie comme il se doit, où si un jours on ne l’a pas bercée trop près du mur tandis qu’elle comptait les briques de la maison et calculait la distance entre la Terre et le Soleil. Elle ne verrait pas d’autres explications à ces difficultés plus qu’handicapantes dans les matières scientifiques. C’est limite si le mot « calcul » ne lui fait pas sortir des boutons. Même après trois heures de travail intensif, de cours particuliers, les racines carrées resteront un mystère pour cette rouquine. Aussi ne compte-t-elle pas faire chimiste ou comptable, car même les tables de multiplications demeurent dans l’ombre pour elle. C’est bien simple, à partir de la table de six, elle compte sur ses doigts. Est-ce étonnant que sa moyenne de mathématiques tourne autour de 1.5 ou 2 ? ( Points de présentation oblige) De toutes façons, avec ses activités extra-scolaires passées, elle n’avait jamais le temps de se prendre la tête pour cela, et ses parents ne lui reprochaient rien. Elle passait rarement du temps à rien faire chez elle, et enchaînait danse, musique, théâtre sans aucune difficulté. Donc pour ce qui est des goûts de Gwenaëlle, elle adore, évidemment, tout ce qui est artistique pour elle, c'est-à-dire dessin, peinture, photographie, écriture, théâtre, musique. Elle n’est pas spécialement fan de nourriture, mais lorsque quelque chose est bien cuisiné et sent bon, elle ne se gênera pas pour sauter dessus, et son pêché mignon, c’est les petits gâteaux en tout genres. Elle ne cuisine pas, puisqu’elle sait à peine se faire cuire un œuf à la coque, mais le passage chez le pâtissier du coin n’est pas rare, voire même quotidien. Elle aime coudre, évidemment, et se fait elle-même ses vêtements. Pour ce qu’elle n’aime pas, c’est un peu le même refrain que pour tout le monde, à l’exceptions près qu’elle déteste les gens qui se la jouent bad-boys/girls, elle trouve ça pathétique, les « Ooh j’ai fumé derrière le bâtiment hier t’as vu il y a encore le mégot hihihihi »… C’est simple, soit ça lui donne envie de tuer quelqu’un, soit ça la fait mourir de rire. Aussi, elle n’a pas de mal à se désintéresser des gens comme ça. Mais Gwen est très sociable, aux petits soins avec tout le monde. Elle aime rendre service, voilà tout. Elle est aussi dotée d’un humour qui brave tous les éléments, et même lorsque le ciel tombera sur la tête de tous les habitants de la Terre, elle trouvera bien une blague ou un jeu de mots, bien qu’en général, ce ne soit pas tellement drôle, mais c’est juste par principe. Côté amours, Gwenaëlle a vu pas mal d’hommes. Pour certains, c’est une catin, pour d’autres, un cœur d’artichaut. Après, cela reste à vérifier. Pour finir, Gwen est une jeune fille très assidue lorsqu’il s’agit de cours qu’elle aime et comprend, mais vous la verrez rarement se pointer dans un cours de maths, de peur de se taper une honte d’enfer.


Physique : La jeune Gwen n’a pas des gènes Irlandais pour rien, c’est certain. Tout d’abord, elle a hérité de son père les yeux d’un vert magnifique et enviable. De sa mère mi-japonaise mi-irlandaise, elle a hérité de la finesse de la silhouette, bien qu’elle aurait aimé de pas être aussi fragile. C’est du côté de son père qu’elle est allée chercher ses longs cheveux roux, raides du côté de sa mère, un sympathique mélange qui a eu le mérite de l’avantager. Mais évidemment, il faut toujours que quelque chose cloche, et la pauvre s’est retrouvée avec une peau d’un blanc laiteux nacré qui, bien qu’il aille très bien avec son look en général, lui a valu pas mal de moqueries. De nombreuses fois, on l’a appelée « la blanche », ou « le cachet d’aspirine ». D’ailleurs, vivant au Japon, cela marquait bien sa différence, d’autant que quelques mignonnes, ou pas, petites taches de rousseur sont encore apparentes sur ses joues, bien que moins visible qu’auparavant, où c’était pour elle un carnage. La rousse n’a presque aucune force physique, donc son apparence ne contredit pas ce qu’il en est réellement. Un coup de poing venant d’elle équivaut à une caresse pour la plupart des gens, mais la violence ne fait pas partie de ses défauts. Elle ne frappe jamais personne. Comme pour ajouter à son apparence peut être trop féminine et faible parfois, ses mains sont fines, ses doigts longs, un peu le gène du pianiste, d’après ce que l’on dit, ce qui n’est pas pour lui déplaire la plupart du temps. Etant musicienne, cela l’aide souvent. Pour en revenir à son visage, ses lèvres sont très fines, aussi s’acharne-t-elle à les faire ressortir en les humidifiant sans arrêt, ou en y appliquant un rouge à lèvre devenu presque naturel. Pour cacher ses cils roux qu’elle ne supporte pas, elle les couvre tous les jours de mascara. La rousseur peut être avantageuse parfois, mais lorsqu’on ne l’adule pas, c’est parfois un fléau. En l’occurrence, c’est le cas pour la jeune fille. Longtemps elle a songé à se teindre le moindre élément de pilosité rousse, mais a renoncé, se doutant qu’elle regretterait un jour d’avoir gâché ses longs cheveux soyeux pour une simple couleur. D’autant plus que, parfois, elle se mettait à aimer sa chevelure flamboyante. Pour ce qui est du vestimentaire, Gwen n’est tout de même pas banale. Elle peut très bien porter le lundi une robe gothic-lolita, et le lendemain endosser une tenue passe partout, ou même se vêtir de vêtements tellement propres à ses origines. Les costumes traditionnels, ça la connaît, et elle coud elle-même tous ses vêtements, ou du moins en grande majorité, sauf les sous-vêtements, évidemment. Les robes, c’est son rayon, et les seules fois où la rousse porte des pantalons, ils sont larges, et elle ressemble plus que jamais à une baba-cool. Aussi, ses vêtements sont plus excentriques les uns que les autres la plupart du temps, et bien que n’étant pas une fan de shopping, la rousse doit toujours se trimballer cinq ou six valises pleines à craquer pour tout avoir. Afin d’arranger sa coiffure, elle passe toujours une bonne demi heure chaque matin à essayer de trouver, essais à l’appui, de trouver quelque chose qui non seulement tiendra dans sa chevelure trop raide par moments, mais qui en plus cachera la couleur, car, bien que ça soit incompréhensible, elle a subi beaucoup de moqueries de la part de ses soit disant camarades de classe. Petite précision lookéenne (aha), elle porte TOUJOURS des mitaines, elle possède une collection vraiment impressionnante, c’est son pêché mignon. Et elle pose le vernis à merveille, à tel point que ses ongles sont rarement recouverts d’une simple couche d’une couleur. Lorsqu’elle a vraiment la flemme, elle fait des rayures. Quelle artiste !


Histoire : Voir plus bas è__é

Avez-vous lu le règlement ? Bien sûûûr -OK- (Sheik')

Bienvenue^^. Vu que ta fiche est pas encore finit je ne peux pas dire elle est super.. mais je peux dire que le début l'est!!!!!!!

Du même avis que Kagniya, super début. Va voir tes mp j'avais une question qui me travaillé...
Et sinon et surtout, bienvenue!

J'ai pas trop le choix, je dois poster l'histoire ici...


L’histoire des McDougall remonte à très loin dans l’histoire. Aussi n’est-il pas utile de s’étendre là-dessus. Trahisons, coucheries en tout genres, tromperies et complots, les ancêtres de la jeune fille étaient présents partout dans l’histoire de leur terre. Venons en donc avec tout cela à la jeunesse du père de Gwen. Oui, c’est loin, mais avec cela, on pourra avoir les éléments pour comprendre certaines choses. Tout d’abord, il fut élevé dans un univers un peu … à part. Surtout par rapport à ce qu’il voyait autour de lui car il était dans des écoles tout ce qu’il y a de plus publiques. Mais chez lui, c’était un autre business. Pour donner un petit exemple, les phrases les plus amicales, ou plutôt les rares phrases prononcées à son intention par ses parents étaient : « Tiens toi droit ! » « Tu t’es trompé de fourchette ! » « As-tu repassé ton costume ? N’oublie pas la réception de demain ! ». Evidemment, il était marié avant la naissance. Sinon ce n’était pas drôle, et la vie aurait été beaucoup plus simple pour le roux. Il ne savait pas cela d’ailleurs, jusqu’à ses quinze ans, où il coucha pour la première fois avec sa copine, et où il fut l’objet de toutes les crises de nerfs des membres de la famille. Il s’en prenait plein la tête, constamment, et c’est ainsi que d’un coup, il entendit entre deux reproches qu’il était, de toutes façons, déjà promis à quelqu’un. Il pensait que ça n’existait que dans les films, les trucs comme ça, et pourtant, non. Il devrait se marier à une riche héritière, malheur de malheur. De toutes façons, sa vie amoureuse était déjà fichue jusqu’à au moins ses vingt ans, avec la honte qu’il avait dû supporter lorsque la rumeur comme quoi il était déjà marié et que ses parents n’acceptaient pas qu’il soit avec quelqu’un fit le tour de ses connaissances. Jake, car c’est bien son nom, perdit tous ses amis. D’après ses parents, c’était pour son bien, mais lui savait pertinemment que c’était uniquement pour le profit. Aussi, devenant complètement asociable, il s’enferma au fond de lui-même, attendant le jour fatidique où il rencontrerait celle qui était sa future épouse, et qu’il ne pourrait qu’accepter car de toutes façons, il n’avait pas le choix, c’était ainsi chez les McDougall. Des années donc à travailler pour remonter sa moyenne en chute, puisqu’il n’avait aucune autre vie sociale, hormis celle qui consistait à discuter avec les doyens de la famille McDougall, trop vieux pour l’entendre et qui ne pensaient qu’à observer les moindres faits et gestes des autres, afin de trouver le petit détail, le geste qui pourrait être un manque d’éducation. Aussi, la discussion n’était-elle pas toujours intéressante.

Ce fut le jour de ses 18 ans que ses parents lui annoncèrent qu’ils partaient tous ensemble pour le Japon. Cela ne choqua pas le jeune Jake, étant donné que cela faisait des années, de très longues années qu’il apprenait la langue sans savoir pourquoi, bien qu’une petite idée se soit mise en place dans son cerveau depuis les quatre ans où il s’enfermait. Bien évidemment, ils n’allaient pas dans ce pays pour goûter aux spécialités culinaires des nippons, c’était pour rencontrer sa fiancée de toujours, la mystérieuse irlandaise. Oui, irlandaise, père irlandais, mère japonaise. Joli mélange n’est-ce pas ? Comment imaginer une rousse aux cheveux raides comme des baguettes et aux yeux noirs un poil bridés ? Soit c’est horrible, soit c’est magnifique. En l’occurrence, le hasard avait bien fait les choses. Etrangement, marier leur fils à cette fille là n’avait pas gêné les parents de Jake, mais après moult et moult heures à réfléchir, il avait enfin compris : la mère de la jeune Keyko, puisqu’elle se nommait ainsi, devait être haut placée dans une quelconque grande entreprise japonaise. Il allait d’ailleurs se marier avec une cousine lointaine, puisque le père de Keyko était le beau-frère de sa mère. Compliqué n’est-ce pas ? Vous n’êtes pas obligé de tout comprendre. La rousseur des cheveux de la jeune fille n’aura aucune difficulté à prouver que la ressemblance d’origine est troublante. Ils s’aimaient bien, les deux jeunes, évidemment, mais tous deux avaient vécu un peu la même histoire, à l’exception près de la rousse était encore vierge. Sinon ça n’aurait pas été correct. En tout cas, ils se marièrent sans encombre, la nuit de noces eut ainsi pour résultat de mettre enceinte la pauvre Keyko qui n’avait à ce moment là que seize ans. Oui, seize ans, mais d’ici quelques années, elle reprendrait l’entreprise de sa mère, donc pas besoin d’études, elle baignait dedans depuis toute petite. Et tout ce bazar eut pour résultat de faire emménager Jake au Japon. Il gèrerait avec son beau père vieillissant l’entreprise, tandis que sa femme élevait sa fille qu’ils nommèrent Gwenaëlle. Une vraie famille type, bien qu’un peu jeune. Cette situation leur fit jurer qu’ils ne feraient pas vivre cela à leur petite rouquine, ils devraient jouer la comédie jusqu’au dernier instant, mais tout le monde n’avait pas autant de chance qu’eux de se retrouver avec un mari ou une femme qui plait. Ils l’élèveraient de la même façon qu’ils avaient été élevés, à quelques exceptions près, mais choisiraient le moment propice pour la sauver de toutes ces histoires.

L’enfance de la rouquine se fit sans encombres, en grande partie parce qu’elle ne voyait pas ses grands parents paternels. Elle ne voyait que sa grand-mère maternelle, puisque son grand-père était mort bien tôt, laissant son entreprise aux mains de Jake. La petite vécut aux côtés de japonaises et japonais, sans aucune gêne, subissant pourtant de nombreuses moqueries qui lui donnèrent une envie soudaine d’être brune, étonnamment. Ne trouvant aucun moyen de se cacher de cela, elle finit par se plonger dans les arts, de toutes sortes. Ainsi, dès ses six ans, elle commença à apprendre plusieurs instruments, dans lesquels elle s’avérait avec des prédispositions. Ce fut à sept ans qu’elle commença à coudre, et dès ses dix ans, elle se confectionnait des vêtements, allant rarement faire du shopping. Ce fut aussi à partir de ses sept ans qu’elle se mit à dessiner, tout le temps, puis passant rapidement cette période, elle se mit à la peinture. Pour ce qui est de la scolarité, elle apprit plusieurs langues, l’anglais, le français et l’allemand. Elle n’était pas tellement fan des langues latines, seul le français lui faisait envie. Elle n’eut que très peu d’amis à l’école, donc. Et un jour, ses grands parents paternels revinrent au Japon.

Cette visite aussi soudaine qu’incompréhensible fit un bazar pas possible dans le foyer McDougall. C’était prévisible, Gwenaëlle avait 17 ans, et c’était le jour de son anniversaire. Les McDougall avaient un don pour foirer les anniversaires, surtout lorsqu’on s’approche de la majorité. Pendant une semaine, Keyko s’activa aux fourneaux, tandis que Jake cherchait désespérément un tailleur pour trouver un costume parfait pour l’occasion. Non pas qu’il soie heureux de recevoir ses parents, au contraire, il en avait peur. Il avait aussi peur pour sa fille, c’était elle l’objet de la visite : ils voulaient la marier, et avaient trouvé un bon parti. Mais la pauvre Gwen n’était au courant de rien et vivait tranquillement, un petit copain par-ci, un autre par là, elle avait réussi à se faire peu à peu une place dans ce pays, pourquoi vouloir la faire repartir en Irlande maintenant ? Le repas fut vraiment stressant. Pourtant, la rouquine avait appris autant de choses que ses parents, mais elle ne comprenait pas pourquoi la tension était palpable. Elle avait l’impression d’être coincée dans une tempête de neige. La discussion parlait de mariage, de Gwen, elle ne comprenait plus rien. Ils voulaient qu’elle se marie maintenant ? Mais cela faisait seulement deux mois qu’elle était avec son petit copain, et ils étaient sur le point de rompre ! Qu’avaient-ils à s’immiscer dans sa vie ainsi ? Malheureusement la réponse à toutes ses questions vinrent le soir même, lorsque les vieux McDougall repartirent. Ses parents, gênés durent tout leur expliquer et, voyant l’air scandalisé de leur fille, cherchèrent une solution, et la seule qu’ils purent trouver qui conviendrait à presque tout le monde et qui empêcheraient ses grand parents de la marier était celle-ci : La mettre en internat.

Bienvenue !

J'aime ton kit, j'aime ta fiche =) Amuse-toi bien !

Merci grand admin tyrannique :P

Franchement... j'ai eu presque peur pendant un moment xD

Mais bon, tout va bien ! Bravo pour la longueur et on s'fait un topic dans pas longtemps ? Parce que je veux pas dire, mais Sheikhan est pire que lent... xD

Merci =) Et pour le topic, bah let's go puisque j'ai le choix hein x)

Bienvenue!!

Merci merci merci ! *salue en s'inclinant profondément*

Bienvenue à toi jolie Gwenaëlle!
Amuse toi bien ici! :36: