Haruka Fujisaki Nom : Fujisaki Prénom : Haruka Âge et date de naissance : 19 ans, 18 fevrier 1991 Nationalité : Japonaise Classe : Prépa Clubs : Calligraphie

En savoir plus... Votre pseudonyme : Haru Votre âge : 18 Comment avez-vous connu le forum ? ♥ D'où vient l'avatar de votre personnage ? Okamura Yukio de Ao no exorcist

Haruka est d'un naturel timide et discret, toujours silencieux et en train de fixer le sol, il ne repoussera pas quiconque s'approche de lui (enfin, sauf si cette personne le dérange vraiment ou pire, l'empêche de lire!) mais il se montrera quelque peu distant et aura beaucoup de mal à poursuivre une conversation. D'ailleurs si ça ne tenait qu'à lui, il ne parlerait à personne et resterait seul avec ses livres pour seule compagnie, ce serait tellement mieux... Il ne sort d'ailleurs pas très souvent sauf pour aller acheter des livres ou prendre l'air. Ah, oui, Haruka a toujours au moins un ou deux livres dans son sac, c'est sa règle d'or. Il est dénué de toute force physique et est plutôt maladroit à tel point qu'il serait capable de se blesser lui même en essayant de chasser une mouche. Haruka à beau être non violent, il ne se laissera pas non plus marcher sur les pieds, si vous l'ennuyez royalement il n'hésitera pas à vous envoyer paître avec classe. Haruka n'est pas du genre naïf, il est même plutôt du genre à être effroyablement terre à terre, même s'il est surement le mec à avoir l'imagination la plus fertile du monde, dans son cerveau, ça part dans tous les sens! C'est peut être d'ailleurs pour ça qu'il lit encore et encore tous les livres qu'il trouve, des plus sérieux aux plus farfelus, même s'il les déteste au final, il prend plaisir à se faire sa propre opinion sur ce qu'il lit et surtout, à imaginer tout ce qui se passe dans le livre dans son petit cerveau.


Haruka est une jeune homme bien proportionné malgré sa petite taille, il fait à peine 1m65 et il ne l'avouera jamais à personne mais ça le complexe énormément. Enfin au moins il ne ressemble pas à une petite boule de graisse, il est même plutôt mince, peut être trop. Il faut dire qu'il n'a jamais vraiment aimé le sport et que maintenant, avec sa condition, les efforts physiques un peu trop intenses sont à déconseiller, ce qui ne le dérange pas plus que ça. Des cheveux noirs bien lisses, pas bien longs mais pas rasés bien courts non plus, une peau plutôt pâle, surement parce qu'il ne sort pas beaucoup et que sa peau n'est pas fan du soleil, deux petits grains de beautés bien distinctifs sur la pommette gauche. Des lunettes! Le jeune homme est myope et ce depuis l'enfance. Bon il arrive quand même à voir, un peu, sans ses lunettes mais c'est pas la joie, pas sûr qu'il vous reconnaisse dans la rue s'il n'est pas aidé de ses lunettes, surtout qu'il déteste les lentilles, ou plutôt les mettre. Oui, car l'idée de mettre son doigt dans son œil le dégoute au plus haut point, enfin voilà quoi.
Niveau vestimentaire, si Haruka s'écoutait il ne mettrait que son uniforme 24/24, même quand il glande dans sa chambre ou qu'il sort en ville – ce qui reste rare pour le moment – , c'est pour dire. Mais sinon, quand il n'a pas le choix le jeune élève de classe préparatoire reste plutôt sobre dans son choix de vêtement. Chemise blanche, jean noir ou bleu, peu importe. Il n'accorde aucune attention particulière à son apparence donc ce n'est pas lui qui risque de se retrouver planté devant son armoire à ne pas savoir quoi mettre.


Je suis né le 18 février dans la ville de Tokyo dans ce qu'on appelle une famille de base constituée d'un père et d'une mère. Je suis enfant unique et c'est très bien comme ça, je suis pas sûr que je serais capable de supporter un petit frère ou une petite sœur, bien trop bruyants... Oui on peux dire que je suis un peu asocial sur les bords, j'aime être seul, c'est bien plus tranquille, mais j'ai tout de même des amis, enfin, UN ami.... Ne croyez pas que je suis un ermite qui passe sa vie à naviguer entre sa chambre et le lycée sans rien faire d'autre, c'est faux. Mais même si je sors un peu, je ne suis pas un modèle niveau vie sociale, j'ai toujours été comme ça de toute façon. Depuis l'enfance je n'ai qu'un seul ami, mon voisin Masaru. Comme c'est pratique d'avoir un enfant de votre âge qui habite juste à côté de chez vous et qui côtoie la même école, en plus, il a toujours été gentil avec moi, contrairement aux autres élèves qui estimaient que, puisque je ne souhaitais pas leur parler, devaient me maltraiter. Peu importe, je n'ai jamais vraiment prêté attentions à leurs tentatives d'intimidation de toute façon, et puis Masaru était là pour me protéger. Et c'était comme ça de mon enfance à mon adolescence.

Un jour ou j'étais particulièrement nerveux et angoissé à l'approche des résultats des examens finals, Masaru a décidé de me faire une petite blague de mauvais goût alors que je rentrais (pas très) tranquillement chez moi. Il est arrivé masqué et a prétendu m'agresser, sauf que pour une raison inconnue, surement à cause du mélange entre la peur et la surprise, mon cœur s'est mis à battre la chamade , comme si il tentait d'éclater hors de ma poitrine. Ma gorge était serrée, je doute que j'aurais pu même forcer un mot à sortir... Je me tenais là, immobile, sauf mon cœur qui semblait devenir fou. Je voulais répondre quelque chose mais mes cordes vocales refusaient de m'obéir.
"Haruka ...?"
J'ai porté mes mains à la gorge pour essayer de me la masser mais ce geste n'a fait que me provoquer d'affreuses douleurs le long des bras.
"Haruka?!"
Mon corps tout entier s'est figé, sauf pour mes yeux, grand ouverts de terreur, ne comprenant pas ce qu'il m'arrivais.
"Haruka!"
Le battement de ma poitrine s'est arrêté brusquement, et je me suis sentis faible, j'ai eu l'impression que mes jambes me lâchaient...
Le monde autour de moi – les branches d'arbres dansant au gré du vent, le ciel bleu, Masaru qui enlevait son masque et me fixait avec son air inquiet – tout cela disparut lentement pour être remplacé par un écran noir...
Les dernières choses je me souviens avant d'avoir perdu conscience sont la voix de Masaru crier à l'aide et le cliquetis incessant des branches au dessus de nous.
Cela fait deux mois depuis ma crise cardiaque.
Deux mois est une durée assez longue quand vous êtes laissé seul avec vos pensées. Alors, j'ai eu beaucoup de temps pour me réconcilier avec ma nouvelle situation.

Arythmie. Un mot étrange. Un effrayant, désagréable mot. Un mot que vous ne voulez vraiment pas côtoyer, mais qui vous tombe dessus dans prévenir. Une condition rare. L'arythmie fait que le cœur agit de façon erratique et parfois bat beaucoup trop vite. Cela peut être fatal. Apparemment, j'en suis atteint depuis pas mal de temps. Les docteurs ont dit que c'était un miracle que j'aie été capable de vivre si longtemps sans qu'il ne se passe rien, 19 ans sans aucun problème quand on possède ce genre de pathologie, c'est plutôt étonnant.
Mais est-ce vraiment un miracle? Je suppose qu'il était en train d'essayer de me faire me sentir mieux, plus heureux d'être encore en vie, même si ça ne m'a pas vraiment remonté le moral.
Mes parents, je pense, ont été beaucoup plus durement touchés par la nouvelle que je le fut. Ils ont quasiment fait une crise cardiaque chacun, ironie du sort? Moi j'avais déjà eu une journée complète pour tout digérer. Pour eux, tout était frais. Ils étaient même prêts à vendre notre maison afin de payer une cure miracle. Bien sûr, il n'existe aucun remède. En raison de la découverte tardive de cette... condition, j'ai dû rester à l'hôpital pour récupérer de ces traitements. D'ailleurs pendant les premières semaines, j'ai fait plusieurs "crises" de tachycardie heureusement pas trop grave, mais qui ont quand même beaucoup affaiblit mon petit cœur.

Quand j'ai été admis, j'ai eu l'impression de manquer à des gens... Pendant environ une semaine, ma chambre était pleine de fleurs, de ballons et de cartes. Mais, le nombre de visiteurs a vite diminué et tous les cadeau de bon rétablissement ont commencé à disparaître peu de temps après. J'ai ensuite réalisé que la seule raison pour laquelle j'avais reçu autant de cartes et des fleurs était que m'envoyer leur sympathie avait été transformée en un projet de classe. Peut-être que certaines personnes étaient véritablement concernées, mais j'en doute. Même au début, j'ai à peine eu de visiteurs. À la fin du premier mois, seuls mes parents venaient me rendre visite régulièrement. Masaru a été le dernier de cesser de venir me voir. Après six semaines, je ne l'ai jamais revu. Depuis l'accident, à chaque fois qu'il me rendait visite il se sentait coupable et j'ai eu beau lui répéter que j'aurais fait une attaque un jour au l'autre, c'était inutile. Je suppose qu'il a préfère mettre un terme à notre amitié pour ne plus avoir à supporter ce fardeau.

L'hôpital? Ce n'est pas vraiment un endroit où je voudrais vivre. Les médecins et les infirmières sont si impersonnels et froids. Je suppose que c'est parce qu'ils sont pressés et qu'ils ont un million d'autres patients qui attendent, mais ça me rend mal à l'aise. Pendant un mois ou deux, j'ai demandé au chef cardiologue une estimation approximative de quand je serais en mesure de quitter l'hôpital à chaque fois que je l'ai vu. Il n'a jamais vraiment répondu directement, mais il m'a dit d'attendre et de voir si le traitement étaient utiles..

À un certain moment j'ai arrêté de regarder la télévision. Je ne sais pas pourquoi, je l'ai juste fait. Peut-être que c'était le mauvais type d'évasion pour quelqu'un dans ma situation. J'ai commencé à lire à la place. Il y avait une petite «bibliothèque» à l'hôpital, même si elle ressemblait plus à un débarras pour les livres. J'ai commencé à y passer le plus clair de mon temps, une petite pile de livres à la fois. Après les avoir dévorés, j'y retournais pour plus. J'ai constaté que j'aimais aimé lire et je crois même que je suis devenu un peu accro. J'ai commencé à me sentir tout nu, sans un livre dans les mains.

C'est comme ça qu'était ma vie pendant ces 2 mois. Les jours devenaient de plus en plus difficiles à distinguer les uns des autres, ne différant que par le livre que je lisais et le temps qu'il faisait dehors. C'était comme si le temps s'était figé et que j'étais emprisonné à l'intérieur. Une semaine pourrait se passer sans que je ne m'en aperçoive vraiment . Parfois, je me rendais compte que je ne savais pas quel jour de la semaine nous étions. Mais d'autres fois, toutes les choses qui m'entouraient, cette triste réalité, me reviendrais douloureusement en tête pour m'exploser au visage, traversant avec une facilité déconcertante la barrière de nonchalance j'avais mis en place. Dans ces cas là, les pages de mon livre me semblaient aussi aiguisées que des lames de rasoir et la lourdeur dans la poitrine devenait si difficile à supporter que je devais mettre le livre de côté et simplement m'allonger pendant un moment, regardant le plafond, comme si j'allais me mettre à pleurer. Mais ce genre de chose n'arrivais que rarement. Et je ne pouvais même pas pleurer.

Un jour, lorsque le docteur est entré dans ma chambre, on pouvait lire une pointe d'excitation sur son visage. Qu'est ce qu'il voulait encore? M'annoncer que j'avais droit à une séance de traitement? Vu le nombre de fois où les médecins sont venus me voir pour me dire qu'il fallait changer et que je risquait donc de rester encore un peu en leur charmante compagnie, youpi... En tout cas je n'aurais jamais pensé que s'il souriait de cette façon, c'était pour m'annoncer que je pouvais désormais quitter l'hôpital, même si j'avais un lourd traitement à prendre. En jetant un coup d'œil à la feuille de prescription, j'ai soudain eu la tête qui tourne. Tant de médicaments différents, d'effets secondaires, de dosages, de contre indications... ça allait être dur... et tout ça jusqu'à la fin de ma vie? Voilà que je me mettais à légèrement déprimer, bizarrement. Cependant mes parents firent tout pour me remonter le moral, après tout ils avaient raison, j'étais déjà en vie c'était ça le principal. Il fut décidé que j'irais en école préparatoire et, par égard pour moi mais surtout parce qu'ils se doutaient que je ne voulais plus que les gens soient au courant de ma condition, je fut envoyé dans un pensionnat où j'étais sûr de ne connaître personne, Ginkgo Gakuen. Bon, j'avais déjà manqué un mois, j'allais débarquer comme un alien au milieu de gens que je ne connais pas mais tant pis, je travaillerais deux fois plus, c'est pas grave, n'importe quoi tant que je sors de ce foutu hôpital...

Compétences particulières

moyenne : 75/100.
hobbies : lecture, dessin, nourriture.
phobie : les chats, oui, c'est étrange.

Bienvenue sur le forum Haruka !

Tout est bon comme ça, nous te validons. Ton numéro de chambre te sera donné après le recensement, donc soit ce soir tard, soit demain. Il faudra penser à l'indiquer dans ton profil avec les autres informations ;)

Amuse-toi bien à GG !

hehehe merci~

Bon, en te souhaitant de ne pas être trop éprouvé par tes camarades... Bienvenue à la Ginkgo Gakuen x)

Oh, un ptit gosse cardiaque ! Bonne chance à toi mon lapin, ici t'vas en avoir b'soin.

Et bienv'nue :]

Ne vient pas faire une crise devant Shizue.... Sinon bienvenue

Bienvenu =D je prendrais soin de toi comme il faut <3

Bienvenue...bah dis donc à peine arrivé on te saute dessus...c'est des sauvages par ici xD

Bienvenue :)

Bienvenue à toi jeune homme ! La porte de mon infirmerie t'es ouverte à tout moment o/

merci beaucoup tout le monde ^-^

Bienvenue ! j'espère que tu t'amuseras bien *.*

A la bourre mais bienvenue ))