Nom :: Leonino Alvarez
Si le prénom de son père, Alvarez, est très commun dans son pays d'origine, Leonino l'est moins. Il s'agit du mot espagnol Léonin, groupe qui désigne précipalement les lions.
Prénom :: Melina Sara Katrina Josefina
Seigneur, ses idiots de parents n'ont pas cru bon de lui donner un prénom court et simple pour compenser son double nom de famille ? Josefina provient d'une amie Québécoise de sa mère, décédée du cancer du sein. Elle s'appelait Joséphine. Katrina vient de la tante de son père, Katharina. Sara est un nom simple, celui qu'elle aurait aimé porter, mais bon... Il provient d'un actrice de théâtre que ses parents aimaient bien, mais dont le nom a été oublié de tous. Et finalement, Melina, le prénom de la grand-mère de sa mère.
Date de naissance :: Le 31 octobre, à Halloween.
Âge :: 15 ans
Nationalité :: Colombienne
Vous l'aurez probablement deviné à son nom, c'est loin d'être une japonaise. Certains auraient pensé à Cuba ou au Mexique, mais ce n'est pas le cas. Elle vient de Bogota, capitale de la Colombie, pays du Nord de l'Amérique du Sud.
Caractère :: Melina est une fille avec un caractère assez étrange. En effet, elle semble toujours inexpressive et dans la lune. Malgré tout, elle est toujours à l'écoute des autres, c'est le genre de personne qui sera muette comme une carpe si vous lui dites un secret. Elle ne semble jamais gentille ni méchante, elle est toujours calme et ne pleure jamais, ne sourit pas souvent. Elle est courageuse et très sportive, voir même casse-cou. Elle a aussi une capacité innée appelée 'mémoire photographique', sa mémoire enregistre tout dans sa tête comme sur la pélicule d'un appareil photo. Elle peut se rappeler de tous les détails de n'importe quelle scène... même la moins belle. Elle a aussi une bonne ouïe, car elle joue du violoncelle et de la guitare. Melina est aussi une fille très intelligente de nature, patiente (trop) et un brin manipulatrice.
Physique :: Que dire de cette sublime jeune fille ? Elle est dotée de longs cheveux noirs qui atteignent le milieu de son dos et sont parcourus de reflets auburns. La plupart du temps bouclés et rebelles, elle les lisse avec un fer plat pour ne pas qu'ils ne l'emcombrent. Ses grands yeux inexpressifs sont d'un bleu irréel et fluorescent, qui fait pratiquement mal aux yeux. Elle a le magnifique teint bronzé et presque mat des hispanniques. Elle n'est pas de très grande taille sans être minuscule pour autant. Elle est plutôt moyenne côté grandeur mais est d'une corpulence très mince, avec juste assez de formes et un visage aux traits fins, avec des lèvres pulpeuses et de longs cils noirs. Elle a des doigts de pianiste, et, malgré sa minceur, presque maigreur, elle est très athlétique.
Histoire ::
Elle ramena ses genoux contre sa poitrine, la respiration silencieuse. Elle avait peur... son coeur battait à tout rompre. On aurait dit que son coeur allait éclater dans sa poitrine... Elle avait les yeux plein d'eau, et les larmes dégoulinaient sur ses joues sombres... Plus le bruit se rapprochait, plus elle avait peur. Plus elle avait mal... plus elle avait mal pour eux.
-Venta niño mierda! ¿O usted está ocultando?
Elle se retint de pousser un cri de surprise et de terreur en plaquant sa main sur sa bouche. Elle ne voulait pas avoir mal... La vieille pie criait encore et encore, jurant contre toutes les divinités qu'elle connaissait, hurlant parce qu'on lui avait confié cette enfant. Elle l'avait encore traitée de 'sale gamine de merde'. Vraiment, Valna Diaz était la plus méchante de toutes les vieilles femmes du monde. Mais rien ne pouvait battre P'pa. P'pa était le fils de cette dame. C'était un monstre, pire que ceux qui se cachent sous les lits. Parce que lui, il se cache DANS les lits.
-¿Pero hice lo que Dios por qué me encuentro con estos parásitos? + Mais j'ai fait quoi à Dieu pour que je me retrouve avec ces vermines ?
Plus Mme Diaz avançait, plus Melina avait envie d'hurler. Cette vieille femme avait les cheveux gris courts et dressés sur sa tête, elle était très grosse et avait le visage tout plissé par l'âge. Ses yeux noirs jetaient des éclairs autour d'elle. Ils faisaient peur, ses yeux, mais pas autant que ceux de P'pa. Ceux de P'pa, ils étaient plus noirs que noirs, glacés, ils donnaient l'impression d'être plongé dans l'océan Arctique.
-Si te encuentro, me matar! + Si je te trouve, je te tue !
Elle avait de plus en plus peur. Elle était cachée dans l'armoire, tôt ou tard, elle la trouverait... La vieille fouilla un peu partout.
-Espera un minuto ... Estoy seguro de que escondido en el armario! + Attends un peu... je suis sûre que tu te caches dans cette armoire !
Le souffle de la petite s'accéléra, et à travers ses pupilles agrandies par la noirceur se lut une profonde terreur. Elle trembla légèrement et les larmes cessèrent de couler. Finit : elle allait mourir. Elle vit la porte s'ouvrir légèrement, doucement... puis, elle s'ouvrit à volée, et la petite fille se retrouva en face d'une grande et large vieille femme armée d'un bâton de bois.
-¡Por fin! Allí están! Te pasan un cuarto de hora sucia, poco puta! + Enfin ! Te voilà ! Tu vas passer un sale quart d'heure, petite salope !
Elle l'empoigna par ses longues boucles noires et la tira brutalement hors de l'armoire, la jetant violemment au sol. La petite cria mais se prit un violent coup de bâton dans le dos. Le coup déchira sa petite robe grise, une robe usée et trop grande pour elle. Elle s'en prit un autre, puis un autre, jusqu'à ce que quelqu'un ne surgisse dans la pièce.
-Mamá! ¡No y no me explica por qué las huelgas de nuevo. + Maman ! Arrête ça et explique moi plutôt pourquoi tu la frappes encore.
Elle connaissait cette voix, mais elle n'osa pas lever son visage plaqué contre le sol. Elle avait trop mal et trop peur. Elle ne bougeait plus, à présent. Elle savait qu'il ne la frapperait pas. Il ferait pire encore...
-Yo ... Ella trató de huir, Angelo! Además, me atacaron a cabo del armario como una furia! Usted debe castigar a los peores! + Je... Elle a tenté de s'enfuir, Angelo ! En plus, elle m'a attaquée en sortant de l'armoire comme une furie ! Tu devrais la punir plus durement !
-No tienes nada que decir sobre la forma en que plantear! +Tu n'as rien à dire à propos de ma façon de l'élever!
Il gifla sa mère, qui recula timidement, baissant la tête. Il regarda froidement la petite chose ensanglantée à ses pieds.
-Vamos, de pie. + Debout, tout de suite.
-Si, P'pa...
Elle se releva, tremblante, tête basse. Soudainement, quelqu'un entra en trombe. Il n'était pas hispannique mais blanc.
-Les poulets arrivent, putain ! Angelo, ils viennent chercher la fille !
-Ils ne l'auront jamais, Albert... Je vais aller dans les bois, et s'ils essayent de me la prendre, je la tue. Je l'aime trop pour la voir souffrir de mauvais traitements.
Cette phrase choquait : il ne se rendait pas compte que chaque minute passée avec lui était la pire des tortures. Il la prit dans ses bras et sortit par derrière du bungalow miteux qu'il partageait avec sa mère et son ami. Il courrut vers les bois. La forêt humide était très, très touffue, et il la connaissait par choeur. Il savait qu'après une heure de marche il pourrait de fondre dans la population d'un visage assez peuplé. Il entendait cependant des pas... oh, non ! Il sortit un couteau et le pressa contre la gorge de la fillette avant de se cacher derrière un arbre.
-Diaz! Salir! Ella es demasiado joven para morir! + Monsieur Diaz ! Laissez la ! Elle est trop jeune pour mourir !
-Es el mío! Nada para mí! + Elle est à moi, rien qu'à moi !
-No.
Et il reçu une balle dans la tête, éclaboussant la fillette traumatisée de son sang.
-Melina ! Meliiiina ! Despertarse! + Réveilles toi !
Melina releva la tête. Une petite fille de sept ans se tenait à côté d'elle, l'air anxieuse.
-Usted chiala. Usted hizo un mal sueño? + Tu gémissais. Tu faisais un mauvais rêve ?
Elle hocha la tête et se leva. Elle descendit en bas en suivant sa soeur, dans la somptueuse cuisine de la famille Alvarez. Ils étaient très riches, et vivaient dans un énorme manoir en Colombie situé à deux kilomètres de Bogota. En effet, Rodrigo Alvarez était le patron d'une célèbre compagnie électronique (fabriquant MP3, lecteurs DVD, télés, ordinateurs...), une compagnie chère et la plus célèbre de toutes, et Maria Alvarez était mannequin international. Leurs trois filles, Sofia, Melina et Amelia, étaient pleines de potentiel. Sofia suivrait probablement les traces de sa mère, Melina était une musicienne et une chanteuse magique et Amelia, bien qu'elle soit encore jeune, avait déjà tourné deux films. De plus, Melina fesait de l'équitation, du soccer et de la natation depuis sont plus jeune âge, la rendant très sportive. Alors que la femme de charge servait le déjeuner à toute la famille, Rodrigo et Maria se postèrent de l'autre côté de la table, face à elle, un étrange sourire aux lèvres.
-Mi querido, tenemos buenas noticias. + Ma chérie, nous avons de bonnes nouvelles.
-Usted se aceptaron a Shokuboo Inochi! + Tu as été acceptée !
...
...
Pas vrai
...
Seigneur
...
...
YOUPIIIIIIIIIIIIIIIIIIII JE M'EN VAIS AU JAPON !!!!!!!
Avez-vous lu le règlement :: -Code OK-
Accueil 