Yelle ouvrit d'un coup la porte sans prendre le temps de reprendre ses clés qui étaient restées sur la serrure de la porte. Elle posa doucement l'attaché case sur un lit, puis courut jusqu'à la salle de bains où elle s'enferma à clé. Pas question d'ouvrir ! Et oui c'était trop tard, Yelle était en larmes, et là, plus aucune possibilité de faire quoi que ce soit, c'était dans cette pièce qu'elle avait fait le plus de tentatives de suicide, et là, en réalisant ça, elle se demandait si le cercle vicieux de la dépression et de l'enfer sur terre pour elle allait reprendre de plus belle. Yelle fixait la lame de rasoir sur le robinet, elle se dirigea vers celui-ci. Ses lèvres s'écarquillèrent de plus en plus , puis un gros blam se fit entendre. Tout ce qui était sur le robinet, c'est à dire verre brosse à dents, etc avaient voltigé jusqu'à l'autre bout de la pièce.

* Mais qu'est-ce qui m'arrive ? Yelle... Reprends toi !!! *

Mais non, elle n'y arrivait pas. Et Thomas ? Qu'allait-il penser ? Dans quel état d'esprit était -il ? Il ne devait plus rien comprendre à ce qui était en train de se passer. Le pauvre, Yelle voulait lui dire que tout allait bien et que ça allait passer, mais c'était lui mentir, et ça aurait été injuste pour ce nouvel étudiant. Yelle s'adossa à la porte, s'assit, et resta là. Bouge toi Yelle, il t'attend ! Et Thomas, que va-t-il devenir sans toi ?

* Je ne sers à rien... Rien... Il peut bien se débrouiller sans moi... Mais qu'est-ce qui m'arrive ? Faut que je me fasse soigner... Ou... Sinon, peut être que la meilleure solution est de ... *

Disparaître fut le dernier mot que Yelle prononca dans sa tête, avant que l'on entend un bruit de coulement d'eau... Allait-elle comme une de ses dernières tentatives... La noyade... Une dernière souffrance avant de mourir, c'était tout à fait le genre de mort qu'il fallait pour la demoiselle... Alors qu'était-ce ? Et Thomas ? ... Aide la Thomas... Sauve la... Il n'y a que toi... Là... Maintenant... Dans cette chambre qui va devenir la tienne... Aide la à se sortir de ce cercle vicieux, qui la détruit de nouveau... Elle croit en toi... Plus qu'en elle même... N'hésite pas... Fais tout ce qui est en ton pouvoir pour la sauver... Alors... Je t'en supplie...

* Aide moi... Je tiens plus... S'il te plait... *

( Merci pour l'info, je retiens ^^ . J'espère que ça ira, j'y ai mis toute mon énergie ;) . Donc voilà. Bonne chance ! Je pense que tu vas en avoir besoin mon petit Thomas )

Yelle perdait ses moyens quand la tristesse et l'émotion prenaient le dessus. On pourrait croire qu'elle soit atteinte d'une skyzophrénie, ou d'une maladie dans le style, mais c'était pas du tout le cas. Tout cela était le résultat de tous les moments durs de sa vie, l'addition de tous ses malheurs étant petite et en grandissant. Elle en pouvait plus d'enchaîner horreur sur horreur, désastre sur désastre. Elle avait assez souffert comme ça, elle plongeait, replongeait, s'enfonçait. Yelle n'est pas quelqu'un qui sait se battre, bien au contraire. Pessimiste comme elle, Yelle ne s'est pas se relever, elle sait se rabaisser encore plus, et replonger, c'était comme ça qu'elle avait apprise à vivre depuis la mort de ses parents. Ce n'était donc pas maintenant que cela allait changer. Mais, elle avait plein d'efforts jusqu'ici, mais tout cela venait de s'effondrer de nouveau. Pour... Elle ne le sait même plus, elle a tout oublié, le pourquoi de la situation, le fait qu'elle soit dans la salle de bains, et la cause de son comportement... C'était comme si, elle avait tout oublié, jusqu'à en oublier qui elle était vraiment.

Absurde mais vrai. Yelle était une des personnes les plus perdues au monde à ce moment là. Enfin c'est comme cela qu'elle le ressentait. Elle ne réfléchissait plus, tout venait spontanément, ses larmes, ses tremblements, elle ne pouvait rien controler, car elle ne réfléchissait plus. Si quelqu'un lui avait dit de se jeter sous un train, elle aurait obéi sans réfléchir ! C'est comme si elle était devenue une personne sans âme qui faisait n'importe quoi. Yelle ne pouvait que se vider, elle le devait, elle en avait besoin, mais seule. Ses problèmes, ses impressions, ses sentiments, jamais, au grand jamais elle n'en parlerait à quelqu'un. Elle avait fait l'erreur lorsqu'elle était jeune, de s'être confiée à des psychiatres, psychologues, et tout, mais cela n'avait rien donné, au contraire, ça avait légèrement empiré sa situation. Incomprise de tous, elle se sentait de plus en plus à l'écart de la société, ce qui la démoralisait de plus en plus. Elle se sentait faible, cassable, à chaque remarque, même à chaque regard assassin qu'on lui jetait, une fissure se créait. Yelle était comme une plaque de verre, pleine de fissures, très fragile, et le jour où cette plaque se brisera, Yelle ne fera plus partie de ce monde, elle sera réellement perdue ou plutôt elle aura disparu.

Yelle entendait la mélodie du jeune homme. Et sans savoir pourquoi, cela lui rappela son enfance, elle devint de plus en plus nostalgique. Yelle sourit en revoyant le visage souriant de ses parents. Elle s'imaginait auprès d'eux, pas forcément les rejoindre, mais voyait son passé qui défilait devant elle. Perdue dans ses pensées, aucun bruit ne pouvait la réveiller de tous ses merveilleuses images. Le jeune homme avait beau appeler, elle n'entendait rien, juste le rire de sa mère, les paroles enjouées de son père. Mais malgré toutes ses images joyeuses, la jeune demoiselle ne souriait pas. Les larmes continuaient à couler, car elle était triste et blessée de ne plus pouvoir revivre tout ce qu'elle était en train de se remémorer. Elle ne bougeait pas de là où elle était, plantée en plein milieu de la pièce, perdue dans ses pensées.

Un fracas se fit entendre. La porte venait de claquer contre le mur, et le jeune homme se précipita auprès de la jeune femme. Essayant tant bien que mal de la réveiller par sa présence, il n'y arriva qu'en la giflant, ce qui réveilla d'un coup Yelle de ses pensées. Elle regarda avec un air de chien battu le jeune homme. Mais aussi avec un air d'incompréhension, due à la langue qu'il venait d'utiliser. N'importe soit elle, Yelle n'avait tout de même rien compris, même si c'était du japonais. Pleurant encore plus, Yelle s'aggripa au jeune homme. Elle avait ses mains sur son torse, s'aggripait à son tee shirt, et finit par poser sa tête sur celui-ci. Qu'allait-il faire ? La repousser ? Ou au contraire, la serrer dans ses bras, la réconforter ? Yelle ne savait pas, mais elle se sentait apaisée là où elle avait pu se réfugier. Là où elle se sentait enfin protégée, et là où elle avait l'impression qu'elle existait vraiment...

( fini ^^ à toi maintenant, j'espère que c'est bine bisous je t'adore ! )

La jeune femme commençait à s'endormir dans les bras du jeune homme, elle s'y sentait tellement bien. Elle aurait bien aimé rester là jusqu'au lendemain. Elle reprenait doucement une respiration normale et ne sanglotait presque plus. Elle ne savait pas quelle réaction avait eu le jeune homme à son baiser, mais vu qu'il ne bougeait pas, elle en déduit que ça ne l'avait pas géné. Est-ce que ça lui avait plu ? Ca, par contre, elle ne le savait pas, mais espérait que la réponse soit positive, et même très positive. Yelle se demandait bien à quoi le jeune homme pouvait-il penser. Se sentait-il mal à l'aise, déçu, surpris ou encore touché par tout ce que faisait ou était la jeune demoiselle. Elle s'en voulait à fond d'elle de réagir comme ça, mais elle se rendait compte qu'à force que le temps passait, elle arrivait de moins en moins à se contrôler, car elle avait perdu l'habitude dûe à l'amélioration de son état. Elle se sentait légèrement mieux moralement, mais son corps commençait à être un peu plus en chair à certains endroits. Enfin en chair, on ne savait pas trop si c'était de la graisse ou du muscle. Mais en tout cas, elle était en meilleure forme qu'avant.

Cependant, des moments comme celui qu'elle venait de vivre, la faisait replonger, mais que pendant quelques instants. Elle ne replongeait plus comme avant, où elle s'enfermait des heures voire des fois des jours dans la salle de bains de son " appartement ". Elle se souvenait que même une fois, elle était restée 2 jours dans cette pièce, et qu'elle avait été retrouvé par quelqu'un du personnel qui avait défoncé la porte. Elle s'en souvenait, car elle avait les yeux grands, rivés vers le baignoire, immobile et tremblante. Elle avait ses perfusions aux bras, et regardait chaque goutte qui tombait dans la baignoire. Elle attendait qu'elle soit remplie pour pouvoir plonger dedans, et disparaître. Elle se souvenait exactement de tous les mauvais moments, qu'elle avait vécu, et de toutes les fois, où on avait essayé de la sauver.

Mais passons, pour l'instant, elle était bien, et c'était le principal. Mais tous ses petits calins, gestes de tendresse et d'affection allait s'arrêter par un ronronnement, ou un grognement. Elle ne pensait pas que cela venait du ventre du jeune homme qui, apparemment s'était réveillé, tel un volcan en éruption. Puis elle sentit un léger recul corporel de la part du jeune homme, elle vut des petites grimaces, puis comprit. Elle s'enleva des bras du jeune homme, passa doucement une main sur une des joues du garçon tel une caresse du bout des doigts, puis se mit debout pour se diriger vers la chambre. Elle marcha jusqu'à une grande armoire, l'ouvrit, puis ouvrit le tiroir du bas, prit tout ce qu'il contenait, et retourna vers la salle de bains. Vacillant légèrement, elle s'aida du mur pour avancer en direction de la salle de bains. Elle entra de nouveau à l'intérieur quelques minutes plus tard, puis se mit exactement à la même place que tout à l'heure, face au jeune homme, s'assit et ouvrit ses bras en grand. Il y avait plein de cochonneries, Twix, Lion, vraiment tout de tout, Bounty,etc. Jus d'orange, Schweppes, Coca, bonbons. Elle repartit, prit un sac, la traina derrière puis le posa à coté du jeune homme. Il y avait dedans, quelques pommes, des pains au chocolat, un ou deux, et encore des jus, mais cette fois-ci d'ananas.

Yelle avait fait toutes ces réserves, mais n'y avait pas touché. Elle n'avait jamais réussi à manger une seule de ces cochonneries, elle espérait que le jeune homme en mange, et si possible, vide tout ce stock encombrant, qu'il lui avait pris tout un tiroir. Elle regarda le jeune homme, et lui dit doucement, d'une voix presque murmurante accompagnée d'un léger sourire :

" Je t'en prie... Sers toi... "

Puis aussitot sa phrase dite, elle rebaissa la tête, ramena ses jambes vers elle, et nicha son petit nez dans ses genous, en regardant son tas de friandises et de gateaux à gogo...

( désolée pour l'attente, mais voià je t'ai répondu enfin... ^^ J'espère que cela t'ira, gros bisous, et merci d'avoir attendu )

Yelle souria à la petite phrase du jeune homme. Elle le regardait manger. Elle trouvait ça amusant. Mais elle baissait la tête à chaque fois que le regard du jeune homme allait rencontrer celui de la jeune femme. Mais des fois elle fixait son regard et partait dans ses pensées, qui étaient flous, elle ne savait pas trop à quoi elle réfléchissait. C'était du noir, elle ressentait juste la chaleur qui circulait dans toute la pièce et essayait de s'en imprégner. La jeune femme pensait à tout ce qu'il avait devant elle. En fait, elle voyait dans sa tête défiler tous les gateaux qu'elle voyait. Les gateaux,les boissons, enfin toutes les cochonneries qui gisaient à moitié sur le sol. Elle se demandait toutes les ingrédients mauvais et bons pour la santé. Elle se disait qu' en réalité, tout était mauvais. Comme ce qui avait été dans sa vie. Mais là, elle voyait du bon dans sa vie. Un personne qui chamboulait et remettait tout en place. Il y avait quelques secondes avant, où elle était en larmes à cause de lui, enfin pas réellement. Mais là, il l'aidait. C'était à ne plus rien comprendre.

Elle le regarda, puis elle ferma ses yeux, elle entendait tous les bruitages du jeune homme qui mangeait. Les miettes qui tombaient par terre, tous les petits détails, elle les entendait très bien. Elle était perdue, elle se demandait bien ce que le jeune homme pouvait manger, et elle essayait de deviner. Est-ce que c'était plutôt quelque chose de gras, du liquide ou du croquant, ou vitaminé ? Mais elle commençait à s'endormir. Puis elle sentit quelque chose l'entourer, elle ouvrit les yeux d'un coup et grands écarquillés. Elle remarqua que c'était les bras du jeune homme. Elle souria, elle sentit un mouvement en elle, elle chercha ce que ça pouvait être, mais ne trouva pas. Elle ne disait rien, puis elle sentit une sensation. Comme un plume qui se déposa sur elle, et glissa le long de son corps. Elle commença à trembler tellement la sensation était agréable, ça l'envahissait entièrement. Elle se rapprocha légèrement de lui, puis d'une voix un peu tremblante, les larmes aux yeux :

" Pourquoi tu fais ça ? ... Pourquoi t'es comme ça avec moi ? ... "

Elle espérait que le jeune homme ne réagirait pas mal. Elle souhaitait qu'il la serre encore plus, qu'il la protège encore plus. Elle voulait que le jeune homme fasse tout en plus. Mais entre eux, est-ce qu'elle souhaitait qu'il y ait plus ? ...

( pardon, c'est pas terrible. J'essaierai de fair emieux la prochaine fois. Gros bisous. A bientot p'tit choupinet ! )

La jeune femme angoissait à l'avance de la réaction du jeune homme. Elle était pratiquement sure qu'il réagirait mal, en tout cas, qu'il le prendrait mal. Mais ferait-il une remarque à la jeune demoiselle ? Non, Yelle commençait à le connaître un peu, et se rendait compte qu'il savait quand il fallait être gentil et quand il fallait faire la morale. Mais elle savait que la morale allait tomber un moment ou à un autre. Cependant ça n'allait pas être tout de suite. Elle se demandait à quoi il pouvait bien penser. Elle espérait qu'il ne la traite pas de tous les noms dans ses pensées, mais ça pouvait arriver vu ce qu'elle avait dit, mais est-ce que la réaction pouvait aller jusque là ? Ses questions étaient-elles aussi mal euh... Je sais pas trop comment vous dire, mais j'espère que vous me comprenez. En tout cas, la jeune femme ne bougea pas, et attendit avec énormément d'impatience la réponse du garçon.

Le jeune homme ressera son étreinte sur la jeune femme. Que voulait-il ? Avait-il besoin d'affection ou cherchait-il à en créer en faisant cela ? En tout cas, la jeune femme se sentait bien, mais malheureusement le sourire n'était aps là. C'était étrange, et d'ailleurs elle trouvait ça elle même étrange. Et puis, le jeune homme commença à parler, Yelle baissa de plus en plus la tête, rien qu'à la première phrase. Puis ouvrit des yeux gros comme des ballons. Elle frissonait, elle entendait le voix et la respiration du jeune homme à son oreille. La jeune femme ferma ses yeux pour mieux entendre la voix du jeune homme, et ressentir encore plus son corps contre le sien. La jeune femme ne réagit pas tout de suite, elle tourna légèrement puis sourit et fit un tendre baiser sur la joue rosie du garçon. Elle sourit moins mais garda un petit sourire au coin de ses lèvres roses rouges, et fines. Elle regardait le jeune homme droit dans les yeux, elle lui envoyait des sortes d'ondes pour lui dire qu'elle le remerciait du fond du coeur, et que...

" C'est adorable... Enfin... Tu l'es... "

LA jeune demoiselle rougit un peu, mais elle n'ajouta rien, elle continuait à plonger son regard dans celui de Thomas. Elle le regardait tendrement, avec ses petits yeux rouges. Mais son sourire était tout de même présent. Enfin, il l'était, et elle espérait qu'elle le garderait, et était sure que le jeune homme le voualit aussi...

( Ouh la, bon c'est pas fameux, j'espère que ça ira ^^ bisous mon chou ^^

Pourquoi c’est à MOI de faire cela ? Ah oui, c’est vrai, je me souviens maintenant ! Tout simplement parce que ces vendus de l’administration ne peuvent RIEN faire correctement sans prendre trois plombes ! Ainsi, je me retrouvais donc à chercher un élève qui s’est sans doute perdu dans le pensionnat, afin de pouvoir lui faire correctement faire visiter la zone ! Comment ça avait commencé déjà ? Ah oui, je me souviens ! On m’a annoncé qu’un nouvel élève allait intégrer la classe de seconde année A. J’étais réellement heureuse à cette idée, d’autant qu’on ne m’avait pas précisé qu’il s’agissait d’un étranger ! Sans doute un nouvel élève de cette grande et puissante patrie qu’est le Japon ! C’est tellement peu commun que ça m’a mis dans une joie des plus grandes ! Persuadée de pouvoir enfin faire un travail à ma mesure, et pouvoir transmettre à un élève cette fierté nationale, je me suis donc dirigé vers la vie scolaire afin qu’on puisse me dire où se trouvait ce garçon ! Mais à mon grand regret, on m’a appris qu’il était déjà parti, avec une petite que l’on nomme Tizuky, dont je ne me souviens même pas le visage ! Ca m’énerve d’avoir été ainsi coiffée sur le poteau ! Ainsi, j’ai donc parcouru tout l’internat à la recherche dudit « couple » et pour pouvoir arracher ce nouvel arrivant de la racaille étrangère ! Mais il me fut impossible de le trouver jusqu’à présent, et je cherche en vain dans tous les couloirs !

Tiens, d’ailleurs, maintenant que j’y pense ! Je n’ai cherché que dans les dortoirs des garçons ! Et si c’est une fille qui a enlevé mon nouvel élève, elle doit forcément l’avoir mené dans sa chambre, ou, en tout cas, lui avoir fait visiter le dortoir de son sexe. Déjà que le jeune homme est totalement innocent de ce qu’il se passe dans l’établissement, si en plus une de ces grandes perches féminines me lui arrache son innocence, je crois que je vais faire un scandale sans nom ! Montant les marches quatre à quatre, j’arrive donc enfin devant le pallier du dortoir féminin. Et alors que je regarde toutes les portes, je m’aperçois que l’une d’entre elle est ouverte ! Bondissant à l’intérieur, je remarque un chantier assez impressionnant : des affaires sur le lit, un placard éventré, et tout ce qui allait avec ! C’était juste immonde ! Et dans la salle de bain, qui était en chantier, j’entends alors un petit cri étouffé de la part de deux personnes ! Pris de rage, j’entre dans la salle de bain, et découvre alors la jeune Tizuky à cheval sur… Un gaijin ??? Oui, c’est tout à fait cela ! Le nouveau venu est un gaijin !! Et en plus, c’est un pervers qui profite de l’innocence et de la pureté des jeunes filles pour les amener à lui ! Tirant le jeune homme par les oreilles, je le fis se lever manu-militari, et vociféra de ma si belle voix habituellement :

- BRAVO ! ON VIENT A PEINE D’ENTRER DANS LE PLUS BEAU PAYS DU MONDE QU’ON CHERCHE A SE FAIRE REMARQUER !!
- Mais, enfin, je…
- ET EN PLUS, IL REPOND ? CHEZ LE DIRECTEUR !! ALLEZ !!

Et ne laissant aucune possibilité de réponse au jeune pervers comme à la petite trainée, je trainais le rustre jusqu’à la sortie ! Il allait voir de quel bois je me chauffe non mais ! Et pour une fois, le directeur ne pourrait rien dire, sinon, reconnaître que j’avais eu du nez !

[HRP : Il te reste à clôturer le topic, Thomas et Chisato s'en vont ^^"]