Le temps était radieux, ce qui était plutôt rare dans cette région, et cela faisait du bien. Dans une maison qui se situait dans un coin perdu de la ville, se mêlant avec les autres, demeure du même genre, se trouvait un jeune homme qui semblait n'avoir qu'une vingtaines d'années, pourtant ce n'était pas le cas. Cette personne aux allures rebelles se trouve être Ryuusuke Dagashi, ce dernier était au seuil de sa porte, avec a ses côtés ses affaires. Devant lui, une ribambelle de personnes, enfin si on n'y regarde de plus près, une autre jeune femme s'y était immiscée. D'ailleurs, cette dernière alla voir Ryuusuke et le serra dans ses bras, le blond répondit à l'étreinte et quand ils se lâchèrent, Ryuu lui fit un beau sourire, puis en fit de même pour le reste des personnes présentes. Ces femmes qui étaient toutes dans l'assemblé sont les anciens membres de son groupe. Là, le jeune homme disait "au revoir" à sa « famille ». Le blond, comme le reste de sa "famille" avait des apparences assez particulières, chacun avait son propre style et cela se voyait. Les plus âgés étaient habillé d'une tenue de travail, car eux même s'apprêtaenit à partir travailler. L'une d'entre elle était habillé en gothique lolita, noirs et blanc, et une autre habillé aussi en gothique lolita mais sweet cette fois-ci. Parmis ce groupe, on pouvait trouver une sportive, aussi celle qu'on appelle "pouf", il y avait aussi le style classique d'une japonaise et bien d'autre encore. Mais concentrons nous sur Ryuusuke, lui, il était habillé d'un tee-shirt blanc à longue manches avec par dessus une veste foncée. Il portait un jeans de teinte bleue. Aux pieds, des baskets genre sportives de couleur similaire au tee-shirt. Comme a son habitude, il avait un écouteur, relié à son Ipod qu’il avait caché dans un "lieu sur". La chevelure de l'étudiant était juste propres, un peu en bataille mais dépourvus de noeuds, aux couleurs sablées..

Ryuusuke fit un signe de main à sa « famille » en souriant et monta dans la voiture qui se trouvait devant le porche de la maison.. Le taximen était un homme assez vieux dans le métier avec une casquette comme celles que l’on peut voir dans les vieux films. Le blond lui sourit et avec l'aide de celui-ci, il l'aida a mettre ses affaires dans le coffre, puis le blond monta à l'arrière en veillant à bien fermer la portière. Puis, il attacha sa ceinture et c'est juste au moment où il le fit que la voiture commença à rouler. Le jeune homme descendit un peu la fenêtre et regardait le paysage défiler devant lui. Il repensait à tout les moments qu'il avait passé avec Kanon, Natsu et Shin. Leurs après-midi sur le toits, les festivals d'été avec qui il a toujours ou très souvent avec ces trois là, les blagues idiotes de Natsu, la manière un peu vulgaire mais distinguée de Kanon, la mauvaise manière de Shin de toujours sortir un long discours sur les fautes qu'on commettait. Tout ça commençait déjà a lui manquer. Même leurs disputes lui manquaient. Il se demandait s’il pourrait rester en contact avec ses "amis". Mais il avait quand même hâte d'arriver dans ce fameux pensionnat, qui a été recommander par son entourage.. D'un côté, Ryuu le voyait clairement, ses « amis » avaient radicalement changer après être sortit de cet établissement. A présent, Ryuusuke se demandait si le même phénomène arrivera aussi pour lui surtout quelle influence pouvait avoir la population qui s'y trouve pour pouvoir changer les gens comme ça. En essayant de ne pas trop y penser, il se concentra sur sa musique ainsi que sur ses clopes parce qu'il s'était réservé les sucettes pour son arrivée. Et en peu de temps, il arriva sans se rendre compte au pensionnat. Quand il s'en aperçu. Ryuu sortit en referma ensuite la portière. Et enfin, il détailla le bâtiment qu’il trouva assez beau, mais par rapport à la demeure ou plutôt au manoir de son amie Kanon, se n'était pas si grandiose que se qu'on pouvait espérer. Le new student s'avança vers le hall, il entra et ne voyant pas grand monde, Ryuusuke commença à monter les escaliers. Si la logique suivait, et comme il n'y avait qu'un seul bâtiment, il y avait plus de chance que les dortoirs se trouve à l'étage plutôt qu'au rez-de-chaussée. Donc, Ryuu commença à monter les escaliers tout en traînant ses affaires (dont un sabre qu'il avait emballé dans un étui noir qui cachait l'arme et son foureau), mais quelques minutes plus tard, le blond entendit le bruit d'une porte qui s'ouvre. L'ex-yankee se retourna pour voir qui en été la cause et vit une jeune personne qui devait un peu près avoir son age. Sa tenue était ethnique, et cela lui allait bien. Ryuusuke vit qu'elle avait une sorte d'étui.Il se demanda se que cela pouvait être. Puis le blondinet se dit qu'il fallait mieux découvrir accompagné plutôt que seul. C'est alors que l’homme descendit les escaliers pour s'avancer vers la personne inconnue. Quand Ryuu arriva devant elle, le yankee retira ses écouteurs et d'un beau sourire ténébreux, il s'exclama :

«Low.. Tu pourrais me dire où je suis exactement ?»

Yelle était dans le hall. Elle était allée dans les toilettes peu de temps avant pour se piquer. Ce n'était pas de la drogue, c'était son médicament. Enfin son liquide plein de glucose qui lui permettait de survivre. Yelle avait dans la main à la sortie des toilettes, un paquet de clopes. Elle essayait de survivre malgré son envie de vivre. Il n'y avait rien de logique là dedans. Mais bon, en même temps, Yelle n'était pas logique, alors il ne fallait pas chercher plus loin. Mais revenons au sujet principal. Le hall était vide, ce qui arrangea drolement Yelle, car elle avait la possibilité de fumer, sans avoir des regards tout le temps rivés sur elle. Cependant, elle hésitait. C'était interdit de fumer dans l'établissement, surtout près des chambres, et de plus, il ne fallait pas qu'elle abuse sur les clopes, car son état de santé empirait de jour en jour. De toute façon, c'était son but, donc pour elle, ce n'était pas inquiétant.

Yelle n'entendait aucun bruit. Elle trouvait ça étrange parce que en général, il y avait au moins une personne qui trainait par ici. Mais là, il n'y avait vraiment personne, et cela en était presque angoissant. Puis elle entendit des pas. Ils provenaient d'où ? Elle sentit une présence se rapprocher d'elle. Que lu voulait-elle ? Elle commençait à avoir son poux qui accélérait, elle avait du mal à respirer, mais essaya de rester calme du mieux qu'elle pouvait. Yelle leva la tête, et vut un jeune homme lui parler doucement. Elle lui sourit légèrement, rebaissa la tête, et lui dit :

" Tu es dans le hall d'entrée de l'école Shokuboo Inochi... T'es nouveau ?... "

( désolée pas terrible, pas beaucoup d'inspi ! je ferais mieux la prochaine, quand je me sentirai mieux :s )

Sur interlocutrice souriait, certes faiblement mais elle souriait, sûrement qu'elle est timide se dit Ryuu. Ce dernier lui rendit son sourire mais par un geste plus convaincant. Ryuu était content de voir que la demoiselle lui avait répondu plutôt que de le laisser dans son ignorance.. A un moment, la jeune femme à la chevelure patinée le détailla quelque instant, un court moment, le blond l'avait remarqué mais le regard des autres ne le gênait pas particulièrement, donc il ne fit que sourire. Il repris ses affaires en main puis d'une voix enjoué tout en remontant les escaliers, il répondit :

« That’s right ... Comment puis-je t'appeler miss? »

Pour le yankee, cela était quelque peu pénible de prononcer de longs prénoms. Mais Ryuu n'avait rien contre ! Tout en attendant la réponse donner par la demoiselle, le blondinet remis sur sa tête son écouteur de couleur noir. Il se sentait mieux avec de la musique aux oreilles, puis avec l'habitude, Ryuu avait a présent un peu du mal à s'en passer. Regardant à droite puis à gauche, il ne remarqua aucun panneau pouvant lui indiquer la route à prendre et n’ayant point envie de se perdre le premier jour, il demanda à la jeune demoiselle :

« Tu me pourrais me montrer les dortoirs, please.»

Se sentant confiant, il se mit à fouiller dans sa poche et en sortit une sucette qu’il plaça machinalement dans sa bouche et, par pur politesse, je ne vois aucune autre explication à cela à moins que ce ne soit pour lier de nouveaux liens, il demanda, ou plutôt proposa par cette simple phrase qu’était « Une sucette ?! » une de ces choses dont il raffolait tant.. Il fallait dire que pour lui, une personne n’aimant pas les sucettes ne devait certainement pas être une personne normale à ses yeux malgré qu’il en faut généralement beaucoup pour qu’il donne cet avis sur une personne qui lui est inconnue..

Ensuite, il se tût, non pas qu'il n'avait rien à dire, mais plutôt parce qu'il détestait monopoliser la conversation et puis, il n'avait nullement besoin de poser d'autres questions qui, selon lui, pourraient semblées superficielles en ce lieu donné.. Il se contenta donc d'un silence en attendant les multiples réponses de la donzelle qui était tête baissée face à lui qui détestait d'ailleurs que l'on ne le regarde droit dans les yeux mais que pouvait-il faire? Lui prendre le menton pour la lui relevée? Cela ne lui paraissait guère adapté à la situation étant donné qu'il n'avait encore aucune affinités avec celle-ci.. Peut-être l'aurait-il fait s'il l'aurait connu quelques heures plus tôt?!